Dans son discours d’ouverture, le président de l’Assemblée Nationale, Pie Ntavyohanyuma, a demandé aux participants de prendre leurs responsabilités face au peuple burundais.
Il a rappelé que la Constitution actuelle est issue de l’Accord d’Arusha pour la Paix et la Réconciliation au Burundi. Et cet accord aide depuis une dizaine d’années le peuple Burundais à bâtir la paix et la démocratie et à promouvoir et consolider la réconciliation.
Revenant sur Nelson Mandela, grand architecte de cet accord, il a mentionné que « honorer la mémoire de Nelson Mandela », en être de dignes héritiers, et se montrer reconnaissants envers cette personnalité hors pair, « c’est pour les élites burundaises un devoir au regard de la voie qu’il a contribué à tracer pour notre pays. »
Dans son discours d’ouverture, il affirme que la révision de la Constitution concerne tous les Burundais. D’où, précise-t-il, l’adoption par les parlementaires de la pratique d’auditions. C’est dans le but de s’assurer qu’une loi qu’ils sont appelés à voter, ou toute autre décision qu’ils prennent, répond aux préoccupations des citoyens et garantit les équilibres nécessaires pour la paix et la stabilité dans le pays. Le président de l’Assemblée nationale est confiant. « Répondre à l’invitation est un signe d’espoir pour la qualité du travail qui va être fait et un signe d’espoir de réussite. Et cela rassure le peuple Burundais », mentionne-t-il.
Quel sort pour les clauses de l’atelier ?
A ceux qui se demandent de la suite des clauses de cet atelier, Pie Ntavyohanyuma répond : « L’Assemblée nationale est sensible à tout ce qui peut conforter la paix, la sécurité, la concorde nationale et la démocratie dans le pays ». Et d’ajouter : « Nous ne doutons pas que les consensus qui sortiront de ces assises y contribueront. Nous sommes ici pour puiser chez vous et intégrer dans les procédures législatives tous les avis et toutes les considérations de nature à nous aider à voter des amendements de notre Constitution qui s’inscrivent dans cette démarche consensuelle souhaitée par nous ». Ce qui contribuera à se doter d’une loi qui soit un véritable parapluie pour tous les Burundais, « une loi qui aide pour continuer à bâtir et à consolider un Etat qui rassure chaque Burundais, dans le respect et la tolérance de nos diversités ethniques, politiques, religieuses et civiles. »
Et de lancer un appel : « Il faut que cet atelier soit guidé par la responsabilité des uns et des autres pour servir notre pays avant de servir les organisations et autres origines auxquelles nous pouvons être rattachés ». D’après lui, les participants doivent agir et se comporter en véritables leaders capables de se surpasser, uniquement soucieux de servir le peuple burundais. Il a conclu en demandant aux participants à avoir moins de suspicion car, « pour réussir ce pari, nous devrons cultiver une confiance mutuelle et placer notre pays ainsi que l’intérêt général par-dessus tout. »
Jewe si ndi umu DD urabona ko aribo bagisibije, ariko ntaco, mbe ko buca bihinduka bazigikwigwa he ga barundi! nsavya abarundi babandanye bandika mu mitwe yabo ibikorwa vy’iyi ntwaro, hanyuma nti BURAKEYE TUHEREKE ABAGABO nka ya Mbeba.
Ku vyerekeye Bourse y’Umwana wa ntavyohanyuma, nibaza ko ari akabeba gato kariko karirira utugori mu kigega ariko nta kosa ko kagira, amasiha nayo!!! erega ama miliardi biba bararya ntibaheza, ayandi barisasira, ayandi barayimbiye, NI BABE BARACUGWA, ko ata nigihugu kizokwemera kubakira, buca tubatoza igera:::
Il n’y a que sous feu Mayugi que les bourses étaient octroyées dans la plus grande transparence.
Que Dieu ait son ame.
Ntabaye uwambere kandi ntabaye uwanyuma, nabandi barabikoze, kandi bazobandanya babikora ariko ntavyo nshigikiye, baragira enquete uwutabifitiye ububasha bayimwake, ariko ntagitangaje kirimwo kuko mu burundi tout est possible bose nayinda gusa, ariko ntivyobandanya uko bimeze? HANYUMA Pie il faut le laisser yitoze asubirire Nkuru kuko abarundi ntibakimushaka , intwaro yiwe yaranzwe namayobera menshi, naheze agende, ariko umwe nuko ava i ngozi uwundi mu kayanza , nibarabe bagerageze umurimiro wi Gitega nawe
Il faut vous aussi au moins distinguer Dr.Pie de l’année 2003 professeur en démographie internationalement reconnu et Pie président de notre chère institution »parlement » qui dans l’histoire des assemblées se classera numéro 1 dans le vote des lois liberticides, la destitution des élus du peuple dans cette institution, la compréhension hors du commun des projets loi des ministres sans toutefois poser beaucoup des questions………….,
Donc Pie de ce jour il peut tricher sur les bourses et sur n’importe quoi car son parti aussi a une expérience dans la tricherie.
