C’est le message qu’il adresse à l’endroit des chefs d’Etat africains mandatés par leurs pairs, au Secrétaire général des Nations-unies et au Conseil de sécurité de l’ONU.
A travers un communiqué de presse de ce 3 février, cette opposition radicale affirme que les décisions prises par le Sommetdes Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine sont décevantes. Car, précise le Cnared, elles ne répondent pas aux exigences de la gravité de la situation et aux attentes légitimes du peuple burundais et d’une large majorité des partenaires du Burundi.
Pour le Cnared, le pouvoir de Bujumbura vient de profiter de cet« immobilisme du Sommet d’Addis-Abeba », pour lancer, via un communiqué de presse du Parquet Général de la République, des mandats d’arrêt contre des opposants, des militants associatifs et des journalistes exilés. Il trouve que cette démarche a pour but de bloquer définitivement toute perspective de négociations entre Bujumbura et l’opposition.
C’est ainsi qu’il alerte de nouveau l’Union Africaine et l’ensemble de la communauté Internationale « sur les risques graves de cette léthargie de l’Union Africaine. »Et d’ajouter que le Burundi court un grand danger de sombrer dans une confrontation violente qui risque d’aboutir à une guerre civile.
Notre CANARED saurait opportunément qu’elle devrait se battre, faire peur à l’ennemi et l’obliger à négocier.
Ses escarmouches à la grenade sur Bujumbura la capitale ! C’est comme l’Autre fait le Vent dans le Vent.
Le résultat est identiquement nul, et sans effets. Mais, quand même, ça pue en tout petit peu.
Iryo n’iterabwoba nkarirya rya Inarunyonga. Après tout le Burundi continuera à vivre malgré ces ibihuhusi vy’ansumirinda.
Sabira inda yawe, izabandi uzireke
Le vrai putschiste ni Nkuruziza, qui tient la population en otage, avec de petits sacs de farine et de riz. Une vraie parodie de la democratie…du nombre…non instruit et manipules. Tout ce gros mensonge tombera bientot, comme une maison en paille.
vive le cnared celui qui pense que vous avez perdu est celui qui chante la victoire avant le mach
La politique burundaise a beaucoup de mystères. Ces personnes traquées par la justice, exilées, mises à l’indexe seront peut-être nos futurs dirigeants. Avec la même logique mystérieuse qui a mené au sommet de l’état un maquisard et sa bande, autrefois recherchés morts ou vifs, condamnés à mort par la justice de l’époque. Cela devrait nous apprendre à tout relativiser et à modérer nos réactions et décisions: nous ne sommes pas encore à la fin de l’histoire.
« mené au sommet de l’état un maquisard et sa bande » …
On voit les résultats de ce choix, si choix il y a eu : des dirigeants étrangers à une vision « civile » de la manière de diriger un pays. Le gâchis est criant, depuis 9 ou 10 mois.
Que les Burundais se choisissent enfin des dirigeants dont l’esprit n’a pas été bridé par la lutte armée ! L’apparition de rébellions compromet une fois de plus un choix « civil », et c’est dommage -à en être désespérant.
Si vous avez bien suivi, le CENARED est entrain de mourir à petit feu, depuis que tous les partenaires veulent mettre en avant l’idée de parti politique dans le futur dialogue politique. c’est ainsi que SNDUHIJE dans ses dernières sorties se présente plus comme MSD que comme CENARED. C’est aussi pour cette raison que les frondeurs du CNDD FDD sont entrain de fonder leur propre parti, plutôt que d’investir dans un CENARED sans âme.
Dans ces conditions, la note que vient d’écrire ce CENARED, qui n’a plus beaucoup de substances, aux chefs d’Etats ne présente plus beaucoup d’intérêts.
None qui t’a dit que CNARED est un parti politique ? C’est une coalition de résistance, pour mettre Peter dehors, et les negotiations signifient pour Peter et sa clique LA PORTE DE SORTIE
Abarundi twibagira ningoga !!! Iyo CNARED bavuga none ntimuzi abarimwo ! Na Nyakwigira Dolufu ntimubona ko abamuhayagiza bamwibagiye. Twebwe Abarundi, sinzi ko hari umuti kweli !
Vive le CNARED! Vive l’unité du peuple Burundais pour le non au 3è mandat du sang et des cadavres
Vive le Burundi! Vive la constitution du Burundi et les accords de paix.