Dans sa courte allocution de circonstance, le Président de la République (qui a retardé à cet effet son vol à New York au siège des Nations Unies) a donné un mois à la Justice pour démasquer ceux qui sont à l’origine du carnage de Gatumba. Et si cela s’avérait impossible au niveau local, Pierre Nkurunziza a indiqué que le gouvernement burundais ferait recours aux instances internationales.
Tous les blessés lors de cette attaque seront soignés aux frais de l’État, qui prendra aussi en charge les dépenses liées à l’enterrement des victimes.