Voie de sorti: faisons tout pour dire non et au revoir aux Tricheur
Si on écoute ceux qu’il parle, on dirait que c’est bien, mais les Barundi veulent que ceux qu’ils disent de vérité soient applicable.
@Iwacu: Faites vos enquêtes sur ce que vient de dire Mr Anonyme. Car s’il s’avère vrai, c’est un signe de haute trahison, et cela permettra de mettre au clair l’hypocrisie de certains de nos « dirigeants ».
Monsieur Anonyme, ne parle pas seulement de la fille de Ntavyohanyuma, il faut te rappeler des bon-frères de Ntisezerana qui obtiennent des bourses d’excellence alors qu’il n’ont même pas réussi à l’examen d’état!! C’est honteux pour ce pays dont la jeunesse ne se rend compte de ce qui est en train de se passer! Elle pense toujours au petit pain et à la bouteille d’Urwarwa qu’on leur donne lors des meeting et passe à l’aliénation généreuse de leur avenir!!
Monsieur Pie Ntavyohanyuma,arrêtez de faire le Saint. Parce que bientôt vous allez devoir nous expliquer comment il se fait que VOTRE FILLE, NATURALISEES BELGE, FAIT DES ETUDES EN BELGIQUE, QUI SONT PRISES EN CHARGE PAR LE GOUVERNEMENT BURUNDAIS. Vous la faites passer pour une étudiante boursière burundaise, et bénéficie donc de la bourse de l’état burundais. C’EST DU VOL, DU VOL, DU VOL!!!!! C’est honteux. Iwacu, pouvez-vous faire des enquêtes plus approfondies sur ce genre de vol, où on dépouille le pays? SVP. Je suis choqué ça fait des années que je suis au courant mais maintenant ça doit se savoir.
Merci. J’espère que nos medias vont réagir. C’est pour cela qu’on peut se permettre de malmener les Burundais. Nous sommes des Ngombe za Nkurunziza. Si cela se révélait vrai, comment est-ce personne ne nous donne de lumière sur une information comme celle-là? Et vous me direz qu’il y a une opposition? Il y a certainement des dizaines de cas pareils, nous entendons le murmurer mais sans avoir d’information sûre. S’il vous plaît, donnez-nous de la lumière, le pays nous appartient à nous tous.
@anonyme
» Parce que bientôt vous allez devoir nous expliquer comment il se fait que VOTRE FILLE, NATURALISEES BELGE, FAIT DES ETUDES EN BELGIQUE, QUI SONT PRISES EN CHARGE PAR LE GOUVERNEMENT BURUNDAIS »
Je vais être l’avocat du diable! Etre belge n’exclut pas d’être burundais, à première vue! Mais d’autres arguments ne manquent pas pour fustiger cette situation! Celui-là, par contre je le trouve un peu (trop) léger!
Effectivement tu te fais l’avocat du diable parce que ce que anonyme dit est vrai. Je travaille au Sénat,raisin pour laquelle je veux rester anonyme. Et effectivement Mr Pie a une fille (de nationalité belge) qui fait des études payées par le Burundi. Une bourse lui a été discrètement accordée et ce de la manière la plus illégale possible. Elle ne devrait pas y avoir droit. Elle n’a presque pas étudié au Burundi,cette bourse lui a été donnée tout simplement parce que son père occupe cette fonction et c’est du VOL.
@jeveuxreseranonyme, anonyme et Anonymous
Je suis 100% d’accord avec Anonymous. Je dois aussi ajouter que jeveuxreseranonyme n’a pas donne de prevue qu’on doit avoir etudie au Burundi pour beneficier d’une bourse de l’Etat burundais! Il faut donc chercher les arguments ailleurs comme l’a bien dit Anonymous !
@jeveuxreseranonyme:
« Une bourse lui a été discrètement accordée et ce de la manière la plus illégale possible. » Dites-nous, illegal par rapport a quelle loi? Faut pas confondre immoral/inequitable et illegal! Il faut un peu de discipline dans le language burundais sinon on va nulle part !
uwo avuze discipline ubwo yarabajije neza ko ubuyobozi bwubwo burundi bari discipline que le peuple?kandi kutamenya ururimi sukuvuga kuba indiscipline.murartubabarira niko turemye.murakoze.
c’est quoi ca?c’est la pasgualle dans ce pays du sang.