Moins sensibilisé et mal soigné dans les campagnes, le diabète attaque et rend pauvres les familles rurales.
Rien que dans la zone Mutoyi, commune Bugendana, sur 289 personnes dépistées, 33 présentent des cas pathologiques graves.
Clotilde Nduwumukama est aujourd’hui aveugle à cause des complications du diabète. Elle ne participe presqu’à rien dans la gestion du foyer. Pauvre et sans argent, elle n’attend que la mort.
« Je ne savais pas avant que j’ai le diabète. J’ai tout dépensé jusqu’au dernier sou. C’est après la mort de mon enfant que j’ai commencé à douter si je n’ai pas une maladie incurable. Après les examens, les résultats ont montré que j’ai développé le diabète. Trop tard, mes yeux ont déjà été atteints », témoigne-t-elle.
Dans son milieu, Clotilde comme les autres personnes sont mal informées sur le diabète. Beaucoup vont consulter les féticheurs espérant guérir le mal qui les ronge. Ils ne vont pas à l’hôpital parce qu’ils croient qu’ils sont ensorcelés par un voisin. Même s’ils y vont, la maladie a déjà présenté des complications. Cette population demande aujourd’hui qu’elle soit sensibilisée.
« En plus d’un régime alimentaire très stricte, les médicaments sont très chers. Beaucoup d’entre nous restent chez eux par ignorance. Celui qui voudra nous aider devait commencer par nous sensibiliser jusqu’aux à nos sous collines », demande une femme qui est sur le lit de l’hôpital de Mutoyi. Ses jambes sont couvertes déjà des plaies. Selon les sources de l’hôpital, elle risque d’être amputée d’une jambe.
Selon Spés-Caritas Nsavyimana, présidente de l’Association pour la prévention et la prise en charge du diabète(Aprepridia),le diabète impose au quotidien des contraintes de traitement, de régime et de surveillance qui durent la vie entière. Mal équilibré, il entraîne à terme des complications graves. Selon elle, une alimentation déséquilibrée aggrave la situation.
Toutefois, elle rassure. D’après la présidente les complications peuvent être évitées une prise en charge et un suivi réguliers.
Le pancréas est l’organe de notre corps qui produit de l’insuline. Physiologiquement parlant, c’est l’insuline qui régule le taux de sucre de notre sang. Les médecins nous disent que ce taux ne doit pas dépasser 1 g/litre pour être en bonne santé. Toutefois, quand notre pancréas commence à viellir, la production d’insuline par le pancréas diminue. Conséquence: le taux de sucre dans notre sang augmente. L’accumulation de sucre dans nos organes comme les yeux, les reins, les orteils, le pénis, etc. aboutissent aux complications que nous connaissons comme la cécité, les néphrites, le gonflement des orteils nécessitant parfois l’amputation des jambes et l’impuissance sexuelle.
A l’heure actuelle, la recherche médicale pour traiter le diabète n’est pas très avancée. Les médecins nous disent qu’il faut suivre un traitement chimiothérapeutique à vie. De plus, ils interdisent la consommation de sucre raffiné par exemple pour sucrer notre thé ou notre café. A la place, ils conseillent un succédané ne contenant pas de glucose qu’on peut se procurer en pharmacie. En outre, ils nous conseillent de limiter la consommation d’aliments contenant beaucoup de glucides (manioc, patates douces, pomme de terre, bananes, etc). Ceux qui ont le diabète de type 2 (excès de poids) doivent suivre un régime minceur.
Toutefois, il reste encore un autre remède (le vrai celui-là) que beaucoup de gens ne connaissent pas. C’est celui donné par notre créateur lui-même qui est le Médecin par excellence. En effet, lors de certaines messes de guérison organisées dans les églises catholiques, il arrive que le Christ guérisse des personnes atteintes par une telle calamité. Et là, c’est pour toute la vie! J’en suis témoin. Le Christ est en effet capable de regénérer complètement un organe vieillissant comme le pancréas. Qu’il soit béni et loué à jamais! Ceux qui connaissent Monsieur Jean Pliya du Bénin qui a visité notre pays il y a quelques années n’oseront jamais me contredire.
@Venant,
« Ceux qui connaissent Monsieur Jean Pliya du Bénin qui a visité notre pays il y a quelques années n’oseront jamais me contredire. »
Qui vous démontre que l’Esprit saint que Jesus utilise est le même esprit qui utilise Jean Pliya? Il est prudent de tenir compte de la prophétie que Jesus Christ lui-même a donné concernant les temps de la fin en Mathieu 24:24-25 « Car de faux Christs et de faux prophètes se lèveront et produiront de grands signes et des prodiges, de façon à égarer, si possible, même ceux qui ont été choisis. 25 Voyez ! Je vous ai prévenus ».
