Iwacu entame une série de présentation des candidats déjà déclarés à la fonction suprême. Cette semaine Gérard Nduwayo de l’Uprona
Le 28 février 2015, Gérard Nduwayo a été élu par le parti Uprona reconnu par le gouvernement comme son candidat aux élections présidentielles du 28 juin 2015. Mais qui est cet homme qui sera peut-être le futur président du Burundi ?
« La survie de l’Uprona est plus menacée dans l’illégalité que dans la légalité. Je veux relever le défi du rassemblement autour de l’Uprona à la veille des élections, au moment où l’opinion dominante est celle du doute. J’ai une vision que les choses peuvent changer pour un parti dont l’espérance de vie dépasse celle de ses dirigeants », déclare d’emblée Gérard Nduwayo. A 53 ans, celui que ses camarades ont surnommé « Kissinger » à l’école secondaire semble confiant. « On m’a donné le nom du très populaire secrétaire d’Etat américain des années 1970 parce que je m’intéressais beaucoup à la politique », se rappelle-t-il.
Selon Gérard Nduwayo, le Burundi a besoin d’un nouveau leadership plus clairvoyant et déterminé à imposer un avenir sûr à tout le pays. « Je me suis jeté dans la bataille. C’est un sacrifice et je pense que j’aurai des réponses. » Pour le candidat de l’Uprona aux présidentielles, dont le slogan est « Le changement qui rassure », il ne suffit pas de voter pour un parti ou contre le pouvoir, mais voter pour un programme et un leadership. Aussi envisage-t-il de grands chantiers mais aussi la manière de les réaliser.
« Je ferai du Burundi un pays émergeant en 2020. »
S’il est élu, M, Nduwayo compte mettre en place le contrôle des institutions, notamment un réel contrôle de l’action gouvernementale par le Parlement. Mais aussi par la population, où les ministres auront à s’expliquer annuellement sur leurs réalisations. Le candidat de l’Uprona insiste également sur des mécanismes de suivi des projets et leur conception. « Il est possible de faire du Burundi, en 2020, un pays qui commence à poser les piliers d’une économie émergente », martèle M.Nduwayo. Les leviers de cet objectif, poursuit-il, sont un environnement politico sécuritaire et des affaires. Ce qui pourrait relever le taux d’activité économique, rassure-t-il. « Il y a un potentiel qui peut nous propulser à un niveau d’émergence mais il est étouffé. »
Une autre des mesures clés du candidat uproniste est de régler les dossiers hérités de la mauvaise gouvernance, comme la lutte contre l’impunité, le respect des droits et libertés, faire fonctionner les structures déjà existantes, en les améliorant ou en les modifiant. Gérard Nduwayo accorde beaucoup d’importance à l’Accord d’Arusha dont il compte sauvegarder les acquis.
Un candidat presque parfait…
Selon une biographie fournie par Gérard Nduwayo, il est connu dans l’opinion publique nationale et internationale, « comme l’un des porte-parole qui ont marqué la communication de la vie politique du Burundi pendant la transition (2002-2005). » Notamment pendant les négociations de cessez-le feu avec le CNDD-FDD, les négociations sur la constitution post-transition ainsi que lors de la campagne électorale de 2005. » Cette biographie ajoute que M. Nduwayo a aussi été le représentant permanent de l’UPRONA au Conseil exécutif de la Commission de suivi de l’application de l’accord d’Arusha. « Ses idées au débat sur la constitution post-transition dans les années 2004/2005 ont fait de l’UPRONA le champion dans la défense d’un système politique consensuel, malgré la persistance des lectures spéculatives majoritaristes autour du texte de l’Accord d’Arusha », poursuit-on.
En 2006, apprend-on, il se retire momentanément de la vie politique, où il revient discrètement deux ans après, surtout lors des préparatifs du congrès de réunification de 2009. A cette époque, indique sa biographie, il est parmi les animateurs d’un vaste courant de changement qui réussit à faire élire une nouvelle génération de dirigeants.
D’après cette biographie de Gérard Nduwayo, son militantisme ne date pas d’hier. Déjà, y lit-on, a l’Université du Burundi dans les années 80, il est élu comme un des leaders étudiants dans les comités successifs du mouvement de jeunesse de l’Uprona.
