La Commission nationale indépendante des droits de l’homme tranquillise les étrangers vivant dans les quartiers dits contestataires. Il arrive que certains d’entre eux soient arrêtés lors des opérations de fouille perquisition menées par la police.
La CNIDH affirme qu’elle est au courant de telles arrestations. Selon Jean-Baptiste Baribonekeza, président de cette commission, les étrangers vivant au Burundi ne sont pas arrêtés ou visés parce qu’ils sont des étrangers. «Ceux qui sont en situation régulière ne devraient pas s’inquiéter», assure-t-il.
Et le président de la Commission nationale indépendante des droits de l’homme d’émettre un souhait : «Il faut que les vérifications soient respectueuses et se fasse en toute légalité.»
C’est grave, cette commission tend a se soucier plus des etrangers que des Burundais! Son president n’a pas encore condamne publiquement et clairement cette facon d’arreter tout jeune homme/femme vivant dans ces quartiers. Peut-on affirmer que tous les jeunes ont manifeste? Quid de notre loi, qui garantit le droit de manifester en paix? Ceux qui ont provoque la violence (jeunes et policiers) devraient etre poursuivis selon la loi et non etre arretes sans jugement, maltraites, menaces en vrac, voire meme tues etc….
Ataraha mu Burundi gusa abarundi badakunda igihugu bareka les etrangers bakikorera utwo bishakiye ahandi umuntu wese babonye w’umunyamahanga suspet baca bamutanga kubajejwe umutekano.
Abarundi turakwiye kwiga ibijanye na conscience collective et l’amour de leur Patrie