Léandre Sikuyavuga : «Comptez sur moi, vous aurez l’info ! C’est ta dernière phrase prononcée dans mon bureau après une commande sur une enquête à Cankuzo et Ruyigi. Cet engagement reste gravé dans ma mémoire»
Abbas Mbazumutima : «Il y a une chaise à la rédaction qui t’attend…. »
Fabrice Manirakiza : «Je garde en mémoire un journaliste travailleur et courageux, reviens nous vite !»
Dorine Niyungeko : «Le nouveau studio t’attend, Jean…reviens-nous ! »
Clarisse Shaka: «We don’t forget you dear Jean ! »
Martine Nzeyimana : «Ta gentillesse discrète et ta serviabilité forcent admiration et respect»
Diane Uwimana : «Ta détermination est exemplaire»
Rénovat Ndabashinze : «De près ou de loin, on ne t’oubliera jamais»
Pierre-Emmanuel Ngendakumana: «Words fall short of expressing my sorrow over your going missing Jean»
Christian Bigirimana : «Ta disparition est difficile à accepter. Ta franchise et ta joie de vivre me manquent»
Agnès Ndirubusa : «Pour une fois, au bout du fil, je n’ai pas entendu ta voix de Stentor, tu hésitais et murmurais presque. J’ai compris qu’on t’embarquait»
Hervé Mugisha : «La lumière finit par luire au bout du tunnel. Cher Jean, je garde espoir que tu es toujours en vie »
Guibert Mbonimpa : «Ta place est parmi nous»
Lorraine-Josiane Manishatse: « Dear Jean, your kids would need to grow in your love»
Christine Kamikazi: «Je garde espoir de te revoir cher Jean»
Philippe Ngendakumana : «Cher frère et ami Jean, sûrement qu’on se reverra sur terre… et dans l’au-delà»
Emery Kwizera : «Cher Jean, tes ravisseurs n’auront pas le dernier mot»
Eddy Hatangimana : «Cher Jean, ton intégrité reste gravée dans nos cœurs»
Onesphore Nibigira : «Plus près de moi… »
Désiré Sindihebura: «J’étais assis à côté de toi à 11 heures au bureau… et à 15 heures, on nous annonçait ton enlèvement. Je t’attends… »
Danny Nzeyimana: « On pense toujours à toi »
Pour moi personnellement, je connais pas jean, mais comme tout être humain j’ai compatis avec sa famille ainsi que ces 2 enfants et ses collègues de travail ,c’est qui est arrivé à jean peut arriver a n’importe qui ,soyez prudent chers journalistes , mais sachez une chose la victoire est proche la vrais justice va fonctionner, les jours sont compter on y travaille.merci
La mission de la presse, de Jean est la nôtre, celle de tous les burundais, celle de la paix. Un grand auteur Africain disait » les morts ne sont pas morts ils sont l’herbe qui gémit, ils sont partout » . Jean sera toujours entre nous.
Je sens, je vois une grande détermination. On ne fera pas taire tout le monde! Dire que ces braves sont au #Burundi! Et qu’en plus ils sont de toutes les ethnies! Ça, c’est un signe fort. Bravo pour Jean et sa famille mais aussi pour la liberté surtout. En réalité, les premiers cibles des dictateurs sont les journalistes, la société civile et les intellectuels, le pouvoir de #Bujumbura n’est pas différent.