Le candidat de l’Uprona, précise sa biographie, jouit d’une large expérience régionale et internationale sur les questions de paix et sécurité. Le 3 juillet 2014, un décret présidentiel a promu Gérard Nduwayo au rang d’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire.
Un outsider sans aucune chance…
« Gérard Nduwayo ne maîtrise pas les organes de l’Uprona, dont il ne fait pas partie par ailleurs », martèle le député et ancien président de l’Uprona, Bonaventure Niyoyankana. Pour cet uproniste, qui se réclame du « centre », le candidat du camp Concilie Nibigira est neutre, il n’appartient à aucun camp, raison pour laquelle on le situe à tort au centre. Il souligne que M. Nduwayo ne s’est jamais exprimé sur les problèmes de l’Uprona. Bonaventure Niyoyankana pense que ce candidat ne vise que ses propres intérêts et non ceux du parti. Mais, souligne-t-il, les ténors du camp Concilie espèrent à leur tour avoir un pion qu’ils maîtrisent et qui pourra sauvegarder leurs intérêts, s’il passe. Le député ajoute que Gérard Nduwayo n’a aucune initiative politique et qu’il n’a pas la capacité de prendre une position claire.
« C’est un outsider qui n’est dans aucun organe du parti. Je ne comprends pas comment un parti qui a un directoire et des députés a pu choisir un candidat qui n’est dans aucun organe », s’étonne Charles Nditije, lui aussi député et président de l’Uprona non reconnu par le gouvernement. Il ajoute que, très ambitieux et opportuniste, M. Nduwayo a migré vers le MRC en 2010, faute de n’avoir pas été sur les listes électorales. Ce qui est démenti par le concerné et ses sympathisants. Pour M. Nditije, ce candidat est un bon consultant, mais certainement pas un bon candidat. « Il n’a évolué dans aucune structure du parti et ne connaît donc pas les militants de la base, qui le lui rendent bien. »
Il a été élu à combien pour cent? Qui étaient les concurrents? J’ai demandé à quelqu’un qui a participé à la réunion: » Quel est votre candidat aux prochaines présidentielles »? Il m’a répondu: « Je ne sais pas ». Posez la même question à ceux que vous connaissez parmi ceux qui ont pris part à cette élection, vous verrez que dans certains cas vous aurez la même réponse.
Je ne connais pas ce mec, mais j’ai regardé et écouté la vidéo de son investiture, comme candidat présidentiable du camp Concile et je viens de lire cette article aussi et je vois biens sa photo où il se cache derrière des lunettes fumées et ma conclusion c’est que ce monsieur est plus comédien que politicien.
Mais que l’on me comprenne bien,…je ne vais pas dire qu’un comédien ne peut pas être président, ryoba arivangura.
Que le meilleur gagne.
3.Gestion d’une démographie galopante
Qu’est-ce qu’il faut faire pour freiner la croissance de la population que le pays n’arrive pas à gérer depuis 25 années consécutives. Faut-il des mesures contre les familles qui font plus d’un nombre fixe d’enfants jugés compatible avec un petit pays pauvre sans verser dans la violation des droits humains. quel modèle? Indien ou Chinois par exemple?
Voulez vous changer le plan de Dieu Tout Puissant en diminuant le nombre des enfants qui naissent?!!!! Multipliez vous comme du sable. Notre pays n’est pas petit mais à cause de la cupidité de l’homme les biens sont accumulés dans des poches d’un petit groupe de gens gourmands.
En Inde par exemple, des milliers de fœtus-filles sont zigouillés, massacrés, avortés chaque jours du fait que ce sont les familles avec filles qui dotent les garçons! C’est ça que vous voulez au Burundi! Loin de là mon cher. Dieu vous voit et ne restera pas indifférent sur votre rébellion contre son Plan!
Vous, vous avez eu la chance de naître et vous voulez stopper la naissance des autres pour que vous viviez en paix! Quel égoïsme et méchanceté!
En tout cas vous avez perdu ma voix
Dans son CV il y a un oubli peut-être volontaire. Qu’a-t-il fait de 2006 à 2009? Peut-il avouer son séjour au Canada plus exactement à Montréal et particulière ses relations avec les chrétiens de l’Église Notre Dame de Lourdes dans l’Arrondissement VERDUN où il habitait? Peut-il montrer les réalisations qu’il a fait au Burundi avec des aides qu’il a subtilisé aux naïfs bienfaiteurs de Verdun?
