<doc2400|left>{« Ce pays a besoin des formations politiques, d’une opposition et d’un parti au pouvoir forts et solides capables d’analyser et résoudre des problèmes qui se posent. Sinon, nous risquons le chaos. »}
Sylvestre Ntibantunganya, sénateur et ancien président, lors d’un atelier d’échanges du 9 décembre, organisé par l’ONG Initiatives et Changement Burundi.