Ciza Mwumvuwa, une rapatriée, affirme avoir abouti à un règlement à l’amiable avec un résident du nom de Godefroid Nzohabonayo sur un conflit d’une parcelle sise dans le quartier Birimba à Rumonge. Et ce malgré une décision rendue par la délégation provinciale de la CNTB qui lui a attribuée cette parcelle et les maisons qui y sont construites.
Godefroid Nzohabonayo a accepté de lui vendre la parcelle pour une somme de 5.200.000fbu et la rapatriée a reconnu que les maisons avaient été construites par ce résident. Un contrat de vente de parcelle a été établi en présence des autorités administratives et le président de la délégation provinciale de la CNTB à Bururi.
Alphonsine Nduwimana, présidente de la délégation de la CNTB, a pris acte de ce règlement à l’amiable et a reconnu que la décision de la Commission devient nulle. Elle indique que d’autres rapatriés et résidents devraient suivre cet exemple afin d’asseoir la réconciliation. Beaucoup de gens ont apprécié cet exemple et ont demandé à la Cntb de laisser les parties en conflit amorcer une entente à l’amiable en vue d’une bonne résolution des conflits.
Godefroid Nzohabonayo et Ciza Mwamvuwa se sont serrés la main en souriant à la satisfaction du public et se sont engagés à être de vrais amis : « C’est un exemple d’une réconciliation réussie », note les responsables des associations de la société civile. Ils soulignent que Ciza Mwamvuwa a mis en avant la vérité. Quant au résident, il n’a pas campé sur sa position, la parcelle ayant été vendue à cette rapatriée.
Signalons que d’autres résidents et rapatriés sont aujourd’hui dans cette démarché de règlement à l’amiable, malgré les décisions de la CNTB. Car ils savent qu’ils vivront ensemble sur une même colline ou dans un même quartier.
Pourriez-vous revoir cet article et le remettre en actualité ?
Sinzi ko ari jewe ntatahuye : none uwagurishije parcelle ni nde ? Nyene kuribamwo ritari rwiwe ? Canke nyeneryo w’ukuri ? Je vous apprécie vous tous qui avez pu comprendre l’article à l’envers, jusqu’à faire vos illustres commentaires. Ou bien j’ai mal lu, ou bien vous avez mal lu. Uko biri kwose, article yerekana ko haguze nyen’itongo. Méfiez-vous alors, et modérez vos commentaires, quand vous ne lisez que les titres sans lire le contenu des articles ! ! ! ! ! ! J’espère que la rédaction du journal va changer bientôt la première phrase de l’article. En attendant, je vous invite à faire la relecture, vous les commentateurs de la première heure. Wakijeteste
Dans ce genre de dossiers, on distingue deux types d’acquéreurs: L’acquéreur de bonne foi et l’acquéreur de mauvaise foi. Abo bumvikana mu mahoro ni les acquéreurs de bonne foi. Kubisanzwe bene abo niyo avuye mubintu le droit iramuha agashimwe.
Barya bavuza induru ni les acquéreurs de mauvaise foi. Kubisanzwe, umuntu abanje kugagaza kuva mu bintu bitari gwiwe, ubutungane bwategerezwa kumurihisha imisi yabimazemwo comme exploitant illégal. Ni ukuvuga ko yategerezwa non seulement gusubiza inzu, mais aussi yategerezwNibaza ko kenshi muri izo dossiers on confond
Ben moi je ne vois aucun role jouer par la CNTB a part avoir ete temoin de l’arrangement entre les 2 parties en conflit, ce qui par ailleurs contredit/ridiculise cette meme CNTB qui avait tranchee en faveur de la rapatriee et echouee a reconcilier les 2 parties!
haha avec CNTB ntimwapruver mutazi ivyarivyo, hari cas nzi nkiyo nyene batweretse que le CNTB yakoze emwe itwara affaire no kuma radio ko bashoboye kuvikanisha abantu babiri alors que yaramanyanga. Le propriétaire wa parcelle bamuciye inyuma hiyadukiza rero umuntu ngo uhungutse( mais arrangement avec CNTB) baca baja inama nuwariko araburana na le vrai propriétaire de la parcelle, CNTB kugira yerekane ko yakoze neza ifata ama image nkuko nyene mubibona aho hejuru batwara no ku ma radiyo ngo un bon exemple, aho rero le vrai propriétaire yagiye avyumva arumvigwa. Igitangaje nuko urwo rubanza gwari muri sentare ariko CNTB ntiyabuze kugwakira kandi bo mumategeko ntibakira imanza zaciye ahandi, mugabo Kubera bakora uko bashaka baragwakiye none le propriétaire nubu araciruka baramwanikiye gushika nuyu munsi, ahubwo mbere bakanamugirako niterabwoba rikomeye kugira yugare umunwa.
