Dans un communiqué du 11 mars 2024, le président de la République et le Premier ministre burundais sont sollicités pour donner des instructions au ministère de l’Intérieur afin de ne pas prendre en considération les conclusions d’un prétendu congrès organisé par des dissidents et usurpateurs des fonctions au sein du parti CNL.
Le secrétaire général du parti CNL, Simon Bizimungu, exprime son amertume face à l’implication directe de certains administratifs et membres des corps de sécurité et de renseignement dans l’organisation et la tenue d’un simulacre de congrès par les dissidents et leurs alliés au nom du CNL. Il demande instamment au chef de l’Etat et au Premier ministre d’intervenir pour mettre fin à l’ingérence du ministère de l’Intérieur, du Développement communautaire et de la Sécurité publique dans le fonctionnement du parti CNL.
Il en appelle également au Forum des partis politiques pour faire respecter les lois du pays et les statuts des partis politiques, tout en invitant la communauté internationale ainsi qu’aux confessions religieuses à suivre de près une situation de la démocratie déjà précaire et l’État de droit au Burundi.
Par ailleurs, la faction fidèle à Agathon Rwasa, leader historique du CNL, rejette avec force toute prétendue issue du congrès tenu à Ngozi le dimanche 10 mars 2024 par « des dissidents pourtant suspendus des organes du parti ».
Si je pars du principe que dans nos contrées les ordres viennent presque toujours d’en haut, l’issue de cet appel risque d’être problématique.
Mais faisons toujours confiance au sens de la justice qui est inné chez les humains à plus forte raison chez ceux qui sont appelés à diriger les autres, même si certains tentent de l’étouffer.
Vision Burundi Pays Emergent en 2040 (qui compte beaucoup sur le developpement des secteurs agricole, minier, touristique,…) serait impossible a realiser si le Burundi se retrouvait dans la meme situation que le Zimbabwe.
« Western investors remain reluctant to work in Zimbabwe and are concerned about the human rights situation. They fear sanctions, political uncertainty, security of investments and reputational risks. Analysts say that this is one of the reasons that the Australian investors behind the Arcadia mine sold their mining rights to the Chinese… »
https://www.msn.com/en-us/money/markets/could-lithium-transform-zimbabwe-s-economy-or-will-the-opportunity-be-squandered/ar-BB1jKSVO