Folle journée que ce jeudi 19 décembre, au sujet de la détention à la prison centrale de Bujumbura de l’ancien vice-président accusé entre autres de tentative de corruption. Alors que s’ouvre l’atelier consacré à l’étude de la révision de la Constitution à l’Assemblée Nationale, on apprend vers 11h30 qu’il vient de bénéficier d’une mise en liberté provisoire contre paiement d’une caution d’un million de Fbu.
L’heure est au soulagement, certains même parlent de signal d’apaisement lancé par le pouvoir aux invités présents à Kigobe.
Hélas ! L’espoir de revoir Frédéric Bamvuginyumvira sans la tenue verte de Mpimba sera gelé par une autre nouvelle qui tombe quatre heures après : finalement, le vice-président du Sahwanya Frodebu n’est pas finalement sorti de prison. Selon un de ses trois avocats, Me Raphael Horumpende, la greffe de la Cour anticorruption a refusé de recevoir la caution d’un million exigée par le premier juge : « Nous ne nous faisons pas d’illusion, le Ministère public a décidé d’interjeter appel contre la liberté provisoire », affirme-t-il alors.
Puis une heure après, c’est le brouillard s’épaissit encore plus : l’avocat annonce qu’un nouveau mandat d’arrestation a été établi par le Parquet général près la Cour anticorruption, contre un détenu qui est toujours derrière les barreaux … Les raisons, selon Me Horumpende : d’une part, le premier juge qui a décidé la mise en liberté provisoire n’aurait pas tenu compte des conclusions du Ministère Public, et d’autre part, la caution d’un million de Fbu n’aurait pas été discutée. Et de dénoncer un mandat d’arrêt est illégal : « D’après l’article 121 du Code de procédure Pénale, c’est le juge qui peut faire réincarcérer un inculpé sur demande certes de l’Officier du Ministère Public. Or, cela n’est pas le cas pour mon client », constate Me Horumpende.
Ainsi donc, le Ministère Public devrait formaliser l’appel auprès de la Chambre Judiciaire de la Cour Suprême, avant que M.
Bamvuginyumvira se présente de nouveau devant la chambre de conseil de la juridiction d’appel endéans sept jours …
None ga barundi benewacu ufunzwe nuwo wavyaye haba hasigaye iki?igihe frodebu ivyara cndd fdd ibicishije kuri nyangoma bari bayitumye iki???mwaba frodebu mwe babaze ko muvyo mwari mwabatumye ko harinwo kubafunga canke kwikurako aba tutsi!!nico gituma aboba dd batoshira agati muryinyo kuko ivyo vyose bizobasubirako!hama uwo mushingwamanza sinzi amategeko abandi bize ko ariyo yize!!iyo diplome wayiguze angahe?hehe?urateye isoni!ariko ndaguye ndagarutse mbe abacamanza bubu ingingo bata ntaco zimaze?burundi we gira uhinduke harageze
NDABASAVYE MUZE MWANDIKA MWONGERA MUSOMA AMAZINA YABA JUGES BEMEYE GUSUMVYA INDA IBANGA KUGIRA EJO BUKEYE INTWARO YIGITUGU IHAVUYE TUZOBASABIRE RETRAITE ILLIMITE HAMWE BATAZUBAHUKA GUSOMA MUBAGABO .
ARIKO KUBWUBUHEMU’, TUZOBANZA TUBAKORESHE BASIGE BAFUNZE ABA BABAKORESHA. KANDI BIRASHOBOKA
Mbe harya premier vice-président ashinzwe izihe ministères? Mugabo sinzi abavuze ngo baramaze kumukura, baramuhemba gusa.
Vyoba arivyo?
Aba DD mwebwe ntimubazi: Harya babonye irya 1 million batoyagabura ngo abakwire, inda zaramaze kwaguka, none bamusubije yo kugira bamurekure babanje kuyaduza! Yoooh, turahanzwe Mukama dutabare, duhanzwe na mujeri!!!!
A IWACU,
J’ai soumis un commentaire a propos de ce qu’avait dit WATIBIGAN pour montrer qu’en mettant liberte conditionnelle a la place de Liberte provisoire la suite de ce qu’il avait ecrit ica iba problemetique. Je peux savoir en quoi mon message contrevient-il aux lois et reglements en vigueur svp???
