L’exportation des boissons Brarudi vers les deux pays ne cesse de s’accroître au port de Rumonge. Des centaines de caisses de boissons Brarudi sont transportées dans des bateaux, la consommation intérieure ayant diminué, depuis plusieurs mois.
« Réputés pour leur bonne qualité, la demande des produits Brarudi par les populations de la Tanzanie et de la RD du Congo ne cesse de s’accroître », nous a confié Majaliwa, un ressortissant congolais, rencontré au port de pêche de Rumonge.
Il indique que les habitants de la presqu’île d’Ubwari ne consomment que des bières locales avec une grande teneur en alcool. Mais, pour le moment, ce sont surtout les nantis qui consomment les produits Brarudi. Dans les petits centres urbains de la côte comme Baraka, Kazimiya et au gisement d’or de Misisi.
« Les Congolais nous apportent du charbon, du manioc, du poisson, de l’huile de palme, et achètent, à Rumonge, des habits, des produits pharmaceutiques, des boissons Brarudi et du pétrole », se réjouissent certains commerçants de Rumonge. Ces commerçants affirment que les affaires tournent grâce à la demande des Congolais et des Tanzaniens pour certains produits. Ceux qui tiennent des dépôts de produits Brarudi indiquent qu’il y a mévente, mais ils parviennent à les écouler grâce aux Congolais et Tanzaniens qui en font de plus en plus la demande.
« Les liens d’amitiés et commerciaux continuent à se nouer entre Burundais et Congolais », assure un Burundais basé dans la presqu’île d’Ubwari, rencontré au port de pêche de Rumonge. Il souligne que des Burundais y viennent pour chercher des terres cultivables et pêcher.
Les produits Brarudi sont considérés comme des produits de luxe et sont de plus en plus consommés dans cette presqu’île.
Signalons que les boissons Brarudi sont aussi consommées dans la ville de Kigoma en Tanzanie
Asha izo nzoga nizihunge igihugu cacu kuko nazo ntaho zitandukaniye n’abansi b’amajambere mu ngo.
Il suffisait d essayer mm au kenya. Beaucoup de kenya k g rencontres, ayant eu la chamce de visiter notre pays , apprecient beaucoup touts les produits brarudi qu ils ont eu la chance de degustes. De plus, ils revent revenir pour nos tres belles filles et surtout le mukeke grille. Malheureusement, les occasions de venir se present comme chance lors des missions officielles. Que la Brarudi saisisse cette info en l’air, la traite et la rentabilise pourquoi pas le tourisme burundais et … Eh eh eh j’allais oublier l’ingoma, le tambour burundais, super!! Malheureusement le ministere ayant tourisme en charge semble n y voir rien. Reveillz-vous
@Kajibwami: (« De plus, ils revent revenir pour nos tres belles filles »).
1. Le titre d’un article de Gretchen Kelly est: « WOULD YOU TYPE YOUR MOTHER LIKE THAT? Women and the internet/OSERIEZ-VOUS ECRIRE COMME CA A VOTRE CHERE MAMAN? Les femmes et la toile (http://driftingthought.com).
2. J’ai lu un article (dans Jeune Afrique?) sur la problematique du « tourisme sexuel » de certaines destinations touristiques comme Mombasa (sur la cote kenyane de l’Ocean Indien.
3. La promotion de ce genre de tourisme n’est pas du tout a encourager au Burundi.
Merci.
C’est une très bonne nouvelle! Il faut encourager ce mouvement!
c’est dommage que le pouvoir d’achat des Congolais menace aujourd’hui celui des Burundais. Vraiment c’est triste de se rendre compte d’un tel recule social!
@Nikita
La RD Congo a quand meme un potentiel economique (dont le Burundi ne pourrait que rever). Il suffirait que ce geant de l’Afrique s’organise.
1. Son sous-sol contiendrait des ressources minieres d’une valeur de 24.000 milliards de dollars americains/US$24 trillion of untapped minerals.
2. Le barrage hydroelectrique Grand Inga va produire 40.000 megawatts (MW) d’electricite (alors que le Burundi aujourd’hui n’a que 45 MW, et ne compte qu’avoir une capacite de 180 MW? d’ici l’an 2025).
Merci.