Rien n’indique que ce corps découvert par Iwacu soit celui du journaliste Jean Bigirimana. Nous allons être vite fixé. Mais qui qu’il soit, il mérite une sépulture.
Après trois jours d’enquête, vendredi, samedi et dimanche, les journalistes d’Iwacu ont finalement découvert un corps dans la zone où notre confrère qui aurait été tué est censé avoir été jeté.
Je voudrais d’abord rendre hommage à la CNIDH pour continuer à s’impliquer dans la recherche de notre collègue.
Vendredi 6 août, Iwacu était seul sur les lieux. Samedi 7 août, un procureur, des policiers et des agents du SNR et la CNIDH étaient sur terrain, aux côtés des journalistes d’Iwacu qui étaient revenus pour l’enquête.
Certes, avec tous les moyens dont disposent les forces de sécurité, il est un peu étrange qu’elles viennent explorer les pistes découvertes par des simples journalistes. Cette recherche « conjointe » n’a rien donné. Mais nous apprécions quand même.
Dimanche, Iwacu est retourné seul sur le terrain et a découvert un corps dans la zone où le journaliste Jean Bigirimana a été porté disparu. Ce corps est-il celui de notre confrère ? Nous ne pouvons pas l’affirmer. L’endroit est difficile d’accès et les journalistes n’avaient pas les moyens d’identifier le cadavre.
La CNIDH et la police doivent faire leur travail. Les journalistes peuvent aider les deux institutions et leur montrer les lieux dès ce lundi.
Vous comprendrez en effet l’importance que nous attachons à l’identification de ce corps.
Au moment où nous écrivons ces lignes, nous ne savons pas donc si le corps qui pourrit dans la Mubarazi est celui de notre collègue.
Une fois que ce corps sera ramené de cette vallée à la merci des charognards, nous l’identifierons.
Si jamais ce n’est pas Jean Bigimana, nous allons poursuivre notre enquête.
Nous osons espérer que la CNIDH tachera de contacter toutes les personnes dont les leurs sont portés disparus ces deux dernières semaines.
Ce citoyen, tué, jeté, oublié, qui qu’il soit, mérite une sépulture digne.
« Ce citoyen, tué, jeté, oublié, qui qu’il soit, mérite une sépulture digne. »
Mr Kaburahe,
Avec tous les respects que je vous dois et qu’on doit au morts, avec la compassion que j’ai pour vous et à sa famille pour ce journaliste, je pense que vous y allez un peu trop vite.
Qu’est-ce qui vous fait dire que ce malheureux citoyen, non encore identifié et auquel vos journalistes n’ont pas pu approcher a été tué? Vous n’avez plus de doute là dessus?
Au Burundi finalement on a encore plusieurs maux à guérir s’il existe encore , au 21eme siècle , des gens qui raisonne comme Hima Jeremy. Je suis sûr que ce n’est pas son vrai nom mais qui qu’il soit un protégé du pouvoir actuel ou un sympathisant je doit lui dire qu’il est inhumain mais une chose est sûre Dieu sait qui il est et il peut le corriger. À part cela mais félicitations aux journalistes du groupe Iwacu courage et ne soyez pas découragé par des insensé parvenus comme Hima
On ne peut pas avoir confiance aux journalistes dirige par un putchiste.
J’accorde bien plus confiance à M. Kaburahe (dont il n’a d’ailleurs jamais été établi qu’il était un ‘putchiste’, si ce n’est dans votre tête malade) qu’à un docile exécutant du pouvoir comme vous dont la seule arme est de porter des accusations sans preuves ni fondement.
Quel âge Jeremy! Un humain, un burundais ou encore … Je ne sais quoi dire. Nturabura? Je veux dire naturellement car, accidentellement c’est plus fort. Comme si ce cadavre ne serait pas probablement celui d’un burundais, donc ton semblable, ton frère! Abarundi baca bavuga ngo « Yazibiye iciwe. Gwawe naco kiracarangaye. » Le lecteur m’excusera pour mes propos mais je n’ai pas pu me retenir.-
Pour qui roule ce dépravé qui se dit Hima avec des arguments farfelus?
Dear so-called Hima Jeremy, « ikubise mukeba, uyirenza urugo ». You can be at his place.
C’est du chinois Mr AK, vous croyez que votre appel sera entendu?
Nous donnons notre applaudissements aux ardents journalistes d’iwacu. Votre esprit est le seul manque de la plus parts des burundais. Nous vs rncourageons. Et vous ne perdent pas, si vous n’avez pas gagne le pari vs avez appris. Nous sommes confiants de votre oeuvre et le fruit se bourgeonne deja!!!