Avec les grandes vacances, le CJK propose un menu appétissant pour divertir les écoliers : de quoi réjouir enfants et parents.
C’est devenu un rituel au CJK durant la période estivale : formation de camps, des spectacles de cirque avec le magicien Tibo venu du Bénin, des animations liturgiques, des semaines bibliques, des semaines psaumes, des rencontres dans les quartiers, des concours de danses traditionnelles et hip-hop mais aussi des concours de chorales. Cette année, le thème est « Ensemble pour bâtir un monde de frères ».
Le but est d’éduquer les jeunes avec des activités culturelles ludiques. C’est aussi le moment d’inculquer aux jeunes un esprit d’entraide à travers la fabrication des briques et la construction des maisons pour les pauvres, mais aussi en les informant des dangers liés à quelques sujets tabous au Burundi comme le Sida, les grossesses non désirés et les viols.
Ils bénéficient de l’aide de quelques experts comme Renzo, un suisse expert en Bible et Coran, et l’association burundaise pour le bien-être familiale (ABUBEF) pour les sujets liés aux grossesses. Les vacances constituent souvent un énorme danger pour les jeunes qui se laissent souvent aller pendant cette période de farniente.
Ainsi les jeunes profitent de la lecture, de la danse ou des formations et évitent les ligalas, l’alcool, le tabac. Certains bénéficient même, à la fin des formations de camps, de matériels scolaires. « Moi, je préfère envoyer mon fils de 15 ans au CJK pendant mes heures de travail, il y apprend beaucoup de choses et peut également pratiquer plusieurs activités. Car, le risque est grand de rentrer à 18h et de le trouver au bar, car de nos jours les jeunes commencent à boire très tôt », confie Benoit Nzisabira, père de famille vivant près du CJK.
David, son fils, quant à lui, confirme les propos de son père : « J’avoue que je serai tenté par les ligalas, si je n’avais pas les concours de danses organisés par le CJK. » Il leur offre également la possibilité de rencontrer des artistes burundais comme Steven Sogo et Gael Faye qui était de passage au Burundi, en juin dernier. L’encadrement s’achèvera le 30 août par des concours de danses traditionnelles.
Kamenge c’est :le Centre Forklorique du Burundi . Ca a beacoup aidé,ça aide et ça aidera nos Jeunes à arriver à une détermination du Burundi.
Activites a encourager, mais Kamenge n’est rien si on considere que rien n’est fait sur le reste de la capitale et du pays! Bon ubu hitwa iwabo w’abantu….
Kamenge… »warapfunywe ntiwapfuye…. »!!komeza amahoro batoto betu!!!