Si c’est le candidat idéal de l’Uprona usurpé par Concilie, on comprend alors de quoi est fait ce groupe.
Ni Nzojiyobiri, il aime les ecrans, les sorties mediatiques ,se faire remarquer quoi, quant a l’amour de l’Uprona , il en avait qd celui-ci etait encore fort, mais maintenant no way! S’il ne devient pas president, on ne sait pas dans quel autre parti il va mendier. On l’a bien vu au Canada, chez Bayaga, probablement qu’il pensait que le parti allait avoir quelque chose. Il n’est pas bete du tout, mais en se rangeant du cote de Concilie et ses moutons qui ne menagent aucun effort pour aider le CNNDD a detruire l’Uprona et humilier leurs freres pour leurs ambitions aveugles, on se demande si reellement c’est une etoile rare comme on l’a chante chez Concilie capable d’unifier les burundais.
Je lui souhaite bonne chance et faire une difference une fois President.
Mes chers compatriotes nasomye ivyo mwanditse mwese avec beaucoup d’intérêt. Mwobona les question suivantes arinde azodufasha kuzirésolva. Je passe au Français:
1. Gouvernance, justice et état de droit:
comment rendre au peuple sa souveraineté en créant une justice équitable et non inféodée au pouvoir. L’Etat CNDD emprisonne et tue qui il veut? Comment y remédier? Si le pays ne change pas son système judiciaire, ni la priorité n°1 pour moi, le pays va devenir une véritable jungle.
2.Gestion de la chose publique et lutte contre la prédation des rares ressources de l’état
Comment le nouveau pouvoir pourrait-il nous aider à lutter contre la prévarication, la corruption, l’enrichissement illicite par le détournement des deniers publics. Au delà des promesses pourrait-on imposer une transparence dans la gestion de la chose publique à commencer par le sommet de l’état.
3.Gestion d’une démographie galopante
Qu’est-ce qu’il faut faire pour freiner la croissance de la population que le pays n’arrive pas à gérer depuis 25 années consécutives. Faut-il des mesures contre les familles qui font plus d’un nombre fixe d’enfants jugés compatible avec un petit pays pauvre sans verser dans la violation des droits humains. quel modèle? Indien ou Chinois par exemple? Les belges ont un petit pays mais la population n’augmente pas depuis des lustres.
4.Comment améliorer le système éducatif Burundais pour en faire un moteur de développement et non un frein!
Il faut ici nous montrer comment donner à tous les Burundais leur chance en fonction de leurs ressources . l’égalité républicaine comme ascenseur social.
5.Comment mettre en place une couverture sanitaire universelle en faisant contribuer tout le monde de façon équitable?
La question de la gratuité des soins à certaines catégories de la population a déjà montré ses limites et il faut donc repenser notre système sanitaire à l’aune de l’alternance politique à envisager ou la nouvelle législature sans présager de ceux qui seront les gestionnaires de demain.
Mfasha ivyo bibazo bikeya tubitorere umuti. Abo bagomba kudutwara tubibabaze hanyuma dupime uwutanga inyishu zitomoye avunge n’ingene abishira mungiro.
Uwavuze ngo nos « politiques » bazi gutukana gusa c’est peut-être parce qu’on ne les met pas au défi « we don’t cahallenge them enough ». Donnons-leur matière à réflexion. Il n’est pas raisonnable de dire seulement je veux faire du Burundi » un pays émergent » C’est un slogan. Ngira n »uko Géraard Nduwayo yahora ari umuJRR.
Ndigaranzuye!
@Bangaryansoro
« Abo bagomba kudutwara tubibabaze hanyuma dupime uwutanga inyishu zitomoye avunge n’ingene abishira mungiro. »
Reka kuba ubaza ivy’uzi nka mwigisha! Wewe woshira mu ngiro ibidashoboka? Fata imiliyoni icenda z’abarundi batagira n’uruhera utubwire ingene ubavuza ukongera ukabagaburira kandi ikigega c’igihugu cera! N’aho wofata turya duhera tuva mu nzahabu na colthan ukatwaka barya batunyuruza ntaho twogushikana!
