Biographie
Adolescent, j’aimais écouter un certain Jean-Berchmas Nahimana présentant le journal sur la 2è chaîne de la Radio Télévision Nationale du Burundi. Je rêvais d’avoir un jour son excellent accent français. La lecture des bandes dessinées comme Tintin, Les 4 As, Bob et Bobette, Les tuniques bleus, Kouakou,… était mon passe-temps favori. C’est une des raisons qui m’a poussée à faire les lettres modernes au secondaire et plus tard décrocher une licence en communication sociale.
Curieux et voulant toujours chercher le pourquoi d’un phénomène quelconque, j’ai eu la chance d’épouser le journalisme. Avant je m’imaginais ce métier, aujourd’hui je le vis pleinement. Il te permet de faire des rencontres imprévues, passionnantes, dangereuses, reposantes,… Les descentes sur terrain pour enquêter sur un quelconque événement ou pour un reportage te donne une explication qui est au-delà des apparences. Faire éclater la vérité pour plus de justice et d’égalité m’excite beaucoup.
Le journalisme est une école, surtout de la vie. Il m’apprend toujours la courtoisie, l’humilité, l’exactitude, la rigueur intellectuelle, un bon sens d’analyse et de synthèse. Quoi que je fasse d’autres comme boulot, le journalisme restera une passion. Le déterminisme, la bassesse d’esprit, les stéréotypes ne sont plus d’actualité avec ce métier. Pour certain bien sûr ! Avec le Groupe de presse Iwacu, je retombe de plus en plus dans la lecture de toutes sortes de livres sur la politique, l’économie, la société, l’histoire, les romans, les Bd ,…
Voulant comprendre le pourquoi des phénomènes sociaux, j’écris sur tout, j’observe tout et je regarde des films de tout genre.
Une des citations préférées : « Toute éducation humaine doit préparer chacun à vivre pour autrui, afin de revivre dans autrui. » (Auguste Comte).
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