Le président de la Configuration Burundi de la Commission de consolidation de la paix des Nations unies demande au pouvoir de discuter avec les autres partenaires sociopolitiques toutes les questions politiques, et reçoit les doléances de la société civile.
« Les Nations unies encouragent le gouvernement burundais à prioriser le dialogue sur des questions politiques controversées pour renforcer la paix durement recouvrée », a déclaré lundi l’ambassadeur Paul Seger, après un entretien avec le 2ème Vice-président de la République. Pour l’ambassadeur Seger, il n’y a pas de développement sans paix, raison pour laquelle toutes les questions politiques devraient être discutées au même pied d’égalité que certaines lois controversées. Comme le projet en cours pour la révision de la Constitution, la loi sur la presse et la nouvelle loi sur la CNTB. Il a ajouté que la mise en avant d’un esprit de conciliation permettra de renforcer la légitimité et la crédibilité du gouvernement burundais auprès des partenaires.
Ce diplomate a également rencontré plusieurs acteurs de la société civile. D’après Gabriel Rufyiri, président de l’Olucome, ils ont plaidé pour que le Burundi continue à être soutenu par ses partenaires techniques et financiers. Mais, en contrepartie, a-t-il souligné, le pays doit se doter de textes qui respectent la bonne gouvernance et la transparence dans la gestion des finances publiques pour attirer ces partenaires.
Le délégué du FORSC, lui, espère que le mandat du BNUB va être prolongé, vu la situation politique et sécuritaire qui prévaut. A cause notamment de l’adoption d’une série de lois qui privent les citoyens de leurs droits et libertés fondamentales. Ou de la tension et de la peur semée par la jeunesse Imbonerakure.
Une société civile qui espère…
Pour Vital Nshimirimana, il faut que le BNUB reste pour être témoin, car c’est une obligation en vertu de la responsabilité de protéger. « Dans une situation où des signes avant-coureurs existent, faisant état d’une violence sanglante, la communauté internationale a l’obligation d’intervenir pour protéger la population. » Il ajoute que c’est en contrepartie de l’obligation qui incombe à l’Etat d’assurer et de garantir le respect des droits de l’Homme.
La position du délégué général du Forsc ne va pas manquer de susciter des réactions, les plus courantes l’accusant de faire de la politique. A l’instar de la société civile dans son ensemble, souvent décriée par le pouvoir, pour prendre des positions politiques proches de l’opposition.
Et quant à l’ambassadeur Paul Seger, d’aucuns se demandent si ses conseils au gouvernement seront suivis. S’il est vrai que la prise en compte des consensus de Kigobe sur la révision de la Constitution soit toujours possible, il semble, en revanche, que la messe soit dite concernant la loi sur la presse ou la nouvelle loi régissant la CNTB.
Le pouvoir DD prepare un referendum populaire (l’option parlement étant sans issue) pour forcer un 3eme mandat du President sortant.
Ce que le President Nkurunziza devrait savoir:
1. L’Accord d’Arusha est un Traité de Paix entre belligérants. Cet Accord interdit a tout Chef d’Etat burundais d’exercer plus de 10 ans de pouvoir.
2. On ne soumet pas un Traité de Paix a un referendum populaire. Vous marchez sur des oeufs, Mr le President! Ceci depasse l’antagonisme Hutu-Tutsi que certains désespérés tentent de réactiver.
VOUS QUI AVEZ EU LA CHANCE DE LE RENCONTRER,AURIEZ VOUS EU L’OCCASION DE LUI MONTRER LES PHOTOS DE LA MILICE IMBONERAKURE ENTRAIN DE DÉFILER DEVANT NOS DIRIGEANTS?
Nta kintu kibishe nko gusasira indava abanyaze ivya barundi. Vyongeye, koko ni akamuna kumva hari abarundi bacibaza ko imyaka 40 yokwijana gurtyo ikinyoma kitagiye ahabona. Mu Burundi duhiriwe tukiriko kubera n’i Arusha, amasezerano y’amahoro hagati y’abatutsi n’abahutu bakandamizwe n’intwaro y’ubwoko bumwe, yashimikiye cane cane ku kigongwe. Bisugura ko ata mpamvu y’izo nduru. Haba ku ntwaro cami, Micombero, Bagaza na Buyoya, nta murundi ayobewe ko abategetsi bamwe bacidundegera. Paul Seger murundi, impanuro ziwe ni nzima cane cane ku bigira surivu. Inzego n’abagabo ni abokora hisunzw’amategeko. Ikindi CNDD-FDD ikwiye gufasha abanyepolitike n’abatayerekwa, data bareke BNUB ibandanye ibikorwa vyabo gushika amatora y’2015 arangiye.
On se fiche de tes paroles/ Nous au CNDD-FDD nous avons nos projets. On ca=hange rien. Tu peux dire come tu veux.
you think twice my friend nabaporona barabahinyuye bandanya uturi amasoko just you know we know who doing it, you will pay back all this crazy staff you doing see you in 2015 good luck mbonerakure izina niryo muntu abarundi barabivuze
Je voulais feliciter le commissaire de kayanza.
Malheureusement l,espace est plein.
Felicitations, que Dieu te garde.
Nous avons moins honte d,etre burundais.
Je vous appelerai à l, étranger, naho bizimvye
Chers burundais,
Prions bcp pour notre pays et nos dirigeants, parce que ce qui se fait est trés inqiétant.