Abashaka gutwara bose ku bwanje bariko bemera ubuki batariga kwegeka! N’akarimi gusa nka kamwe ka wa wundi!!!
Je crois que les idées ne sont pas du tout mauvaises. Seulement, à mon avis, pour faire du Burundi une économie émergente à l’horizon 2020, il faut mettre en avant le travail et non « le contrôle d’un travail manquant ». Aussi, il faut nous parler des moyens pour mettre en œuvre ce projet de société (recettes internes et/ou externes et autres appuis budgétaires).
Sinon, j’aurais aimé entendre ce langage plus objectif de la part des politiciens depuis la défaite jusqu’aux élections suivantes, au lieu de passer tout leur temps aux radios pour dénoncer ce qui ne va pas, un peu comme si TOUT, absolument TOUT, irait bien s’ils étaient aux commandes.
Je crois que si l’opposition passait tout le temps qu’elle passe sur les médias à parler des projets de société, cela porterait plus de fruits que passer tout leur temps à insulter le pouvoir, à s’accuser de tout et de rien. Je profite de cette occasion pour demander à mes frères Burundais de « grandir » et proposer autre chose que les insultes, que le mépris du voisin, la haine interethnique, le mensonge, la calomnie… Je suis désolé, c’est tout ce que j’entends sur toutes les radios, c’est cette image que nous vendons de notre propre pays, un peu comme si nous en avions un autre sur qui compter….c’est vraiment pathétique et ridicule. Les autres font des élections dans un calme absolu (nos voisins Zambiens viennent de faire une présidentielle, mais cela a été tellement calme que nos radios et nos journaux n’ont même pas produit un seul article sur cet événement). Pourquoi, nous on n’est pas capable d’apprendre à vivre la vérité?
Je m’excuse auprès de tous ceux que mon opinion choque. Je suis conscient que toute vérité n’est pas bonne à dire. Salut.
MONSIEUR NDUWAYO NDAMUZI NKUMUTUTSI WINCABWENGE,ARIKO,NUKO YAGIYE HAMWE NA CONCILIYA.ICO NICO NOMUHORA CONYENE.ARIKO RERO,NKUKO NABABWIYE YUKO ABATUTSI NDABAZA,NOJA HAMWE NA NDUWAYO ANKUNDIYE TUGAKORANA MUGUTEZA IMBERE UBURUNDI BWACU.ITERAMBERE,UBUTUNGANE,AMAHORO NKUKO NUMVISE UMUNTU ARAHO YABIVUZE,SINDABABESHA ABARUNDI TUZOGIRA AMAHORO NI TWATORA NEZA.BAHUTU BAVANDIMWE,NGIRA KWUMVA YUKO RWASA YAGIYE HAMWE NA NDUWAYO,NGIRA UBU MURUMVA YUKO BIMWE BATUBWIRA YUKO UMUTUTSI ARI MUBI KO ATARIVYO.NIMUzE RERO,AHUBWO DUSABE ABO TUZOTORA MUMISI IZA,KO AMABWIRIZWA YOSE AVURWA MU BURUNDI KO BOYASHIRA MUKIRUNDI,KUGIRA UMURUNDI AHO ARI HOSE ASOME MURURIMI YUMVA.ARICO GITUMA TUZOSABA KO INTWARO IZOTORWA YOTUNGANYA UKWIGISHA UMUNYAGIHUGU AKIGISHWA GUSOMA NUKWANDIKA,KUBURYO IVYIZA NIBIBI BIKORWA NUBUTEGETSI,BAVYISOMERE BATABIBWIWE NABANTU CANKE AMARADIYO.HANYUMA TUKAGERAGEZA KWIKURAMWO IVYIYUMVIRO VYAMACAJKUBIRI.AMACAKUBIRI,BARUNDI NTAHO AZODUSHIKANA.NIMUJE HAMWE MUVYIHWEZE KO ATARIKO BIRI MUGIYE MURABONA UBWICANYI BUGUMA BUBA KUBAHUTU HIRYA NO HINO..MURAKOZE MUGUTAHURA IBIRIKO BIRABA MURUBWO BURUNDI BWANYABURUNGA.TURAKENEYE KUBONA IFARANGA RYUBURUNDI EJO RIVUNJWA IDOLARI IJANA{100FBU CONTRE 1 DOLLARS.POURQUOI PAS?MOINS QUE CA?IL SUFFI DE S’ORGANISER ET C’EST TOUT.
