Le Conseil national de la communication(CNC) a lancé ce vendredi 24 juin une campagne d’enregistrement des journalistes et techniciens œuvrant dans le secteur de la presse. Cette opération suscite des inquiétudes chez les professionnels des médias.
Par cette initiative, le CNC affirme vouloir constituer le registre national des médias(RNM). Cette campagne d’un mois s’étendra sur tout le territoire national.
Mais au cours des échanges, les journalistes ont émis quelques doutes quant à l’objectif et à l’urgence de cette décision. «C’est peut-être une manière contournée d’accroître encore le contrôle d’une presse déjà frappée de plein fouet», se plaignent certains journalistes interrogés.
De prime abord, argument-ils, il aurait fallu que le CNC se convienne avec les organisations des professionnels des medias sur les textes réglementant l’octroi de la carte de presse. Ensuite, ajoutent-ils, le CNC devrait s’impliquer davantage en agissant en tant que véritable interlocuteur des medias et non le contraire.
Face à tout ces questionnements, Mme Yvette Irambona, membre du bureau exécutif du CNC, a tenu à rassurer qu’aucun autre objectif n’est derrière cette mesure. «Plutôt les journalistes étant répertoriés dans une base de données sûre, plus facile sera d’assurer même leur protection dans l’exercice de leur métier», a-t-elle indiqué.
Signalons que c’est le maire de la ville de Bujumbura qui a procédé à l’ouverture de cette campagne d’enregistrement des journalistes. Avec ce processus, indique Freddy Mbonimpa, on espère bien éradiquer la crise de méfiance entre les administratifs et les journalistes.
Précisons que pour s’enregistrer, les documents requis sont la photocopie du contrat de travail, un visa de résidence (pour les journalistes étrangers), une carte d’identité nationale, un diplôme, un extrait d’acte de naissance et deux photos passeport.Après quoi, une attestation en guise d’enregistrement est délivrée. Cette dernière a une validité de 2 ans renouvelable.
Mr. Micombero, moi j’ai une carte de presse internationale octroyee par une organisation de presse mondiale. Je ne peux pas me presenter dans ce pays de peur que ceux – la que defends bec et oncle ne m’envoie dormir a jamais au fond du lac Tanganyika, comme c’est devenu une habitude.
Si je ne m’enregistre pas chez eux m’enleverront – il mon titre professionnel quand j’en ai impamyabushobozi?? L’extremisme aveugle et tue.
Ces journalistes qui sont au service de his majesty king nkurunziza doivent etre banis de la societe car ils sont caparables a une especes cancerigenes pour la democratie, leur place est ailleurs et a un temps revolu, comme la triste celebre radio milles collines ou l’editorial kangura d’ou alias micembero sero le directeur.
Ces journalistes qui travaillent pour l’ennemi du pays doivent etre ecartés de ce noble metier. Ce sont des detracteurs au service du colonisateur Belge.
Qui fera le tri entre les « bons » et les « mauvais » journalistes ?
On pourrait charger DAM, de chez AGNews, de cette noble tâche. Aucun ennemi du pays, selon la définition DD, ne pourrait s’infiltrer. On pourait enfin lire des nouvelles et des analyses saines.
Il est grand temps …
Dommage, IWACU me plaisait bien !