La fumée qui s’élève du centre-ville risque de réveiller d’atroces souvenirs pour certains : il s’agit en fait de deux kiosques situés devant les restes de l’ancien marché, côté Est (devant l’espace de vente des fruits et légumes – Grocery Store Fruits Vegetables), près de deux stations à carburant.
Deux camions de la police anti-incendie sont rapidement arrivés sur les lieux, il y’a de cela trente minutes, et maitrisent le feu. Les propriétaires de tous les kiosques aux alentours ont été priés par la police de se placer devant leurs échoppes, pour procéder à la vérification des contenus et éviter des scènes de pillage comme cela fut le cas il y’a dix huit mois.
Ironie du sort : les deux kiosques qui ont pris feu sont en métal.
Selon des sources au sein de la police, le feu serait dû à un court-circuit des installations électriques dans l’un des kiosques.
Mr kaburungu nagira uvuga ayamuhe muri kabizi none naha wahashitse amatohoza uvuga Yesu azogaruka dossier zirimuri tiroir
Umuntu atabaye ntirumveko, niryo, ndiyo bwana……n’ibindi abantu batahimbarwa kumva, hari umuntu yodutohoreza(amatohoza atari amarementanya, canke umwikeko) inkomoko y’iyo micanwa?
Je commence à suspecter que les incendies, en grande partie soient dus à la non maitrise de l’électricité. J’ai vu des maisons modernes avec des installations électriques des années 1930 ! Et dire que l’ETS d’autres écoles techniques mettent sur le marché du travail des centaines de gens qualifiés ! Pourtant, pour épargner, on fait faire ces installations aux gens de Buyenzi, qui ne savent pas ce qu’est la section d’un fil électrique, qui ne connaissent pas la loi d’Ohm, etc. Un jour j’ai vu dans une belle maison quelqu’un qui avait installé des prises pour rasoir dans la boite de la douche, puis je lui ai dit qu’il s’exposait à l’életrocution volontaire, et il a changé l’emplacement. Ne faudrait-il pas que les installations dans les endroits publics, comme les marchés, soient faites exclusivement par des experts, avec la certicifation ? Cela éviterait ces court-circuits à répétition et les dommages qui s’en suivent.
Akataraza kari mu nyuma!!!!
YEMWE NUKURI NTACO UMUNTU YOVUGA!!! GUSA MUBANDANYE KWIHANGANA
Ivyubu biragoyr kuvuga. None ku mwami, kuri Micombero, Bagaza, Buyoya, Ndadaye, Ntibantunganya ,Ntaryamira na Ndayizeye nta muriro wari ho? Ko iryo bara dutanguye kuribona ubu! Kera bari abatunze inka bashaka umuyonga kandi barahanwa, none abubu bashaka iki? Boba bashaka gukenesha abakera haze abandi batunzi canke! Ivyo ari vyo vyose akataretse kaba gasema, uwo muriro n uhagarare. Itunga ry igihugu ryatwawe n umuriri ribaye rinini!!!!
@Patrice Moundelé: oooh, on est en Afrique man. Sois calme et arrête de te prendre pour quelqu’un qui connait pas l’Afrique noire. Tu es congolais, et donc rappelle-toi un peu de l’époque de votre ancien dictateur Mobutu Sese Seko avec ses actes de sorcellerie,et laisse-nous tranquille.
J’espère au moins qu’ils ont pu maîtriser ! C’est bizarre et suspect ! Ces feux. Imana idukingire.
Il y a de plus en plus de feux dans nos pays ! Voir ici
Ego vraiment, mu Rwanda hoho ni bara, ama magasin, amahinguriro, …
vyirirwa biratokombera,
basha ndasavye tureke amatohoza. Tureke ubutungane bukore akazi kabwo neza nkuko bwama bukora neza muyandi ma dossiers yose ya politiki. Vive le 3 ème mandat
Ooooh encore un cauchemar pour ceux qui aiment le Bouroundi et les Bouroundais. ça me rappelle les pleurs de ma mère quand elle a vu s’évaporer en feu tout son commerce sans avoir le droit de demander l’origine du feu! En effet, l’an 2006, ma mère a quitté Kinshasa pour venir au Bouroundi créer des échoppes au marché central de Bujumbura. 6 ans après, le marché a vite brulé! Elle n’a même pas eu le temps de récupérer son capital investi.
Ceci dit: Ces gens bien placés qui ordonnent de bruler les marchés du Burundi sont entrain de rendre un très mauvais service aux gens de ce pays. Vous ne pourrez jamais avoir des investisseurs sérieux si vous ne prenez pas au sérieux la question de ces dignitaires intouchables qui brulent les commerces des gens. c’est dommage de voir le malheur des gens de ce pays!
@Patrice Moundele
Quand meme!
Un voisin congolais qui ecrit « Bouroundi », « Bouroundais »? Et de plus a sa mere qui vit/a vecu au Burundi/BEAU PAYS DE MWEZI GISABO.
@Patrice Moundélé
vez-vous eu quelques notions de géographie ou d’histoire pour oser écrire sans vous corriger Bouroundi? Pourquoi vous n’écrivez pas MOBOUTOU!!!
je crois que c’est un murundi qui se fait passer pour un congolais mais j’ai droit à l’erreur.
Abahishije ivyabo ni bihangane kweli biragoye gusigura iyo umuriro usigaye uva uturira amasoko.Imana irakwiye kutugarukira ahandi ho turagowe. Ibintu bishe, ibindi biduge ibiciro none umunyagihugu nyarucari agiye kuba uwande ?
Imaginable mais possible.Aho ntavyo kwirirwa abantu barondera de midi a 14 heure,icatumye marche central isha n’ico catumye n’ayo ma kiosques asha.
@Birahinduka: (« Icatumye Marche Central isha ni co catumye n’ayo ma kiosques asha »)
1. Tout d’abord, il faudrait que le Burundi se dote d’institutions en qui (presque?) tout le monde croit:
Une fois que la police declare que « le feu serait du a un court-circuit des installations electriques dans l’un des kiosques », l’on ne devrait plus entendre toutes ces speculations de l’homme de la rue.
Apres tout, meme les compagnies d’assurance se basent sur le rapport de la police.
Si non, pour chaque evenement, les Burundais vont toujours perdre leur temps dans des discussions interminables, la ou les services habilites devraient eclairer le public.
2. S’il s’avere que le feu est du a un court-circuit, qu’on ne s’arrete pas a la mesure de construire des kiosques en metal, qu’on pense a utiliser du materiel electrique adequate et qu’on fasse appel a des electriciens competents.
Si non, le Burundi sera toujours classe dernier dans le rapport de competitivite mondiale.
Merci.
Je lis souvent tes commentaires teintés des savoirs économistes et que je trouve souvent pertinents.Mais malheureusement, une donnée m’échappe. je ne sais pas si tu vis dans notre cher pays. Juste pour dire que « le policier »dont tu parles est devenu beaucoup plus « l’homme de la rue » que l’homme de la rue »classique ». Il s’est écarté de sa mission première qui devrait normalement rimer avec crédibilité et s’est consacré a un autre champ de savoir qui compose avec violence.