Continuons de rêver! Là ou tous les autres on dû décrocher, Nduwayo risque de subir le même sort. Mw’ishamba ry’intambwe hama hari impfizi yinganje; et à l’Uprona, je ne pense pas que ça soit Nduwayo, encore moins dans le pays. Qu’on mandate tout simplement les soit-disant « grands politiciens » de faire la paix pour les petites gens.-
Il ne suffit pas d’avoir des candidats, non plus d’avoir des partis politiques, il faut une vrai campagne, tu doit convaincre les electeurs, ceux des zones urbaines que rurales, tu doit les convraincre, c’est comme ça que ça se passe ailleurs et a mon avis le CNDD-FDD a debuté sa campagne en 2010, le FNL d’Agathon Rwasa est aussi dans le meme elan, l’urpona reste le 3e parti politique le plus en vue avec des candidats connus; Venir avec une nouveauté ça peut bouscoulé les choses. Pour moi je vois les resultats comme suit:
-Si Nkurunziza participe ont aura:
1.CNDD-FDD
2.FNL
3.MSD
4.Uprona
-Si Nkurunziza ne participe pas on aura:
1.MSD
2.FNL
3.CNDD-FDD
4.Uprona
Quelques soient soit la configuration l’urpona n’a pas de chance, par contre avec les alliances qui se sont créer ont peut avoir d’autres resultats:
1.FNL+Uprona
2.CNDD-FDD
3.FNL
4.MSD
ko atavuze ko yahungire muri canada, nabe arazerera yiyerekana uprona ni bayiiiiiiiiiii bayiiiiiiii.
En plus? C’est donc dire un point en moins chez les Upronistes. Nagerageze ariko azobona ayo Toyi, Kagimbi na Sibomana baboneye ku Mugumya!
Mbe burya umugambwe porona ni uwabawutwara gusa? Utawutwara ntibakwizigira? None no muyindi migambwe ni uko? Nahora mbona associations zo muri societe civile zitiranwa na bene zo (sans blague umupolisi yasavye akarangamuntu umwe mubazitwara, arayisoma, arayimusubiza. Haheze umwanya mugenzi we ati mbega urya yitwa nde. uwundi nawe ngo yitwa…izina rya association atwara. Ngirango niko vyari vyanditse kuri cni)
Gérard NDUWAYO que je connais très bien au Collègue Notre Dame de Gitega (le fameux CND à l’époque qui n’a pas produit que KISSINGER comme personnalité brillante mais aussi de nombreux médecins et ingénieurs etc..) dans les années soixante-dix où nous l’avions surnommé KISSINGER pour son goût prononcé pour l’information, la politique et la lecture est sûrement un garçon brillant. Nul doute qu’il a des capacités de diriger un pays comme le nôtre qui manque cruellement de leadership et de vision politique. Mais KISSINGER devrait cesser de rêver et ce pour deux raisons majeures :
1. En se jetant dans les bras d’une traitresse, en l’occurrence Concilie NIBIGIRA, qui a accepté de s’allier avec le CNDD-FDD et d’affaiblir le parti de RWAGASORE qui était en train de monter en puissance avec notamment les initiatives de BUSOKOZA, NDITIJE et NGAYIMPENDA de le réunifier ce qui a fait peur au CNDD-FDD qui, alors a utilisé la force du pouvoir qu’il détient pour « NYAKURISER » LE PARTI DU Prince RWAGASORE afin de l’affaiblir ,en favorisant par la force toujours une aile rivale, la fameuse aile Concilie NIBIGIRA et consorts dont NDAYIZAMBA André et Gérard NDUWAYO notamment.
2. Or le CNDD-FDD à qui l’UPRONA, aile NIBIGIRA Concilie et consorts, comptait pour engranger quelques voix est en train de devenir la risée non seulement des Burundais mais aussi du monde entier en échouant à désigner un candidat pour les présidentielles de cette année étant donné que NKURUNZIZA, disqualifié pour limite de mandats, veut toujours se présenter contre toute logique politique. Je pense que l’UPRONA, aile NIBIGIRA et consorts, risque de partir avec son mentor, le CNDD-FDD, qui est en train de s’affaiblir à mort et qui risque de partir aux élections, en lambeaux s’il y arrive.