Ariko ndibaza ko ukuri en jour kuzotsinda. Ama cas nkayo rero CNTB irayakoresha ariko haba hariho kenshi amanyanga bakora ba nyarucari badashobora kuvugira ahabona.
Beaucoup bien. Les légalistes savent que : Vaux mieux un mauvais arrangement qu’un bon procès. Courage citoyen.
félicitations. voilà un exemple qu’il nous faut suivre. le peuple est en avance par rapport à nos politiciens. Que Dieu vous bénisse.
L’auteur de cet article aurait pu nous parler de l’histoire qui est à l’origine de cette réconciliation. Comment ce Godefroid a eu cette parcelle au départ, etc. Soyez complets dans vos écrits SVP.
Très bon exemple. Erega vyose biva ku kuntu umwe wese aba ameze ku mutima yaba abahungutse cangwe abari muvyabo bahungutse. Bose bomenya ko twaje kuri ino si ataco tuzanye kandi tuzobisiga aho tugataha iyo tuzoba twariteguriye bivanye n’uko twavyifashemwo. bose binasubiye boraba kazoza k’imiryango yabo. Agatimatare niko kamye kadusubiza mw’ihumbi mu gihugu cose co kimwe n’agatima k’ubugunge!!!!! URAKUNDA MUGENZAWE NKUKO WIKUNDA WEWE NYENE. ICO UTIPFUZA KO BAKUGIRIRA NTUKAKIGIRIRE MUGENZAWE
J’espere que Serapion va suivre cette voie et favoriser une justice reconciliatrice, du gagnant gagnant et non une justice qui produit un gagnant et un perdant. S’il est vrai que les vrais rapatries doivent rentrer en possession leurs biens, il faut aussi considerer les interets des acquereurs de bonne foi qui ont fait des investissements importants.
Bigoro
Normalement, la CNTB a dévié de son rôle en voulant satisfaire les intérêt des DD et en foulant aux pieds la réconciliation nationale. La CNTB devait faciliter la réconciliation au lieu de se transformer en tribunal avec des juges plus politiciens que connaisseurs de la lois. Nous encourageons des initiatives du genre et le prélat qui dirige la CNTB devait se ressaisir et se souvenir de sa mission lui confiée par l’église. Prêcher la parole de Dieu centré sur la réconciliation.
Na yo Leta, nimenyeko iriko irakora amakosa nk’ayo izo yasubiriye zakoze et cela n’avance à rien le pays.
Nous avons pas besoin de rester dans un cercle vicieux de violence, mensonge et montages politiques.
Ils se sont serres la main SOURIANT, moi je ne vois pas vraiment ce sourire. ou bien ils se sont serres les visage et les la mains.
Tant mieux.
Voilà un exemple qui donne enfin de l’espoir aussi longtemps que nos concitoyens, voisins en plus, sont capables de s’entendre sans pressions partisanes de toute sorte.
C’est cette voie d’entente mutuelle pour résoudre, chaque fois que c’est possible, les situations litigieuses comme celle-ci que la CNTB devrait continuer à encourager.
C’est une bonne attitude qu’elle a eu en ce qui concerne ce cas. Je crois qu’elle peut le faire pour la pluart d’autres car c’est un cas de solution (résolution d’un litige) qui sert de bon exemple et qui fait réllement plaisir à beaucoup de gens, même sans avoir directement aucun intérêt (sauf social)
dans ce litige.
Eshe Abarundi twese twoza tugerageza inzira ben’izo, ibintu vyinshi vyohinduka mu migenderanire yacu nta nkeka.
Aba nyene kwiyumvikanira n’abo kushimirwa imbere ya vyose. Vyotangaza hagize ikindi kibononera umubano mwiza, mu gihe bashoboye kwiyumvikanira ku kibazo nk’iki
gitera amatati umubano mubi ahandi henshi.
Murakoze kuri iyi nkuru nziza!
comme on dit, on change pas la statégie qui gagne. cette approche inspirée de la methode du feu Astère Kana a été in réel succès avant l’avenement des influences politiques…. les citoyens honetes ont tjrs opté pour cette voie. mais héllas, les politiques s’y invitent tjrs.
Ndabarahiye nta mwunvikano wa bantu badatwenga eka urabona nezako bataryohewe, nimba batabafashe ku nguvu ngo babahe amahera ni irementanya ndabarahiye