«Le cinéma au service de la réconciliation est le thème de cette édition, afin que les jeunes talents puissent créer des scenarii pour promouvoir la réconciliation», a déclaré Léonce Ngabo, président du Festicab. C’est à l’Institut Français du Burundi, que la 8ème édition du Festival international du cinéma et de l’audiovisuel du Burundi a été lancée, ce vendredi. Le cinéma et la culture, a-t-il ajouté, sont des catalyseurs de la cohabitation et la réconciliation.
Dans une ambiance bon enfant, rythmée par des tambours et les danses traditionnelles, différentes autorités ont pris la parole. «Ce festival permet au Burundi de s’ouvrir au monde, de regarder ce qui est autour de lui, de comprendre que d’autres rencontrent les mêmes problèmes », a insisté Gerrit Van Rossum, l’ambassadeur de France.
Pour la marraine de cette édition, la kenyane Njoki Muhoho, le Festicab revêt plusieurs couleurs. « Je viens d’un pays anglophone. Cela n’a pas empêché un pays francophone de me faire confiance.»
Jean Bosco Hitimana, le ministre de la Jeunesse et Sport est revenu sur la portée de cet événement : «Cette 8ème édition est porteuse d’espoir. Elle est aussi ce feu qui ravive la créativité de la jeunesse burundaise. »
Ces festivités se sont clôturées par un cocktail. Signalons que sur les 78 films qui seront projetés, 54 sont en compétition pour cette édition.
Je trouve ça inacceptable qu’on parle depuis bien longtemps de la réconciliation?? Est ce que réellement il y a de la matière dans ces réconciliations dont on parle? Buyoya a parlé la réconciliation et l’unité en1991, et les autres qui se sont succedés , tous parle de la réconciliation, Moi je pense que dans cette réconciliation il y a un manquant, qui est la sincilité dans tous ça, transperence, vérité, et non la malignité. Kuko abarundi ntitubwizanya ukuri, nico gituma tuzokwama muri izo réconciliation. kuko hari abatavugisha ukuri kuri ku Mutima wabo. Guhendana, nkwigira abazi ubwenge gusumba abandi, kwibona, gukundi inda, ubryarya,…… Burundi uragowe