Le drame s’est produit dans le secteur Mparambo I, quartier Swahili, à un kilomètre du chef-lieu de la commune Rugombo dans la nuit de ce vendredi 23 août. La femme, de nationalité rwandaise, a trouvé la mort après une longue dispute avec son client, qui avait refusé d’honorer le paiement convenu avant la passe.
Aurélie Cizanye, originaire de la province de Cyangugu au Sud-Ouest du Rwanda était rentrée d’un bistrot de Rugombo accompagné par un homme. Ce dernier, d’après les témoignages de la voisine avait promis de donner à la défunte une somme d’argent dont le montant n’a pas été précisé après avoir couché avec elle. « Le contrat avait été fixé à l’avance. Après l’acte, la femme a demandé de l’argent en vain », souligne-t-elle. Selon cette trentenaire, il s’en est suivi une vive altercation : « C’est au cours de cette dispute que cet homme a tué ma compatriote. Cet homme était à court d’argent et voulait tout simplement assouvir son appétit sexuel », regrette-t-elle.
D’après les responsables de la police et des administratifs de Cibitoke, des enquêtes sont en cours pour arrêter l’homme soupçonné d’avoir tué cette femme, alors que certains habitants de Rugombo appellent l’administration à mettre fin au désordre causé par de nombreuses prostituées en provenance de Rwanda : « Elles viennent pour nous voler nos maris. Le miens m’a laissé avec 5 enfants et il est parti pour vivre avec une Rwandaise », insiste D.N., une quinquagénaire rencontrée sur les lieux du drame.
Dans un bref avenir, des rafles seront menées pour savoir le nombre exact des Rwandais établis à Rugombo, et les irréguliers seront acheminés dans leur pays d’origine, a indiqué un administratif à la base.
Yemwe, ni akamaramaza! ivy’iwacu. Aho muremeje ko uyo muntu ava mu rwanda aje kurondera abagabo i Burundi? Ni hamwe nyene bavuga ngo uwugutuka ntagutorera.
Mwese muvuga, ako kaja kubusambanyi kagomba gutuzwa mu gihugu tuvuga ko twizeye Christo, aba umu Rwandaise, Bdaise uwariwe wese akora iryo shano iyomba jewe nobaherejeyo, umugabo ou umugore. Ubwo ntimubona ko biteye isoni. Bibiliya ngo uwahora yiba ntasubire kwiba, de meme uwahora asambane ntasubira, nakoreshe ayiwe maboko kugira yibesheho abesheho n’abandi. Ubwo busambanyi buri muvyongereza amakuba Igihugu kirimwo.
A lire le dernier paragraphe, ce serait de la faute à la prostituée si elle s’est fait tuer.
Quelle est le lien avec le fait qu’elle soit d’origine rwandaise?
À la rédaction d’Iwacu
Etiez-vous obligé de nous montrer l’image du cadavre?
C’est un peu choquant
Je déteste les prostituées non pas parce qu’elles volent les maris des femmes mais parce qu’elles vendent une chose q’elles ont acquis gratuitement. Mubidandaza mwabiguze angahe? C’est de l’escroquerie pure et simple.
« Certains habitants de Rugombo appellent l’administration à mettre fin au désordre causé par de nombreuses prostituées en provenance de Rwanda : « Elles viennent pour nous voler nos maris. Le mien m’a laissé avec 5 enfants et il est parti pour vivre avec une Rwandaise , ….dans un bref avenir, des rafles seront menées pour savoir le nombre exact des Rwandais établis à Rugombo, et les irréguliers seront acheminés dans leur pays d’origine, a indiqué un administratif à la base. »Si le desordre en commune Rugombo est l’oeuvre uniquement des femmes de charme d’origine rwandaise, les difficultes ne sraient pas insumontables et les reponses seraient par consequent faciles a trouver.Cependant, il faut savoir que ce phenomene de la prostution, le plus vieux metier du monde comme on dit, releve a la fois de la pauvrete, de manque d’autres opportunites economiques et financieres pour ces femmes qui choisissent cette voie pour survivre et subvenir a leurs besoins materiels de leurs familles dans leur pays d’origine de l’autre cote de la frontier au Rwanda.Toute offre de bien/service suppose une demande croissante pour ces commodites.Blamer seulement ces femmes randwaises, alors que’elles sont doublement victimes denote de l’injustice, du manqué de sensibilite des droits et de la dignite de la femme engeneral tout en innocentant les homes burundais utilisteurs des services de ces pauvres femmes.C’e la releve aussi de l’ingorance des accords de cooperation et d’amitie liant le Burundi et le Rwanda pour assurer la libre circulation des bien des personnes et a leur droit d’etablissement a l’interieur des frontieres des deux pays sans entraves ni discriminations aucunes.Parler de rafle en cibrant exlusivement les individus d’origine rwandaise equivaux a la discrimination, a xenophobie, a l’intolerance en les individus d’origine rwandaise resident dans la commune de Rugombo et revient a remetre en question les accords de liberte de movements des personnes et biens, services entre les deux pays;un retour en arriere dans les relations de bon voisinage et de cooperation mutuelle.Il faut s’abstenir, a partir d’un fait divers quoique tragique, de rallumer un feu dont ignore les degats et les consequences eventuels dans cette region ou les emotions sont facilement manipulables et faciles a s’enflammer.
Ndakurahiye nimba uwo mugabo yishe umuntu nimba ari imbonerakure, niyijandajandire. Yakoze umurimo wiwe mu mugambwe. Akaba naho ari muri bamwe ntavuze, emwe muzoba mumbwira. « Ubutungane buzokora neza cane ».
Mugabo rero, ico caha kirakomeye. Kuziza umuntu utwiwe???? Ntaco tutazobona mu ntwaro iraho kweri.