Il ne reste que l’accord de la ministre de la Fonction publique pour que ce projet passe. Cette annonce a été faite ce lundi 7 octobre 2013 par le Directeur général de l’Institut national de sécurité sociale (INSS). Le Conseil d’administration de l’entreprise a approuvé vendredi dernier ce projet sans l’aval des représentants des affiliés.
Tous les quatre représentants des affiliés et des employeurs présents à cette réunion avaient déjà claqué la porte pour protester contre cet investissement de plus de 5,6 milliards de Fbu dans la société Amanda Drinks de fabrication de jus et de concentrés de tomate. Seuls les représentants du gouvernement restés dans cette réunion du Conseil d’administration de l’INSS ont approuvé ce projet.
« Certains avaient déjà pris position avant la tenue de cette rencontre », révèle le Général de brigade Télésphore Irambona, Directeur général de l’INSS. Selon le règlement d’ordre intérieur de l’INSS, les 2/3 des membres du Conseil d’administration peuvent délibérer. Il y en avait 11 sur les 12 dont 6 membres représentant le gouvernement, 3 les employés et 3 autres les employeurs.
Cette société de fabrication de jus et de concentrés de tomate représentée par l’entreprise 2M Invest Consult S.A. de droit burkinabé est déjà enregistrée au Burundi. Elle a son NIF (numéro d’identification fiscale) et un domaine acheté dans la province de Bubanza à Ku Kayange II : « Elle est spécialisée dans l’étude et la réalisation des projets d’investissement industriel, elle dispose d’une expérience solide dans la conception et le management de ce gerne d’unités industrielles », affirme le Général de brigade Télésphore Irambona.
Petite contradiction : au cours de sa conférence de presse, il affirmera qu’ « aucun agent de l’INSS ne s’est rendu au Burkina-Faso pour vérifier si réellement cette entreprise existe. »
Avec le montant investi au titre de participation dans le capital social de la société Amanda Drinks, l’INSS sera parmi les actionnaires principaux à hauteur de 30%. Selon le DG de cet institut de sécurité sociale, la SOCABU, les banques locales, la BAD, la ZEP ainsi que l’entreprise belge, Bio Invest, ont déjà été contactées pour soutenir ce projet.
Le Général de brigade Télésphore Irambona semble minimiser toutes les critiques et toutes les inquiétudes soulevées par l’approbation de cet investissement : « Au regard de la loi, l’INSS peut investir dans une entreprise et au vu des études faites, ce projet est viable et rentable, cet investissement ne représente aucun risque pour l’INSS qui avait un capital social évalué à 68 milliards de FBU au mois de juin 2013. »
Le DG de l’INSS reconnaît cependant qu’ « aucune contre-expertise de ces études sur l’impact de cet investissement n’a été faite ». L’investissement se fera par tranches et dans 4 ans, explique-t-il, il y aura des retombées. L’essentiel de la production est destiné à l’exportation à hauteur de 70%.
« Tous les investissements n’ont pas été fructueux. Si nous avons enregistré des pertes par le passé, c’est parce qu’il n’y a pas eu de suivi régulier de nos placements », reconnaît le DG de l’INSS tout en promettant de faire plus attention dans l’avenir : « Nous comptons rectifier le tir avec ce nouveau projet d’investissement en mettant toutes les balises nécessaires. Nous pouvons par exemple exiger dans les clauses du Protocole d’actionnariat de pouvoir nous retirer du projet si nous constatons qu’il n’est pas rentable », rassure-t-il.
Par le passé, reconnaît encore une fois le Général de brigade Télésphore Irambona, l’INSS a perdu une affaire de 800 millions de Fbu investis dans 4 sociétés qui ont fait faillite. Ce n’est pas tout, « l’INSS a aussi perdu un montant de plus de 1 milliard de Fbu placé dans deux banques, la BPB (banque populaire du Burundi et la BCD (banque de crédit et de développement) qui sont tombées en faillite. Nous avons constaté que la somme perdue a été injectée dans ces deux banques à quelques mois de leur faillite. Il y a eu manquement grave», a-t-il conclu.
C’est au moment où la centrale syndicale COSYBU de même que l’Olucome décrient cet investissement dans la société Amanda Drinks de fabrication de jus et de concentrés de tomate. Ils le qualifient de hasardeux et rappellent que la vocation de l’INSS est de protéger les intérêts de ses affiliés.