Si maintenant on met cette prophétie ensemble avec la prophétie inspirée à Paul en 1 Corinthiens 13: 8-11, « L’amour ne disparaît jamais. Mais que ce soient les [dons de] prophétie, ils seront abolis ; que ce soient les langues, elles cesseront ; que ce soit la connaissance, elle sera abolie. 9 Car nous connaissons partiellement et nous prophétisons partiellement ; 10 mais quand ce qui est complet arrivera, ce qui est partiel sera aboli. 11 Lorsque j’étais un tout-petit, je parlais comme un tout-petit, je pensais comme un tout-petit, je raisonnais comme un tout-petit ; mais maintenant que je suis devenu un homme, j’ai aboli ce qui est [propre] au tout-petit ».
On peut facilemet douter car l’Esprit saint que Jesus et Paul utilisait était le même et ne se contrédisait pas, pour dire que ce même Esprit n’opère pas aujourd’hui comme il opérait jusqu’à une certaine époque (initiale) de l’ère chrétienne!!
@Mugunza
Rassurez-vous Mr/Mme Mugunza. Monsieur Jean Pliya est un fervent catholique du groupe Renouveau charismatique. On le surnomme la terreur du Vatican tellement sa réputation est grande au Saint-siège de l’Église du Christ. Il est l’auteur de plusieurs publications dont celle intitulée des ténèbres a la lumière. Lisez-le si, par un heureux hasard, elle tombait entre vos mains et vous serez édifié.
Par ailleurs Monsieur Pliya ne préside jamais une messe de guérison comme il n’est pas prêtre. Il intervient au cours de la messe, sur demande de ce dernier, pour expliquer l’importance du précieux sang de Jésus, la puissance du Christ ressuscité et les miracles que celui-ci peut opérer lorsqu’on invoque son Esprit-Saint.
Cordialement.
Merci de ce sujet. Le diabète tue en silence partout dans les villes comme dans les campagnes. En Afrique, souvent on meurt de ce fléau faute d’information suffisante. Le mode de vie a à lui seul 75% et l’hérédité detient 15% pour attrer le diabète, selon les récentes recherches.Pour certains le surpoids est le principal signe précurseur du diabète de type 2. Quand quelqu’un gagne en poids, certains disent que sa vie s’améliore( arorohewe, yazanye imburujwa, itunga riramutashe!!!) alors que ce le moment propice de se faire depister et faire attention au régime alimentaire et à la sédentarité. L’activité physique regulière( marche soutenue de plus de 30 minutes avant d’aller au lit, plus de 5 fois par semaine), et la réduction d’aliments gras sauf le poisson, sont les armes les plus éfficaces et pour la prévention et pour la lutte contre le diabète.
Diabethe ikunda la DiCIPLINE gusa
Ehe dabwire
Kenyera nuhebe ariko muhebe cane ubugari ibijumbu eka ibitemba ifu
Mubifunguye muje muri sport 1h
Ariko rero ikindi inyama rouge
Amata adatereye heba
Mufungure bike bike ariko keshi
Kandi muje muri controle
Imiti ibabe hafi
Iyi diabethe ntaco izo bagira
Au Burundi,et,ssurtout dans les campagnes, des gens meurent et ensuite pensent yuko babaroze. Sans savoir que leur mort peut être due à un cancer qui n’a jamais été détecté,diabète,sida,crise cardiaque et plein d’autres maladies qu’ils n’ont jamais pu détecter. Ils se pressent d’aller chez le mupfumu ,mais lui,qu’est-ce qu’il peut faire à part leur raconter des bêtises et dire que c’est le voisin qui est à l’origine de sa mort,etc…
Et que leur dites-vous quant aux causes afin de non seulement prendre en charge les malades
mais aussi prévenir d’autres cas à ce rythme inquiétant.
Birababaje.
Déjà dans ma famille ce fléau a déjà frappé fort.
Celui qui detenait l’autorité familiale est actuellement dans état déplorable.
Si les moyens du pays le permettaient, il faudrait une sensibilisation et un depistage nationale gratuit pour en limiter les dégats et aussi investir dans l’equippement et le personnel médical pour aider ceux qui vont déjà mal.
Notons que pour le moment, ceux obligés de faire recourt au dyalise,…doivent aller dans d’autres pays et c’est très chère:beaucoup sont ceux qui ne peuvent pas se payer les frais et doivent attendre la mort.
Birababaje mukama mbega umunyagihugu atagira n akajumbu arya iyo diabete azoyigira gute. Mukama girira ikigongew banyarucari
Urazi ga terezia hariho abantu bakorera mukinama nukuri barafasha cane abantu bagwaye diyabeti mugihe uyigwaye wemeye impanuro zabo muguhindura cane cane imfungugwa. Ese yemwe boduga na ruguru, kuko bafasha kubuntu iminsi yose ku wa,mungu. Abantu benshi rero bishwe nukutumva, bamwe ngo bavyize he? Abandi ngo hari uwoheba akanyama, nawe azarinyama gusa zijejeta, abandi ngo hari uwoheba akayeri , norya ibitagira umunyu, nibindi nibindi, nayo yangwara iriko yinyengetera, imitsi ikaziba, amaraso agasubira mumutima, tention ikaduga, ngo n’amarozi. Emwe emwe barundi, yamara harya hagupfa wozanzama