Les habitants craignent la résurgence des maladies des mains sales.
Depuis un bon bout de temps, l’eau ne coule plus dans les robinets de plusieurs ménages du centre urbain de Cibitoke et du chef-lieu de la commune de Rugombo. D’après un habitant de Rugombo, le coût d’un bidon d’eau de 20 litres varie entre 700 et 800 francs burundais. « La population est obligée de parcourir plusieurs kilomètres à pied pour trouver de l’eau. Ce qui perturbe d’autres activités.»
Dans la plupart des cas, les habitants sont obligés d’utiliser l’eau des rivières destinées aux périmètres irrigués avec des risques énormes de contamination du choléra et de la dysenterie bacillaire.
Aménagement de nouvelles sources
« Nous craignons le retour du choléra qui risque d’occasionner des pertes en vies humaines », s’inquiète une habitante rencontrée au centre urbain de Cibitoke.
A ce problème s’ajoute le manque d’électricité. Les propriétaires des pâtisseries travaillent à perte sans oublier les soudeurs qui passent une longue partie de la journée sans rien faire faute d’énergie. « Nous ne sommes plus capables de payer les loyers et une grande partie des employés ont été licenciés », s’indigne un commerçant qui exploite une pâtisserie-restaurant-bar moderne au centre de négoce de Rugombo.
Un des responsables de la Regideso, entreprise de production et de commercialisation de l’eau et d’électricité, basé à Cibitoke qui s’est exprimé sous couvert d’anonymat avance des explications liées à l’extension de la ville. Il reconnaît tout de même qu’il s’agit d’un problème national surtout pour ce qui est de l’électricité. Pour remédier à ces défis et en collaboration avec les projets hydrauliques des communes, il affirme que de nouvelles sources sont en train d’être aménagées.
Mon ami JerryCan pourrait s’en donner à coeur-joie, pensez, sur les mérites comparés de l’approvisionnement en eau potable et salubre d’une part, et l’impérieuse nécessité de maintenir le pouvoir dans des mains ointes par la Divinité et la sanction d’un Peuple Souverain et Clairvoyant, d’autre part.
Burundais, vous êtes dans la … gadoue, et cela m’attriste. Votre administration est exsangue et on a l’impression d’assister à une réédition d’une vieliie fable, quand Moïse et Pharaon ne parvenaient pas à s’entendre et que l’Eternel infligeait aux Egyptiens des catastrophes macabres et destructrices.
Ce qui me gêne depuis un moment, dans ce récit biblique, c’est que le petit peuple faisait avant tout les frais du « coeur endurci » d’un pharaon obstiné. Pauvres Egyptiens… Pharaon était sourd à la souffrance de son peuple. C’était dans l’air du temps – le peuple ça ne comptait pas.
Les choses ont bien changé, heureusement.
Et nous reconduirons la même équipe qui perd jusqu’à la venue du Christ.
Des randinmées évangéliques seront organisées pour dire que le Burundi est un paradis.
No accountability at all.
Any way persons like Fofo,Gace e or Ndezeko will find a culprit: Sindumuja.
Cry Burundi, my People