J’espere que mon President va mettre faire annuler cette decision. Vyabuze noneho!
Il faut qu,il paie d,abord le loyer. Les arrierés arboreraient 2 milliards.
A entendre toutes les tractations de l’INSS sur la question d’investir 7.000.000.000bif dans la société AMANDA Drinks se disant prétendre produire des jus au BURUNDI et que le premier francs en termes de dividende a entendre les analyste du projet commencera a tomber après 11ans de production et de commercialisation,ceteris paribus;
une question se pose: étant donné que l’INSS n’est pas la croix rouge,ni le HCR,ni le PAM, si réellement l’INSS les intérêts,pourquoi n’est pas place ce montant dans les bons du trésor a la BRB qui avec un taux d’intérêt annuel de plus ou moins 13% ramènera un intérêt annuel de 910.000.000bif et ceci pris pendant les 11annees a attendre les intérêts produit par AMANDA Drinks, l’INSS aura gagne 910.000.000×11=10milliards sans pris en compte la capitalisation des intérêts annuels? urwo rukundo rufatiye kuki none?Mon oeuil !il s’agit ni moins ni plus une manière contourne et bêtement légitimé pour voler l’argent des pauvres BURUNDAIS car les DD ont pris la décision depuis le maquis de vider toutes les réserves du pays jusqu’à ruiner toute l’économie nationale par voie de haine et médiocrité dans toutes les structures de décisions du pauvre pays. Akari inyuma karahinda ,rindira 2014!
Vu sur Linkedin:
L’Agence 2M Invest Consult est un Bureau Conseil (Etudes, Appui Conseil et Réalisation) de droit burkinabè né de la volonté d’offrir aux porteurs d’affaires des services adaptés à leurs besoins en études et réalisations de leurs projets dans les domaines d’investissement, transfert de technologies et commerce international.
NOTRE EXPERTISE
Les activités de 2M Invest Consult se focalisent sur des prestations bien ciblées dans des domaines d’activités spécifiques. Il s’agit de :
Montage clé en main des projets d’investissement partant des études préliminaires (du marché, technique, financière, impact environnemental et juridique), jusqu’à la réalisation et le lancement de l’exploitation ;
Assistance technique sous la forme de mise à disposition d’experts auprès d’un projet ou d’une entreprise, pour la conception, la réalisation, le lancement de l’exploitation ou la mise en application des programmes de restructuration et de mise à niveau ;
Supervision technique de projets sous forme d’assistance au client pour la conception et la réalisation d’un projet, avec supervision des contractants (études, choix d’équipements, exécution des travaux, commissioning des équipements, etc.) ;
Appui au développement d’entreprises: étude de stratégie, restructuration préalable, élaboration des dossiers, appui à la recherche de partenaires, à la négociation et à la réalisation ;
Appui conseil à la mise en place du système de la Démarche Qualité
Appui dans le transfert de technologies : appui au montage de dossiers techniques, la recherche des partenaires techniques et le transfert de savoir-faire ;
Conseil dans les transactions commerciales internationales : appui à la recherche de partenaires, à la négociation, à la réalisation des transactions financières et à la logistique.
moins
Avec les 68 milliards Bif, l’INSS peut elle aussi creer des societes, des entreprises et c’est son droit.
Pourquoi en supposant meme que la Societe existe au Burkinafasso, faut il aller investir dans une societe etrangere qui apporte les dividendes apres 4ans!Dans le meme secteur Bubanza-Rukoko, il ya un autre projet de sucrerie de Monsieur Nahum qui a un manque de financement pour aboutir.
Pourquoi ne pas acheter des parts dans la societe de Nahum . De toutes les facons , vous gagnerez plus et a court terme et la societe est immatriculee au Burundi. Cet histoire sent l’odeur de la corruption.
L’histoire rattrapera necessairement de tels voleurs!
Quant aux partenaires de l’Inss je crois qu’il vaut mieux s’asseoir ensemble et trouver des solutions.L’argent de l’Inss est a investir, peut etre ailleurs. Les manifestaions et greves contre toute tentative de projet est un signe d’immaturite.
Tabaza, International Transparency, Union Européenne, Banque Mondiale, tous les pays soi-disant amis du Burundi, bahagarike ubwo busuma. Iyo Société siyo.
1. 2M Invest Consult SA n´existe pas au Bourkina.
