Le Centre diplomatique d’écoute, d’échanges et de suivi (Cedes) a été présenté officiellement, lors du lancement des journées « portes ouvertes » édition 2014 du ministère des Relations extérieures et de la Coopération internationale.
Alphonse Barancira, son président et représentant légal, indique que l’objectif du Cedes est de contribuer à la consolidation de la paix, de la bonne gouvernance, à la promotion et à la défense des droits de la personne humaine en général et des droits des diplomates ainsi qu’au rayonnement de la diplomatie burundaise en particulier.
L’ancien diplomate indique que la vision de ce centre est de disposer d’un cadre permanent de partage d’expériences et d’informations sur la marche du pays, de l’Afrique et du monde entre les diplomates retraités et les diplomates nationaux et étrangers en fonction, à travers des rencontres périodiques autour d’activités axées sur des objectifs. « Les jeunes diplomates ont besoin d’avoir des connaissances, les plus âgés ont également besoin de connaître les problèmes auxquels font face les jeunes dans l’exercice de leurs fonctions, d’où l’importance de ce centre d’échanges et de suivi », explique-t-il.
Il raconte que la première idée était de créer une association des diplomates retraités en 2010, après une mise à la retraite d’une vingtaine de cadres et anciens diplomates. Mais, elle a été abandonnée à l’instar d’une initiative regroupant des diplomates retraités et ceux en fonction.
La diplomatie ne se jouant pas seulement par les diplomates, j’espère que nos honorables députés (dont Gatiponze wo kw’Isanganiro) et la majeure partie de nos dirigeants seront entrainés à la vie et à l’expression diplomatique. Kuko vyukuri abaturongoye harimwo abafise imvugo ibishe kw’Umutware (Umuyobozi mbaye nk’abo babanyi b’aho hakurya ya Kanyaru).
Le Burundi est victime d’un manque de clairvoyance et de prise de décision justes et intelligentes. Comment expliquer qu’un pays, qui , il y a peu, on le prenait pour un pays modèle jusquà le considéré comme un pilier du maintien de la paix en Afrique et d’un coup come par hasard, il tombe en disgrâce?
L’explication est simple:
– Le découragement de l’opposition pour qui la porte d’accéder au pouvoir est fermée. Quelqu’un a dit dans un article sur ce site: le problème burudais c’est entre autre le manque de respect des règles démocratiques. Dans un pays démocratique tout le monde a droit d’accéder aux hautes fonctions du pays y compris la présidence. Un bon régime c’est celui qui sait travailler avec l’opposition. Or le régime actuel oublie que l’opposition aspire aussi à accéder aux hautes fonction de l’Etat et que c’est un droit à condition que ça se passe par la voie normale de compétition démocratique: compétences. Mes chers Burundais et compatriotes, on ne peut pas être heureux seuls. On ne peut pas être tranquille quand l’autre est exclu. Tous ces hommes et ces femmes qui se voient du jours au lendemain exclus de minimum vital finiront pas s’organiser et utiliser mêmes des voies malhonnêtes pour survivre. Le problème Burundais c’est de vouloir déshabiller Pierre pour habiller Paul à chaque changement de régime. Ceux qui sont au pouvoir comme ceux qui sont en opposition ont droit d’exister et de bien exister.
– Avoir demandé le départ de BNUB: c’est une erreur grave diplomatique. On a oublié que ces gens qui sont dans cet organe onusien c’est leur job, c’est leur gagne-pain. Une politique intelligente consiste à créer des conditions de manière que cet organisme lui-même se sent inutile et demande de partir de lui-même. Le Burundi est encore en situation fragile, ce n’est pas le moment de tenir tête à l’ONU. La révolution doit être lente et intelligente. Ibwa yarihuse ivyara ibihumy
Chers compatriotes, en peu de diplomatie. Je ne connais pas le degré de qualification de ceux qui conseillent ceux qui prennent des décisions au Burundi mais on voit qu’ils se plantent royalement. Sachez que chaque homme ou chaque femme aspire comme toi à être bien et à occuper de hautes fonctions aussi.
Merci bcp pour votre contribution très intélligente. Le seul point sur lequel je suis en désaccord avec vous c’est lorsque vous dites que le régime de Nkurunziza a été pris par la communauté internationale pour un modèle à un certain moment. Je pense que cela n’est pas vrai. Ces gens-là observent, écoutent, prennent notes et se taisent. Et lorsque vient le moment d’ attaquer, ils le font et à ce moment le fautif n’ a aucune chance de s’ en sortir. Vous n’allez pas me dire qu’ ils ne savent rien des différents dossiers relatifs aux massacres qu’ a connu le pays depuis quelques années, des montages de toutes sortes comme celui du vrai faux coup d’Etat des Ndayizeye et Kadege, des liens entre le régime en place les FDLR comme en témoignent les rapports qu’ ils ont eux-mêmes confectionnés à ce sujet.