En somme, une parodie de justice, une justice certainement aux ordres, commandée à partir du Bureau du Service National de Renseignement…! Le ridicule ne tue pas…!!!
Cafouillage, confusion, ordre et contrordre deviennent monnaie courante dans certaines institutions. Ici c’est la justice. La présidence n’est pas épargnée, en témoigne cette douloureuse histoire de projet de révision de la Constitution où le parlement est en train de jouer le rôle du gouvernement. Celui-ci n’ayant pas fait son devoir de soumettre ce projet au débat populaire, il demande au parlement de le faire alors que ce dernier n’en a pas les compétences. Dans les provinces, communes, et sociétés publiques… on limoge, on mute, on harcèle les fonctionnaires, puis viennent d’autres contrordres qui les rétablissent dans leurs droits et fonctions. Sans vouloir trop dramatiser la situation, un état ne peut pas bien fonctionner si les responsables agissent chacun selon son bon vouloir, sa logique et sa feuille de route (ubusimbirahamwe).
Watibigan & Co,
Loin de parler du fond de cette affaire qui n’est que sale, tres salle meme, je voudrais vous rappeler une chose, de forme certes mais qui prend le fond de votre idee avec!!!
Vous dites que BAMVUGA beneficie, D’UNE LIBERATION CONDITIONNELLE, pour ne pas porter plainte pour diffammation ou reclamer un dedommagement y relatif?
Mon analyse: Le droit si Eccesia katolika yagenewe bose kandi yabatumwa : n ne beneficie de liberation conditionnelle qu’apres condamnation, a t-il deja ete condamne? Si Oui , selon vous, comment pourrait-il se plaindre apres condamnation? Ni liberte provisoire si conditionnelle, qui, elle intervient apres au moins le quart de la peine prononcee contre son auteur!!!
yayayayay… ewe ba DD… biriko birabatekurukana kabisa… baragowe, kuko nabo harabandi babarindiriye au tournant. bakava ku butegetsi, bazojugumira sindababesha…
Mbega mu Burundi, Ministere public asigaye yabaye umuburanyi n’umucamanza?
Nimba ari ivyo vyose none bimaze iki kwitura sentare?
Abacamanza bo mu Burundi batikuyeko ukwo kwiganza, ukwivanga mu ma nza kw’ubutegetsi
ibintu biracayangaye kandi no gushikira amahoro n’intwaro rusangi bizoba bikiri kure nk’ukwezi!
Les DD veulent sauver leur face , ils imposent une liberation conditionnelle pour intimider Bamvuginyunvira , afin qu’il ne puisse pas les poursuivre pour defamation , indemnite , domage et interet pour emprisonnement abusif …… Quels scandales…..ces affames procureurs travaillent sous les injonctions des DD , Nkurunziza , ils sont vers leurs fins et bientot ils repndront a tous leurs actes. Is too much…
Quelle belle rhetorique!!
Un mandat de rearrestation … par un parquet …contre une decision du JUGE. Une premiere dans l’univers légal. Il ne vous reste qu,a coffrer le juge. Ahurissant!
Non Kabaza! Cela a été possible même avant l’avenement de la démocratie: demande ce qu’un ancien président de la Cour Suprême a eu en 1988 après avoir libéré un ancien dignitaire qui ne plaisait pas aux dirigeants de l’époque. Un mandant de réarrestation a été signé et executé et le fameux président de la cour a été copieusement dégommé, renvoyé au chômage éternnel dans sa Rutana natale jusqu’à ce que mort s’en suive! Ce n’est pas aujourd’hui que cela deviendra impossible!