2. En général les Consultants ne font pas directement ce genre d´opération.
3. S´elle existe, c´est une Société fantôme qui est connu par Compaoré et quelques burundais.
4. On n´a jamais vu une industrie de production distribuer les dividendes après quatre qns.
5. Une decision d´engager autant de fonds, il doit y avoir préalablement une réunion entre les éventuels partenaires.
6. A dire que la BAD, la SOCABU, la Banque de la ZEP, Bio-invest ont été contacté, suffit-il que l´INSS engage tant de fonds?
7. L´INSS a-t-il vérifié le marché de ces produits?
8. A-il vérifié l´origine et la qualité des équipements?
9. Les matières premières suffisent pour toutes les entreprises produisant des jus au Burundi.
Tout cela n´est que planification des détournements de l´argent des affiliés. Je suis presque sur que les Banques commerciales ne mobiliseront jamais leurs fonds dans cette entreprise naissante.
Mais comme tout les burundais le savent, 2015 ce sont les élections. Qui dit éléctions dit changement des dirigeants, et, beaucoup commencent à préparer leurs sorties.
Le mensonge poursuivra ceux qui l’entretiennent jusqu’au dernier retranchement! Mr le DG de l’INSS, cessez de mentir nka wa mwana yaja kwiba ubuki ku rusenge hanyuma se amusanze ari ku rusenge akamubaza ico akorayo yaciye amwishura ngo »ndiko ndatembera ». Nta wuca ishami yicayeko nawe n’aho woba ufisemwo make azogirira akamaro abo uzosiga kuko uzokwitaba nk’abandi. Bwira abo muriko murasangira murye make ntimutembagaze. Raba kure upfume utanga démission nta nzara izokwica n’abadafise ivyo ifise barabayeho!
J’essaye de regarder sur google la société n’existe pas ayo mahera ntababeshe barayiriye gushika ryari amahera ya banyagihugu yamwe arbwa ata camira comme si les burundais turi aveugles
Bwana Telesphore izo miliyaridi zarariwe ntibikunda gusigura ahubwo raba ukuntu wokata irindi korosi nayo iyo societe Amanda drinks ntirashingwa nico kimwe nigihe abazi gutamira biha Port de Buja ku mugaragaro avec Global …..
INSS birazwi ifise tresorerie ihagaze neza raba ukuntu mwobesha mukuremwo make basi ntimuyitemvye kuko vyoba ari bibi cane pour nos vieux et vieilles retraites.Mbe ya societe yagomba gukora sauce tomate muza Cibitoke yoba ariyo ishaka kuvyuka ????Mbe i Bubanza muzohingura jus a partir de quels fruits?Avec ayo ma miliyaridi muvuga si FRUITO mugomba kubaka ngira ni nkaya brasserie de Vyegwa chez bwana mukubwa mushaka kunganira !! Hari uwoba arahonja umutobe ikora ngwatubwire ingene bimeze?
Terura amatungo yose ya Leta uko mushaka nakare hari hasigaye INSS izindi mwarazirangije hasigaye guhenura gusa.
Uwapfuye kare yarihuse
Cette entreprise n’existe pas au Bourkina Faso. Je suis a l’étranger , je suis avec des Bourkinabais, C’est une maison de consultance mais pas une industrie ou groupe d’industrie. Financement Illicite des éléctions de 2015. Qu’ils cessent ces bavures. Tous les travailleurs qui cotisent dans l’INSS doivent observer un greve generalisé et que les répresentant des travailleurs doivent etre de 2/3 de tout le conseil d’administration
Cette « entreprise » n’existe pas au Bourkina Faso. None ntiboraba kuri internet ? Comment confondre un bureau conseil d’une industrie ??
« L’Agence 2M Invest Consult est un Bureau Conseil (Etudes, Appui Conseil et Réalisation) de droit burkinabè né de la volonté d’offrir aux porteurs d’affaires des services adaptés à leurs besoins en études et réalisations de leurs projets dans les domaines d’investissement, transfert de technologies et commerce international. »
Source Linkedin et Soulamane Konkobo
Directeur Technique/ Consultant Marketing/Formateur, 2M Invest Consult
OUAGADOUGOU, Burkina Faso
Ivyo bisa na Dicken,
« A former Lake Tahoe bartender has used a bogus story that he’s the most decorated Navy SEAL of all time to cash in, big. AJ Dicken can be very convincing — so convincing that he talked his way into part of a $300 million security contract with the nation of Burundi. »