Philémon Ndabarushimana, accusé de plusieurs cas de viol dans la commune Itaba et ses environs a été arrêté ce dimanche à Gihamagara non loin de chez lui après plusieurs mois de traque. La population et les services de sécurité s’en réjouissent.
La traque de la police aurait pu être encore longue si au soir de son arrestation, l’agresseur n’était pas revenu roder près des lieux de ses crimes. Les habitants l’ont tout de suite reconnu et ont averti la police qui était tout proche. Philémon Ndabarushimana sur qui on compte plusieurs cas de viol et agressions a tout de suite avoué ses forfaits prétextant qu’il était sous l’emprise d’ensorcèlement : « Je veux me convertir dans une église protestante car j’ai réalisé qu’aucun autre moyen ne peut me sauver », a-t-il déclaré devant la police.
Le demande-t-on où il se cachait durant la traque de la police effectuée depuis trois mois ? L’accusé a répondu qu’il était allé en Tanzanie mais qu’il revenait de temps en temps à Itaba, même s’il circulait pendant la nuit.
Ainsi, celui qui se surnommait « Commando » est sous les verrous. Car le mode opératoire était désormais connu : l’agresseur se déguisait en une femme et portait une perruque. Il guettait ses victimes dans les lieux en peu reculés, surtout à la tombée de la nuit, et les violait sous la menace d’une kalachnikov factice.
L’homme, interpelé ce dimanche à Gihamagara en commune Itaba, s’en prenait essentiellement aux jeunes filles, ou aux couples, abusant la femme sous le regard impuissant du mari tenu en respect avec son faux fusil …
Ils redoutent d’une libération de l’accusé
Après son interpellation, l’agresseur a été conduit devant le magistrat du Centre Humura à Gitega qui s’occupe des cas de violences basées sur le genre. D’après la population de Buhoro et ses environs où Philémon Ndabarushimana sévissait, c’est une grande victoire. Néanmoins, la grainte est toujours là. Cette fois-ci, on est sceptique sur son emprisonnement car l’homme est séropositif : « Il pourrait bénéficier d’une grâce présidentielle suite à sa maladie incurable, comme l’atteste la dernière libération conditionnelle effectué dans les prisons du pays. Dans ce cas il pourrait récidiver sans se douter de rien », s’inquiète-t-on.
Pour le moment, côté police, on en est encore au soulagement : « Cette arrestation résulte d’une collaboration efficace entre la population et les forces de l’ordre », souffle le commissaire provincial de la police. Pour ce qui est du procès, « il ne ne devait pas prendre de temps car l’accusé reconnait lui-même les faits et énumère le nombre de ses propres victimes, plus de cinq. »
Un message complété par la directrice du Centre Humura, qui indique que le centre prend l’affaire en mains et invite les victimes à venir témoigner pour faciliter la poursuite du dossier.
La peine de mort ne devait pas avoir été abolie.
Continuer à nourrir un tel criminel me paraît être un autre crime.
Dieu nous a pardonné, mais lui aussi parfois il avait institué la peine de mort.
La Grâce est venue, mais ça me dépasse vraiment.
la peur de la population d’Itaba peut être fondée vu ce que nous vivons aujourd’hui avec une justice mise à mal par la corruption. Mais pour un magistrat suprême avisé, l’intérêt de la société prime sur l’intérêt individuel en matière pénale. Pour une justice qui fonctionne correctement, il serait aberrant de libérer une personne sous prétexte qu’elle est malade du moment que sa maladie est plus un danger à la société qu’à la personne elle-même. Mais tout est possible, la justice burundaise est forte pour nous réserver le contraire.
Uyo muntu n’abantu nkabo baba bazi ko barwaye bakica abandi imbonankubone bakwiye Kunyongwa, kandi iryo Tegeko barisubiremwo, ntabwicanyi busumba ubwo.
Kuri ANONIMIUS muntu we, umuntu ari kuma ARV ntibimubuza kwanduza uwo bakoranye imibonano mpuzabitsina idakingiye n,ukuvuga batakoresheje agakingirizo kuko irya miti ntiyica umugera wa SIDA ahubwo ugabanya igwirirana ryuwo mugera mumubiri none rerontihagire uwuzoguhenda ngo ari ku miti yo gupfupfahaza ngo ntaba acanduza oya nyabuna waramaze kwandura uwo mugera uzokwama wanduza uwo mubonanye wese gushika w,itabe Imana,gira amahoro mugabe ntimuhendwe.
Murakoze cane KAZE kunsiguro mumpaye. Icaricatumye ndabibaza gutyo n’uko haruwo nigeze kugirana imibonano mpuzabitsina nunvise bambgira ko ari ku ma ARV kuvico gihe naciye nipimisha nsanga nsindandura! Hama ndasubira nyuma y’amezi 3 nsanga nsindandura! N’ubu rero haraheze imiaka itanu nico gituma nari naciye nibazako abari ku ma ARV bose badasubira kwanduza abandi?
Initiator of Creativity for leadership
Il est qu’il a accepté ces crimees!mais le centre HUMURA pouvait aussi lui faire ce test du VIH avant même de le transmettre en prison et s’il est réellement séropositif, nous ne voudrions pas aller à l’encontre de la grâce présidentielle que bénéficie de tes gens mais celui-ci vient de nous indique que le décret qui octroi cette grâce nécessiterait des alinéas d’exception;Car cet homme mérité sa perpétuité et il va être libre!!Paradoxe!!!Nous aimerions que sa liberté soit limité et doit vivre dans un lieu surveillé pour la sécurité des milliers des gens surtout les jeunes filles!Aussi à cause de ce comportement qui fait atteinte à la sécurité intérieure son relâchement est délicat, la justice pourra l’analyser!
mbega ko nunva ngo yari ku mu ARV, none iy’umuntu ari ku ma ARV abagishobora kwandukiza? j nagirango ubukari bgindwara buca bugabanuka kubulyo uwo bagiranye imibonano mpuzabitsina ataba agishoboye kwandura? nfasha kumenya no gutahura, murakoze
Il faut punir sérieusement ce criminel qui transmet sciemment le vih par viol! Il est coupable d’homicide volontaire.
Ninkozi y ikibi aragahera mu munyororo…ariko iyo afatwa nabanya gihugu bagacca bihanira, vyari kuba vyiza caaaane , urumva uwo muntu agwaye nabo bana yononye, nuwo muryango nukuri, basi nibabe babakubita babahane bafungwe nububabare bw inkoni !!!!!
Bakwiye kumuca ico yishimana bakaraba ico asubira kubandurisha!
Canke bamukone!
Ha! naco nyene ngira ni kibi yemwe ico gihimba ciwe!!! uravye ingene asa ukagira yabanduje umugera gusa, oya n’iyindi micafu yooose arayigendana. N’ukumubaza ko ata wamutumye araka!