Tel est l’appel lancé à la classe politique burundaise ce vendredi 28 août 2015 par le Secrétaire général des Nations Unies. C’est au moment où cet accord soufflait ses 15 bougies. Mais cette date est passée inaperçue au Burundi.
Ban Ki-moon a demandé aux autorités et aux responsables politiques burundais de se rappeler de l’esprit de concessus. Selon lui, avec l’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation, ce processus a vu naître la première génération de Burundais sans aucune expérience directe de la guerre depuis l’indépendance du pays. «Jamais l’esprit de l’Accord d’Arusha n’aura été autant remis en cause qu’au cours des cinq derniers mois», a regretté le Secrétaire général des Nations Unies.
Il encourage les Burundais à renouer avec l’esprit de dialogue, de consensus, de démocratie et de résolution pacifique des différends incarné par l’Accord d’Arusha.
Il appelle la classe politique burundaise à faire preuve de faire preuve de courage et de clairvoyance en renouant le dialogue avec leurs adversaires politiques et en transcendant leurs différends. «Aussi grands que ces différends politiques puissent sembler, ils sont bien modestes que le prix d’un retour à la violence.»
Le Secrétaire général des Nations Unies a rappelé qu’un mois après la signature de l’Accord d’Arusha, le Facilitateur dans la crise burundaise, prix Nobel et ancien président sud-africain, Nelson Mandela, s’est adressé au Conseil de sécurité : «Le Burundi est sur le point d’aborder un chapitre tout à fait nouveau de son histoire.
L’histoire jugera très durement ceux qui ont délibérément choisi de barrer la route de la paix et du progrès.»
Faisant aujourd’hui écho au message de feu Mandela, Ban Ki-moon a émis le souhait que tous les dirigeants politiques burundais, y compris ceux qui sont en exil, puissent trouver un terrain d’entente et faire preuve de leur engagement à consolider la paix et la stabilité que l’Accord d’Arusha a apportées au pays.
Le dialogue et l’esprit d’Arusha n’interessent pas le pouvoir du CNDD-FDD qui pense qu’il reglera tous les problemes socio-politiques causes par le 3e mandat de Mr NKURUNZIZA par la force et la violence.
On a marre de ces souhaits. Il se reveille de temps en temps pour lancer ses petites declarations.
Dieu punira ceux qui ont deliberement violer les accord d’arusha pou leur propres interets dus à leurs égoismes,mépris et arrogances incomesurables et insuportables!
Cher Turagisangiye Dieu a déjà approuvé le pouvoir de Nkurunziza. Il est écrit:Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C’est pourquoi celui qui s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes (Romains 13: 1-2) IRYO N’IJAMBO RY’IMANA!
Si Dieu arait voulu renverser le pouvoir de CNDD, il l’aurait fait sans aucun problem. Mais il a préféré que les choses soit ainsi au Burundi en ces jours-ci.
De quel « Dieu » parlez-vous quand les gens se font tuer, torturer, terroriser…? Aujord’hui, un phénomène nouveau: Prison a ciel ouvert, les enfants, malades, et femmes meurent dans leurs foyers a Jabe, Musaga, Nyakabiga, Cibitoke… Si Dieu a choisi Nkurunziza, il ne peut pas cautionner avec ces criminalités. Ce qui se fait n’est aucunement la volonté de Dieu. Je le sais et je le sens. Je ne sais pas quand et comment, mais sachez bien qu’Il ne tardera pas de sauver le burundais.
Cher Turagisangiye, Dieu a déjà approuvé le pouvoir de Nkurunziza. Il est écrit: Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu. C’est pourquoi celui qui s’oppose à l’autorité résiste à l’ordre que Dieu a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes (Romains 13: 1-2) IRYO N’IJAMBO RY’IMANA!
Si Dieu aurait voulu renverser le pouvoir de CNDD, il l’aurait fait sans aucun problème. Mais il a préféré que les choses soit ainsi au Burundi en ces jours-ci.
Bizoza, ce n’ast pas parce que les gens se font tuer ou torturer que Dieu ne controle pas le Burundi. Soyons raisonables: Ou était Dieu le jour de la mort de son Fils sur la Croix? Le Burundi ne peut pas devenir un paradis terrestre comme vous le pensez. Dites ce que vous voulez, mais, malgré tout, le gouvernement en place au Burundi est dirigé par les hommes et les femmes que Dieu a choisis en passant par la voix du peuple. Dire que vous le savez et que tu le sentez que Dieu ne tardera pa à sauver le Burundi, c’est une bonne idée. Mais, il se peut que le salut soit déjà là, alors que nous cherchons un autre ailleurs pour combler nos désirs. Comme je l’ai dit dans mon dernier commentaire: Si Dieu aurait voulu renverser le pouvoir de la CNDD, il l’aurait fait sans aucun problème. Mais il a préféré que les choses soient ainsi…