La 6ème conférence des présidents d’Assemblées et de sections de la région Afrique de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) a débuté solennellement ses travaux, ce jeudi 3 avril, à l’hémicycle de Kigobe.
On aura remarqué la faible participation des délégations étrangères. En effet, seuls 13 pays sur 26 attendus ont été représentés. Là aussi, seuls les présidents de le l’Assemblée de la République Démocratique du Congo, du Mali et de Madagascar conduisaient les délégations de leurs pays.
Rappelons que la conférence a pour thème principal : « Le rôle des parlements dans la gouvernance en Afrique ». La conférence se terminera ce vendredi 4 avril.
Les parlementaires en Afrique n’ont aucun rôle à jouer. Ils bouffent le gros du budget pour soutenir la dictature et violer la loi (exemple du Burundi où les parlementaire de la mouvance présidentielle soutiennent un troisième mandat du président NKURUNZIZA alors qu’ils savent très bien qu’il a fini ses 2 mandats, une honte pour eux). Le budget alloué au parlement et au Sénat peut payer la bourse des étudiants.
naje theme ari iyo si noza. Barazi qu’ils n’ont aucun role surtout en Afrique a part servir de « caisse de resonnance’. La meilleure revision de la constitution viserait la reduction du nombre des parlementaires et surtout prevoir son abolition si jamais les 3/4 des membres sont de la mouvance presidentielle.
La France de Mitterand,de Chirac,de Sarkozy et de Hollande était aussi absente!Cette faible participation de plus de la moitié des pays francophones attendus,et avec seulement 3 présidents des assemblées parlemetaires est un signe éloquant de l’agonie de la francophonie,les chefs d’Etat africains francophones n’y trouvent aucun interêt,ni politique,ni économique,ni culturel,car cette langue de Molière est en perdition en Afrique francophone,où l’anglais menace serieusement le français.Les presidents Bongo,Kagame,Compaoré,Macky Sall,ont déjà introduit l’anglais comme deuxième langue etrangère,et les autres suivront.Même,les chercheurs Français,sont obliger de publier leurs recherches dans des revues scientifiques anglophones,pour être lue partout au monde.Pragmatisme oblige!
Ce n’est pas la francophonie qui agonise, mais bien le pays hotte. Les absents ont eu raison de ne pas venir dans un pays où la démocratie est entrain d’être détruite par les hommes au pouvoir actuellement.
Juste t’inviter à lire le titre de l’article afin de comprendre que seule la région Afrique était concernée et donc la France n’avait pas sa place aux assises.
Cette faible participation de plus de la moitié des pays francophones attendus,et avec seulement 3 présidents des assemblées parlemetaires est un signe éloquant de l’agonie de la francophonie,les chefs d’Etat africains francophones n’y trouvent aucun interêt,ni politique,ni économique,ni culturel,car cette langue de Molière est en perdition en Afrique francophone,où l’anglais menace serieusement le français.Les presidents Bongo,Kagame,Compaoré,Macky Sall,ont déjà introduit l’anglais comme deuxième langue etrangère,et les autres suivront.Même,les chercheurs Français,sont obliger de publier leurs recherches dans des revues scientifiques anglophones,pour être lue partout au monde.Pragmatisme oblige!
Qu’en pensent nos habituels porte parole qui vantent le Burundi comme ayant une bonne image dans le monde? Il ne suffit pas d’avoir des troupes en Somalie ou en Centrafrique pour laisser le tout pourrir dans le pays. Encore que ces missions de nos troupes profitent en partie aux poches de certaines personnes. Aller combattre efficacement les Al Shabab ou anti Balaka et en même temps se faire gifler par les Imbonerakure, c’est quoi? Eteindre l’incendie des autres alors que votre propre maison avec famille dedans vole en fumée? J’ai suivi la déclaration de monsieur Abdou Diouf au sommet de la francophonie: la situation politico-sécuritaire est préoccupante. Cette faible participation des délégations attendues à l’hémicycle de KIGOBE pourrait être un message au parlement burundais: les prestations de nos élus n’honorent pas leur image. Surtout quand ils ne font rien pour juguler la mauvaise gouvernance dont l’exécutif est toujours accusé. Le sage Piyo NTAVYOHANYUMA essaie de sauver ce qui peut encore l’être, mais avec les crocodiles dans les eaux, il a difficile à bien nager. Nous l’encourageons quand même.