La question des élections législatives et communales de 2025 et présidentielles de 2027 était à l’agenda du dialogue de partenariat entre le Burundi et l’Union européenne tenu à huis clos ce mardi 21 mai. L’ambassadeur de l’UE au Burundi l’a confirmé. C’est au moment où la CENI est en quête de financement.
C’est à l’issue de cette rencontre de haut niveau qui a vu la participation de l’équipe Europe et de la partie burundaise représentée par l’ambassadeur Albert Shingiro, le chef de la diplomatie burundaise, que Mme Elisabetta Pietrobon, l’ambassadrice de l’UE au Burundi a précisé que son équipe a écouté avec beaucoup d’attention les plans de la CENI.
« Elle a un rôle très important à jouer dans le processus électoral. C’est une année très importante, une année électorale. Nous l’avons souligné dans notre dialogue avec le ministre. Nous tenons beaucoup à ce que les élections au Burundi soient libres, équitables et transparentes », a-t-elle précisé.
C’était dans une courte conférence de presse. Le protocole n’a autorisé qu’une seule question à poser à l’ambassadrice de l’UE au Burundi. Il n’a pas donné d’explications. Mais Mme Elisabetta Pietrobon a tenu à annoncer que « l’UE est à côté du Burundi en ces moments des élections ».
Au cours d’une rencontre avec différents acteurs politiques, la Ceni a annoncé que sur plus de 114 milliards de Fbu prévus pour le bon déroulement des élections, seuls 48 milliards de Fbu étaient déjà disponibles à ce jour. Approché, le président de la Ceni, Prosper Ntahorwamiye n’a pas voulu faire de commentaire : « Je ne suis pas le maître des lieux, je ne suis qu’un invité. Patience, nous aurons le temps de parler de tout cela », a-t-il lancé.
Brandissant la souveraineté, il a dernièrement confié que « le pays s’arrangera pour trouver l’argent manquant pour l’organisation des élections ». Ce n’est pas moins de 66 milliards de Fbu.
Selon Mme Elisabetta Pietrobon, en février, l’UE a signé une convention de financement d’un programme de soutien et d’accompagnement de la culture démocratique et de renforcement des institutions et des acteurs impliqués dans les élections.
Toutefois, elle a noté qu’il est encore trop tôt pour fournir des détails sur ce programme, mais a rassuré que l’Union Européenne compte appuyer le Burundi durant cette période cruciale. « C’est encore assez tôt, je ne vais pas aller dans les détails. Donc, on verra dans les mois à venir quand ces programmes vont démarrer », a-t-elle conclu.
Signalons que le 12 avril dernier lors du lancement officiel de la campagne d’éducation civique et électorale pour les élections de 2025, au Stade Ingoma de Gitega, le Chef de l’Etat, Evariste Ndayishimiye a promis des élections libres et transparentes. Il a également fait savoir que les contributions seront volontaires et non obligatoires.
le Burundi a été recalé aux niveaux droit de ‘ hommes par la communauté internationale. Le représentant de la ONU est toujours interdit au Burundi
Et la CENI pleure, mendie
Qu’elle s’ouvre aux droits de l homme et le montre
vraiment,
Actuellement c est la dégringolade de la situation droit de l homme.
Pas un $ si vous ne vous améliorez pas
Je m’imagine que l’on va avoir des observateurs de l’Union Europeenne.
Je ne sais pas si le gouvernement et son pendatif la ceni comprend le langage de l’UE !
L’UE dit ceci: “ nous finançons si le Burundi remplit les conditions acceptables aux yeux des Européens “ . Ceci veut : transparence , démocratie, liberté d’expression et d’opinion et alternance démocratique. C’est cela
@Gerard Kariru
Là tu veux nous faire comprendre que les européens ne rêvent que du bien des africains: ça se voit que tu ne les connais pas! Ils n’ont rien à cirer de ta démocratie. La preuve est qu’il existe bien des dictatures qu’ils chérissent; tu veux des noms? Quant tu veux!
Est-ce que vous comprenez le rôle même que jouent ces institutions étrangères?Comme l’a écrit quelqu’un ci dessous ils n’en ont rien à cirer des burundais.Seuls leurs intèrêts comptent.Tout est calculé.Il n’y a que les burundais pour sauver le burundi.Mettez cela dans votre tête.Vyose bizova mu maboko yacu twese.Uburozi bwigikoloni nukubukura mi mitwe y’abarundi mu maguru masha.Kwibaza ngo hari umugiraneza azoguha ivyagusa ni akamaramaza.Nta numwe azoha abarundi ico batihaye.Kure amaboko mu mpuzu bagenzi nayo ahandi turahona muri kino gihugu na Choléra.
tout dépend dans quel sens les burundais iront
Pas s il continue à assassiné des CNL, emprisonner des journalistes, refuse le représentant de l ONU
Aucune confiance en vos institutions
Oui l’Europe y voit ses intérêts, C est normal.
Le Burundi….lui aussi