Du 2 au 6 mai 2023, le Burundi accueille le 11ème Sommet du Mécanisme régional de suivi (ROM) de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République démocratique du Congo (RDC) et la région.
Ce samedi 6 mai 2023, il est prévu une réunion de haut niveau avec la participation de plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement signataires de l’Accord-cadre, de hauts représentants des institutions garantes de l’Accord-cadre, à savoir l’UA, l’ONU, la CIRGL et la SADC. Les Nations Unies annoncent la présence du Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Pendant son séjour à Bujumbura, il rencontrera le président Evariste Ndayishimiye ainsi que les autres dirigeants de la région qui vont participer à cette réunion de haut niveau.
La réunion examinera les progrès et les défis dans la mise en œuvre des engagements pris au titre de l’Accord-cadre signé à Addis-Abeba, en Ethiopie, le 24 février 2013. « Elle mettra entre autres, l’accent sur la nécessité d’une mise en œuvre intégrale des décisions prises dans le cadre des processus de paix de Nairobi et de Luanda, ainsi que l’harmonisation entre les deux processus », indique le Bureau de l’Envoyé spécial pour les Grands-Lacs.
Les chefs d’Etat et de gouvernement examineront également un projet de feuille de route pour la revitalisation de l’Accord-cadre en vue de lui donner une nouvelle impulsion afin de répondre de manière plus efficace aux préoccupations en matière de paix et de sécurité dans la région. A l’issue de cette rencontre de haut niveau, le président burundais, Evariste Ndayishimiye, assurera la présidence du Mécanisme régional de suivi de l’Accord-Cadre pour une période d’un an, succédant ainsi au président de la RD Congo, Félix Antoine Tshisekedi.
Pour rappel, le Mécanisme régional de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région se réunit une fois par an au niveau des chefs d’Etat et de gouvernement pour examiner les progrès réalisés dans la mise en œuvre des engagements nationaux et régionaux au titre dudit Accord.
L’Accord-cadre a été signé par 13 pays et 4 institutions garantes dont l’ONU, l’UA, la CIRGL et la SADC, pour mettre fin aux cycles récurrents de conflits et à l’insécurité dans l’Est de la RDC. Les 13 pays signataires de l’Accord-cadre sont : l’Afrique du Sud, l’Angola, le Burundi, la République centrafricaine, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Kenya, l’Ouganda, le Rwanda, le Soudan, le Soudan du Sud, la Tanzanie, et la Zambie.
La RDC aurait dû constater le défaut volontaire d’application de la charte de l’ONU d’une part et celui d’application du traité établissant l’EAC d’autre part
et en tirer définitivement les conséquences: traiter le problème de la guerre à son endroit comme comme elle l’entend et y apporter conséquemment une réponse idoine et conséquente de façon Kagame ne puisse jamais l’oublier. Une fessée inoubliable contre Kagame est la seule réponse à donner aux auteurs de ce sommet de Bujumbura.
Il y va de la crédibilité non seulement du Gouvernement Congolais mais également du Président Tshisekedi .Pour exiger les respect , tout homme droit prouver qu’il le mérite. A défaut, même son chien ne peut et ne pourra le respecter. Le constat macabre est qu’à ce jour, le Président Congolais n’a pas encore prouver qu’il en état d’exiger le respect par ses pairs.
Au regard des faits, ce sommet de Bujumbura est une comédie de mauvaise qualité. Leur auteur ont pris le Président Congolais pour un rigolo ou un bouffon plaisantin.
Il faut espérer qu’il ne donnera pas suite à l’invitation des farfelus qui ont perdu le sens de dignité le plus élémentaire et que son pays ne sera pas représenté par un ministre ou un haut fonctionnaire .En effet fantaisiste voire méprisant à l’endroit du Président Tshisekedi de refuser d’appliquer le chapitre 7 de la charte de l’ONU et la charte établissant l’EAC, le tout alors que les faits sont établis et donc insusceptibles de contestation et d’organise une kermesse dit sommet de Bujumbura pour bavarder le tout au dos des Burundais car c’est le Burundi qui devra supporter financièrement le coût de cette kermesse.
C’est affligeant de lire ça dans les journaux. Aussi, faute est de constater la carence notoire des médias congolais alors que, dans la situation actuelle, leur mission première et d’informer objectivement les Congolais et épauler leur Gouvernement dans la sa guerre contre la mafia internationale dont Kagame est l’employeur. Ils ont le devoir de critiquer les incohérences et les insuffisances des actions du Gouvernement dans l’élaboration et la prise de décision relative à la gestion de la guerre dont leur pays est victime.
Il faut faire tout pour mettre fin à cette guerre. Surtout la RDC doit œuvrer à construire une armée forte et unie qui défende toutes ses frontières. Les généraux R.D. Congolais doivent cesser de devenir des mafieux dans les minerais et les budgets de l’armée et vraiment se battre comme le Général Mamadou Ndala.
Ils vont parler, parler et parler… Kagame a défié le monde entier. Tout lui est permis. Lors de la conférence de Potsdam (17 juillet-2 août 1945) alors qu’on venait de lancer une bombe atomique au Nouveau Mexique la veille, Truman répond à Stimson qui venait d’apprendre la nouvelle. « Je me sens bien ». Il raconta alors l’histoire d’une fille qui jure de se noyer si elle est enceinte et à qui son ami lui répond: » Tu m’ôtes un grand poids de l’esprit »
L,insecurite se passe en RDC avec impact sur les pays voisins dont le Rwanda. Je pense que Kagame est defiant car son pays concerne. il est a la tete de son pays pour en defendre les interets. Ce que personnellement je trouve normal.
1) La haine contre le Rwanda et son président ne resoudra pas le problème d’insécurité dans la partie Est de la RDC.
2) Seule la résolution définitive de la question des Congolais d’expréssion Kinyarwanda peut y mettre fin. Sont-ils congolais ou pas? Sur cette question, une recherche commanditée par ce bon monde qui va se rencontrer à Bujumbura peut éclaircir cette fondamentale question. L’histoire est récente et les archives existent, notamment en Belgique, en Allemagne et au Vatican – fiches de baptême).
S’ils sont congolais, ils béneficieront des droits de tout autre citoyen. Dans le contraire, ils rentreront chez eux. Avec leurs terres, ça c’est une autre question.
3) Est-ce que quelqu’un (e) peut m’expliquer pour plus de 80% des noms des lieux dans la partie est du Congo sont d’origine rwandaise? Exemples: Jomba, Rugari, Busanza, Kanombe, Rubaya, Nyiragongo, Mu Basinga, I Kamuronzi, i Sake, Rubaya, Kanombe, mu Byahi, Mugunga, iBweramana, Rumarangabo (Rumangabo), Ngoma (Goma), i Masisi, i Rucuru, Munanira, Remera, Bunagana, Tongo etc….