please any is capable of telling CNND TO STOP you can be that stupid, real i don’t think nkurunzinza is think about his people RUPFIKIRI and the rest of his gung they are going down soon 2015 we will close all the border, no one is going out
Les DDs finiront par lui accorder cette libération conditionnelle parce que la cause de Bamvuginyumvira bénéficie d’une forte et surtout excellente solidarité qui fait souvent peur aux Cndd-Fdd. La remise en question de l’amendement de la Constitution nationale en est un exemple tangible. Attendez voir, son cas finira par être réglé comme cela se doit! Ruvakuki l’a expérimenté aussi, et il est désormais libre de circuler ata nkomanzi. Reste à savoir alors si Rajabu bénéficiera aussi du même appui/soutien. Il a assez payé pour ses erreurs qu’ il est grand temps de le sortir de Mpimba où il continue à moisir sous l’oeil moqueur des ses anciens compagnons DDs. Les burundais doivent se mettre aujourd’hui, en mode de comprendre qu’un adversaire politique au Burundi n’est nullement un ennemi! Tubandanije kubona ko uwomutavuga rumwe muri politique devient et reste un ennemi juré, on ne s’en sortirait jamais! La démarche en soi n’est certainement pas facile mais nous sommes au moins sûr qu’elle est des plus efficaces à suivre. Les politiciens/politiciennes déchus barafata umwanya wokubabara quand leur situation ou position politique est ébranlée évidemment, mais ne faut-il pas aussi qu’ils se relèvent et se remettent vite debout s’ils veulent continuer à servir leur Patrie dans la droiture? Alors, plaidoyer pour Rajabu dans ce sens ne serait pas du tout compromettant. Qui sait que demain ce n’est pas lui qui reviendrait plaidoyer pour nos causes ou s’associer à nos revendications?
Abemera Imana muze tubandanye dusenga, jewe ndabona amashengesho yacu ariko arumvigwa!! Bitebe bitebuke Imana izodufasha umuvukanyi wacu ave munvuto. Komeze gusenga
Umuntu azobogora igihugu c,uburundi ariko arabumbwa ni ingorane uburundi buriko buracamwo,ku bwanje ndibaza ko amaze kuboneka naho tutaramumenya,umunsi urizina tuzokwikangura twumva avugwa,abo bose bigira amafyeta ntambi,abo bigira sura ivu,nibonyene bazomushiraho kandi ndibaza ko atari kera
Fallait s’y attendre mes chers, rien d’étonnant avec les DDs!
Chers Journalistes d’IWACU,
Faites une clarification de la procedure pour qu’on puisse suivre.Quel est le regime de la liberation conditionnelle,qui peut la donner, qui peut interjeter,quelles sont les limites fixees,pourquoi il ya une erreur de la procedure?
C’est deja embrouillee avec les montages sordides, de grace aide-nous a clarifier au moins pour la procedure penale.
« Umwana atinya ikara ahiye » , kandi ngo « uworukarisha gomumwa ».
Diffuser un communiqué dans les médias, c’est bafouer la présomption d’innocence. M. Bamvuginyumvira et Mme Joséphine se retrouvent salis et traînés dans la boue par une justice on ne peut plus partiale et bancale. Que tous les Burundais le sachent: c’est la nation entière qui est salie! La vérité est que des individus au pouvoir ont décidé que M. Bamvuga devait être arrêté, cassé et sali…peu importe le motif. Souvenez-vous de l’arrestation de Ndayizeye et Kadege. C’est la même histoire. La vraie raison de l’arrestation de cet homme est politique. Autrement, on ne peut expliquer la conduite de ce dossier depuis l’arrestation jusqu’à jour. Ce qui se passe doit également servir d’avertissement à tous les citoyens burundais: si vous ne faites pas ce que le pouvoir veut, peu importe votre statut social, on va vous casser dans tous les sens du terme. Voilà. Une vraie république bananière!
Jewe ntaco nkivuga, ndumiwe. Kiratwawe gicuritse. Amategeko ntanumwe azi ico avuga. Umwe wese ay’interpreta uko ashatse. C’est honteux ivy’uburundi. Ce qui est sûr, on évoluera jamais. Bemugira ico musonera. N’umusazi arubaha nyina. C’est à vous d’y réflechir.
Akenshi abagumyabanga baciye muri kaminuza yo ku musaga bahora bashika kuri siège présidentiel , raba NDADAYE na DOMITIEN imbere yo kuja muri palais présidentiel baciye ku mpimba harya uzosanga BAMVUGINYUMVIRA atahukanye visa yo kuba président , abatari bake baronka passeport harya na MANDELA niho yayikuye.