En définitive donc, il a beau être brillant notre KISSINGER mais en politique, la moindre erreur peut vous être fatale. Je crains que c’est exactement ce qui est en train de lui arriver car, à mon humble avis, les cartes seront bientôt rejouées et cela commencera par l’arrêt à la « NYAKURISATION » des partis politiques rivaux à celui de l’aigle tellement affaibli en interne qu’il ne pourra pas certainement continuer à pressuriser les autres en les poussant de force au suicide politique par la division forcée. Let us wait and see….
il est né où naho mbona asa n´umugamba? , il a fait quoi en dehors de la polirique….?
Cet aventurier azomaramara kuko azorushwa na na mutama SENDEGEYA muri 1993
@KINDROS,
« Il est né où naho mbona asa n’umugamba? »! « Cet aventurier azomaramara kuko azorushwa na na mutama SENDEGEYA muri 1993 »
Cher KINDROS,
Dans ce forum, on débat, on avance des arguments et des idées..! Là où est né Mr NDUWAYO Gérard, n’est intéressant en rien. L’essentiel est qu’il soit Burundais et à ce que je sache il est Burundais. C’est votre compatriote. Mbe amacakubiri y’imisozi n’amazuru azobavamwo ryari ngo mukanure mubone ko atazodushikana namba ku majambere twifuza trwese…?? NKURUNZIZA qui dirige le Burundi depuis 10 ans est Hutu, combien de Hutus a-t-il harcelé et même fait maasscarer? Est-ce que tous les Hutus ont profité du pouvoir violent, incompétent et corrompu de M. NKURUNZIZA? A ce que je sache, non…! Va rero i Buzimu uje i buntu umenye ko amazuru, imitumba et autres tendances communautaristes en général n’aideront en rien le Burundi à aller de l’avant. Vous pouvez affirmer que cet aventurier azomaramara etc..mais vous n’avancez aucun argument le démontrer…..! C’est ridicule…!
Oya aho nawe urihenze RUGAMBA! On ne cache rien de sa vie quand on prétend pouvoir accéder aux fonctions suprêmes. Même le cancer de la prostate, on en parle pour avoir son dossier au complet vis-à-vis de la population, seule véritable détenteur du pouvoir.-
Mr Rugamba, quel problème y a t il à connaître un candidat à la présidentielle?
Le journaliste devait présenté ce monsieur en long et en large. Son ethnie peut être évoquée ,ses études, ses réalisations, son mariage etc pcq on ne vote que pour des personnes que l’on croit connaître. Il a ses chances, pourquoi prétendre d avance qu il perdra?
Kindros, uti » il est né où naho mbona asa n’umugamba? ».Votre question illustre à merveille la médiocrité dont a souffert la classe politique burundaise en général et celle d’aujourd’hui en particulier. Pour vous, point n’est besoin de connaître son progranne, ce qui vous intéresse le plus c’est son origine régionale et ethnique et la messe est dite. Vous jugez sans appel.Pour comprendre la dangérosité de ces propos, je rappelle en passant que chez les Kindros ,le mot » umugamba » est sournoisement associé au tutsi.A un certain moment, Ruzi rwa Mubarazi qui nous parle un peu plus loin , sur ton humoristique .qu’il veut se présenter aux élections présidentielles, avec entre autres pour programme de remplacer les provinces par les régions naturelles, ne croit pas si bien dire. Que peut-on par exemple espérer des gens commes Kindros si on a le malheur de ressembler à un mugamba.Kindros chez les Kindros et pour les Kindros, voilà ce que sous-entend notre Kindros national.
Je serais aussi candidat!
Nanje nzitoza kuba SEBARUNDI!
Imigambi mikurumikuru yanje:
1. Amasezerano ya Arusha; kuyashingura, ntakijanye n’igihe.
2.Constiution n’ukuyijanisha n’ibihe tugezemwo.
3. Amoko azoshigwa imbere comme « patrimoines culturelles »z’UBURUNDI.
4. Igisoda n’ukugifuta; umurundi wese ategerezwa kw’itegura kugwanira igihugu.
5. Ama porovensi azosubirigwa na ma « regions naturelles »
Ur »umugabo sha!