Le drame c’est que le pouvoir de Bujumbura ne prend pas au sérieux les mises en garde et la colère de la communauté internationale. Vous ne contredirez pas mes appréhensions demain lorsque le parlement votera la nouvelle loi régissant le CNTB. Ils continuent de jouer la politique de l’autruche, mais jusque quand?
vous voulez exister en passant par des mensonges ? murabesha one reculera plus . Mbega ko muvuga ngo deux Gnls du CDD-FDD ngo nibo babitanze kwarukugira mucanishemwo igisoda murabesha intambwe twashitse ko ntigisubira inyuma
Onannga Ognanga we nibamuhe 24h biragaragara ko ashaka kwigumira harya abe aririra amhera ya Onu mugucansiha mwo abarundi
erega Onanga numu Nya africa turabazi ingene bakora warumvise ingene muri sud soudan aba onu aribo bari bashiriye ibirwanisho uraya arwanya Salvakir babifashe bakaca bavuga ngo bihenze kuri etiquette ngo zari indya bashiriye impunzi haahhha
Iyo rapport ya Onanga atanabajije abo vyega bizomuhinyukana ainsi ses accolites
Monsieur Dudu, pour dire que dans les années passées, les diplômates n’étaient que des tutsi? Ahhh bon! Si c’est ainsi il faut alors corriger les équilibres pour respecter les accord d’Arusha.
Bizarre une association regroupant diplomates retraités et ceux en activité. Ceux qui ont été manu militari renvoyés du ministère des Relations extérieures et de la coopération sous prétexte qu’ ils avaient atteint l’ âge de la retraite étaient en majorité Tutsi. Cette mise en retraite s’ inscrivait dans le cadre du nettoyage ethnique progressif du ministère des Relations Extérieures. Ces anciens diplomates voulaient former une association et ils ont été sabotés. Ils appartiendront à une association diluée et inopérante car placée sous la supervision du ministère en question.
Ndashimiye cane abo ba diplomates ba kera nabubu kubona bagiye hamwe..ese nabandi bahinga bakera nabubu boza baraja hamwe bose bagakorera interet national..ikintwenza nuko wumvirije abantu bincabwenge hutu tutsi twa usanga abarundi dupfa ubusa..abubwenge buke nibo batwemeza ko dupfa ama details nk’ubwoko,imigambwe n’ibindi..ntakintu kinryohera nka un debat d’intellectuels..
Nta ba diplomates dufise, dufise abanyamigambwe bagenda hanze gukorera ivatiri batazomarana kabiri.
Uburundi iyo buba bufise abadiplomates, nta gakengere buba bufuse nk’uno munsi.
Bonne initiative, il faudra qu’eux aussi comprennent le monde actuel de Poutine et Snowden.
Abo ntakindi bagamije atari gutanga amakuru y;ibinyoma . Nkuko bariko barahenda Natioons Unies ikaza itazambaye.
Buraca wehera nyene mugabo kugushaka kwawe atawuguturubitse nayo ahandi ho UN ntawuyihenda ngo vuga canke kora ibi ahubwo niyo ihenda abandi.
@bucenehere
Ba usoma ibintu neza ureke kuvuga ibisunitswe n’umuyaga sha…! Ivy’IMBONERAKURE birazwi ko bariko baraziha ibirwanisho bongera bazigisha kurasa…! Ni isoni hari bamwe bazohava bahereza i La Haye aho kuja mu magorofa bubvakishije amahera absahuye igihugu ataco bakimariye….Just let’s wait and see ariko ngo IBUYE RISERUTSE NTIRIBA RICICA ISUKA…..! Mwarihaye ibara DD…!!!!
Muri iki gihugu cacu abatware baramaze kuba ibikoko hamwe n’ububeshi bububuzuyemwo. muribuka aho bica ernest manirumva batabaje abanyamerica ngo baze kugra itohoza n’ubu ivyo batohoje umengo ntaco bakoze ub bariko bahindurira kubandi. none akamaramaza, umutama ari hano yabwiye samantha power ngo arungike abaza mumatohoza babizobereyemwo, mbega ivyo boshikako bovyemera? abarundi turazinanye tudahendanye kandi imbonerakure zitari nke muri iy misi zirafise inkorererezi ntawuzi gusa ubwoko bw’izo nkorerezi. n’ukuraba neza guko imbonerakure zirateye amakenga ubu zasubiriye aba police n’igisirikare mumihingo itari mike mugihugu. turasavye umuvyeyi atwara amerika akomeze abikwirikiranira hagufi guko dushobora kugira ingorane zidasanzwe. ndakeje MUVYEYI MWIZA OBAMA NA NA PARFAIT ONYANGA KUKUNGENE BAMENERA INDA KURUKUMU. NDABIPFURIJE KURORONIRWA MUMABANGA YABO.
Ewe Ntampera, turiwe n’uwabahaye vyose none ari mwe mwirirwa muramushora yabatayeko confiance atabazi. Mbega UN yarihe mu gihe haba genocide y’abahutu? Kwehera ho sha birasanzwe mbona- ngo ntawuhunga limwe mais ndakuremesheje ko uguhunga « BAYI ». Hariho abatarota bumva umu hutu k’butegetsi mais ntaco muzohindura.
Baryihaye nka JRR yirahira abarundi plus de 30 000 en moins d;une heure none wibaza ko bavyibagiye> Urahumba. Turabazi, Ngico ni mutware ,finallleeee ikinwe.
Ils n’ont même pas honte de dire que ce sont des mensonges.Le Burundi est trop petit pour cacher des faits criminels de ce genre.Des noms et des lieux sont cités,nous attendons plutôt des sanctions.
L’autre facteur qu’ils oublient souvent est que le système de corruption instauré ne profitent qu’à une poignée de vautours,Il y’a au sein de leur rang beaucoup de mécontents qui vont toujours dénoncé les plans machiavéliques.Et beaucoup d’autres anciens maquisards sont dans une pauvreté extême et ont une dent contre leurs anciens patrons du maquis qui se sont transformés en voleurs de fonds publics au lieu de s’occuper de développer le pays pour l’intérêt général.