Ongerako na Buyoya yabaye Président avuye Prison, uwuhari ubu nawene urubanza rwari rwanditswe!!!
Menya ko ivyo uvuze ari ukuri100%uti gute niwe yavanye na Buyoya agowe kukwanka guhemukira abahutu’ingendo yiwe yamye, ari yumugabo bravoooo numuryago wawe
Emwe mwabacamanza mwe muraza muragerageza mwihagarareko, ahandi turamaramaza abatwigishije amategeko, mbere tukamaramaza abavyeyi, incuti, abagenzi, igihugu, tutibagiye ko natwe tuba twiteje isoni ukamengo impapuro z’umutsindo dufise ni izo twivye canke twaguze. Mumenye ko agateka umuntu akiha.
Muvuze ngo yatanze amahera kugira asohoke? None nimba ariyo bashaka ntibabe barayamwaka akareka kwirirwa arajayo? None rya bara bamwambika mwonenya bazorimwambura ryari? Hemwe, mbega aho i Burundi barakenyeye baje baravugira hejuru ibintu vy’ibishegu vyo gusambana, umuntu abivugiye muri tél wewe mbega atashe araja aho akayaga n’abana biwe atamaramara? Twebwe tugikura, je suis dans la quarantaine, n’umwana bavyikeka ko abandi bana baravyongorerana mugabo sinari bwumve bija mu biyago à haute voie!! Uwuramvye arabona n’ukuri, Uburundi bugeze kure. Mbega aba DD bohava twosubira kugira iteka nka kera??? Too late, maybe!!!
Mbe yemwe iki gihugu c’uburundi kizokizwa na nde? None nka riya bara bamwambitse nta soni bagira. Iyi reta irakwiye kwisubirako kuko ils ne sont pas même à mesure de faire un montage!!!!
Isoni zigira abantu, quand à faire un joli montage, la plupart parmi eux se recrutent dans cette gamme de fraudeurs de diplômes que vous avez entendus à la radio. Wait and see!
C’est bon
Bail out for what??Emwe ntaco tutazobona kuri reta ndd.Caraziwe
Mureke sha Rumbete yicire agakate ariko naka ba dd kazomuhagama, arabaza Giswaswa.
Ibisigaye, Mutama Bamvu naze tubandanye urugamba ntagukangwa nabatinya Democratie
Bari bagomvye tout simplement kukwereka ko ataco batinya kugira n’ejo n’ejo bundi uze ugire ico utinya.Kandi aho wosanga ico bakuronderako bakironse!Ejo twozohava twumva wishikanye or washinze nyakuri!!!Ewe sha Bamvuga,pole sana!
Deux vice-présidents ont déjà bu la sauce préparée à la burundaise spécialement pour les anciens dirigeants (les préparateurs de la sauce l’ont fait goûté à Kadege et Bamvunginyumvira). Une tentative a échoué pour Ndayizeye et Buyoya. C’est vraiment regrettable et si cela continue tôt ou tard Nkurunziza en prendra une dose. Il faut protéger les anciens dirigeants même s’ils sont plus ou moins propres. Inkoni ikubise mukeba uyirenza urugo disent les sages ancêtres.
Nta kundi vyari kugenda. Twaritwiteze ko bamukurako na makeya bakoresha mu myiyamamazo! C’est honteux! Le pouvoir DD Vient de manifester un comportement qui risque d’occasionner sa faillite!! Ni mubaterere ubwo buhera atahe tubandanye urugamba rwacu. Ngira bibaza ko tutayaronka!!
A quoi bon d’emprisonner quelqu’un sur basé du dossier monté en toutes pièces , c’est très riducule pour la justice, none urya mu magistrat yasohoye irya communiqué ubu azoca hehe? Uheza kugoka ibigori bikera, ewe Emmanuel RUMBETI , uzopfa wambaye ibara, urareka sha izo excès de zele witonde kuko buraca bugacana ayandi, à chaque jour suffit sa peine, icerekwa nicumva icerekwa nikibona
Ayo mahera mbega yo bamutangishije nayiki, il faut classer ce dossier sans suite pour l’honneur de la justice et pour l’honneur de Bamvuga, il faut aussi qu’il soit indemnisé avec Joséphine.