@Ruzi rwa Mubarazi
« 3. Amoko azoshigwa imbere comme « patrimoines culturelles »z’UBURUND »
Ushaka kuvuga ko azoshirwa muri musée canke ariyo vyose bizogenderako? Bitubwire neza nawe tuze tuguhunde amajwi!
Abagabo ni uko bakora, nawe uri umugabo sha
NIYOYANKANA na NDITIJE bibaza ko aribo badasigana b’ukuri? Kuba umudasigana si ukuba mu nzego z’umugambwe. Kandi barakoze bararwiciriye barerekanye kwa gukumira abandi badasigana ngo ntibaje ahabona bashingwe amabanga aboneka. Jewe nahora nihoreye ku vyerekeye politique none ndahagurutse gushigikira Nyakubahwa NDUWAYO kandi nta nkeka azoturongora muri Reta igiye kuza. Karibu mutama tuguhunde amajwi abo ba Nditije nabo turazi ico barondera. « Ngo nibo bazi umugambwe UPRONA bonyene! » Bameze nka Peter abona ko ariwe wenyene yizigiwe n’abagumyabanga kubera uduharage n’umuceri aza aratanga!
NEXT!
Merci @Edouard Madirisha pour cet exercice très salutaire pour notre JEUNE (très jeune) démocratie.
Nous avons besoin de connaître ceux qui veulent diriger nous diriger et diriger notre nation.
J’ai une petite requête : serait-ce possible de faire de même avec leurs PROGRAMMES ? J’ai une fois pris le temps de chercher sur les pages web des partis et croyez moi, chercher leurs programmes, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin ! Très difficile d’en trouver et quand on en trouve un, il ne nous donne qu’une litanie d’INTENTIONS sans en donner ne serait-ce qu’un début de PREUVES sur les moyens de réalisation !
Nous voulons un programme CHIFFRé, RÉALISTE et COMPRÉHENSIBLE et non pas nous dire uniquement qu’on va transformer notre pauvre Burundi en pays émergent, en pays pacifique, un pays où chaque citoyen mange à sa faim, se soigne et est éduqué sans nous en donner la preuve!
J’ai assisté (sur internet) à la campagne KÉNYANE : j’étais admiratif de leur idée de confronter les candidats sur des plateaux télé. Il faudrait que les nôtres confrontent leurs programmes pour noua aider dans notre choix!
Comme le dit l’invité du jour, M. Nduwayo, « il ne suffit pas de voter pour un parti ou contre le pouvoir, mais voter pour un programme et un leadership. » Voilà ce qu’il nous faut : LE PROGRAMME en plus du parcours du candidat!
Merci à vous E. Madirisha et à merci également à IWACU qui ne ménage pas ses efforts pour faire progresser notre balbutiante démocratie!
Amahoro.
Il doit avoir besoin de cette candidature pour son CV personnel sinon le reste c’est juste du blabla.
N’ukuri ivyo ahakana vyose nivyo yarigeze kuba ariko araba porte parole wa Bayaganakandi igihe ivyi Arusha vyari vyashushe(arazi gusaba akazi mème s’il faut lec….. le …….) ntabeshe n’umuntu n’umwe no kuri Jardin Public niho yari ari Il était mème devenu mème porte-parole nta muntu n’umwe atabizi sauf les petits imposteurs de l’UPRONA/CNNDD. Epitace Bayaganakandi doit en être offusqué. C’est simplement un imposteur agomba CV .A l’Université du Burundi quand nous nous étions exclus de tous les débats (1982-1988) yigira le grand intellectuel, si intellectuel ,il y a mais c’est c’est un opportuniste de grand chemin et honte à Concilie et consorts kuko irya si Uprona de RWAGASORE et MIREREKANO. Je tiens à souligner que je ne suis pas à l’UPRONA mais c’est une descente en enfers kurungika umukandidat nkuyo. Mais ZERO + ZERO………
PS/je sais que tu ne vas pas me publier mais tu publies des chose qui t’arrangent alors que la vérité doit éclater un jour
Monsieur NDUWAYO, je le connais peu mais je l’ai toujours considéré comme un vrai Mushingantahe. Dès lors qu’il s’allie avec les Gaston Sindimwo et consort, je crois qu’il vient de compromettre sa réputation. Eh haut quelqu’un a dit que Mutama Sendegeya a fait mieux en 1993, il a parfaitement raison.