Perchée au sommet de la colline, à 9Km du chef-lieu de la province Ngozi, la ville de Buye a pris son essor avec l’arrivée au pouvoir du président Nkurunziza. Le futur nouveau quartier haut standing de Vyegwa jettera le pont entre les deux villes.
Samedi 28 décembre, 15 heures. Nous sommes à califourchon sur une moto. Nous empruntons la route en latérite qui passe à travers le futur quartier haut standing de Vyegwa, la plaine qui dort aux pieds des villes de Ngozi et Buye. Le quartier est déjà viabilisé et le tout premier immeuble est en chantier.
De loin à droite, se dresse la construction en étages de Burundi Brewery, l’usine d’eau minérale, de jus et de bière. « La brasserie est bien gardée. Vous ne pouvez pas vous en approcher », explique un habitant du coin. Devant nous, un peu à gauche, c’est une usine de briques. « Elle fabriquera même des carreaux », ajoute un habitant.
Toujours dans cette plaine et un peu plus loin, ce sont les bâtiments de l’usine de traitement du café CVKA. Plus loin encore, c’est la Ferme Caprine de Vyegwa.
Nous dépassons un petit ruisseau et nous côtoyons un vaste champ d’ananas et d’avocatiers : « La production d’ananas est écoulée vers la brasserie», nous explique un membre de l’association des agriculteurs propriétaires de ces plantations. De l’autre côté de la route s’observe une plantation bien entretenue de bananiers appartenant à un grand commerçant.
Des cases modestes aux pieds d’immeubles en étages
Nous amorçons une montée. 5 minutes après, nous voilà à Camba, sur la route vers la commune Nyamurenza. Devant nous se dresse une rangée de maisons, la plupart au stade de finition. « C’est le quartier Komeza Gusenga. Ces maisons appartiennent à des particuliers qui ont choisi de vivre sur la même route que les choristes de l’orchestre présidentiel », explique un paysan.
En effet, à une dizaine de mètres de là, côté droit de la route, sont érigées une quinzaine de belles et vastes maisons des membres de la chorale. Un peu en retrait de la route est construit aussi le « Centre Culturel de Buye », une bibliothèque moderne logée dans un immeuble en étage : « Des étudiants de l’Université de Ngozi fréquentent cette bibliothèque de lundi à samedi », explique un vigile.
Côté gauche de la route, un immense hôtel de quatre niveaux encore en construction saute aux yeux du passant. De là, part une route macadamisée longue d’environ 500 m qui se termine à la sortie du quartier présidentiel, au niveau du stade Maradona Stanley de Buye, du nom de l’ancien joueur de Vital’o FC et de l’équipe nationale.
Une dizaine de mètres après l’hôtel, le Centre de Formation Professionnelle Buntu de Buye (CPPBB), un bâtiment en étage flambant neuf exhibe la beauté de son architecture à qui veut le voir. Mais la splendeur de ces immeubles contraste avec la modestie des maisons en briques adobes sous leurs pieds.
Quelques pas de là, une villa en étage aux vitres bleues et deux autres encore en construction s’offrent au regard. De sources concordantes, la villa appartient à l’Ombudsman Mohammed Rukara. Côté opposé, trônent les chatoyantes villas du chef de l’Etat. Le tronçon de la route macadamisée les sépare du Centre Multifonctionnel Buntu de Buye, un complexe sportif qui abrite l’Académie de football Le Messager.
Combien de bâtiments à l’intérieur de ce complexe ? Mystère. Une évidence cependant : le stade « Rukundo » (amour en français) scintille de mille couleurs à la tombée de la nuit. Est aussi observable la ferme présidentielle de vaches laitières de races européennes jouxtant ce stade.
A la sortie de ce quartier luxueux commence la vieille ville aux constructions parfois gothiques des années 36 du diocèse anglican de Buye. Là se trouvent aussi le chef-lieu de la commune Mwumba, l’hôpital, les écoles primaires et le lycée Buye. La vieille Buye se confond aussi aux boutiques de petits commerçants qui se cherchent encore.
Dans ce paysage urbain, le centre touristique détone, à environ quelques dizaines de mètres de l’église anglicane.
Il est grand temps que Nkurunziza yubaka cette fois-ci un amphithéâtre multifonctionnel de grande envergure à Bujumbura pour la tenue de diverses activités événementielles nationales et internationales tels que des expositions commerciales, des spectacles et concerts d’artistes de renom , des événements socio-culturels, des jeux et sports attractifs, des conférences et rassemblements populaires bienfaisants, etc. La capacité d’accueil de cette infrastructure publique dépendrait des fonds disponibles pour sa construction, mugabo uko yoba ingana kose niyumvira ko yofasha cane mu bitari bike. La multiplication des infrastructures publiques nk’izo n’est pas une perte pour notre Pays mais un plus, tubandanirize ku ma projets rentables pouvant propulser notre économie en favorisant la création des emplois locaux.
Ikibazo si ukwubaka!niyaba akoresha amafaranga yiwe atarayo biba amanyagihugu nivyiza!ahubwo ndamukeje!ariko niyaba ari ayava mumaboko yabanyagihugu bishwe nubukene butagira izina aho ntashire agati muryinyo ejo canke hirya yejo nibaba batakiri kubutegetsi bazobiruka!CNTB twibaze ko yama pouvoir bayiha izoca iyakoresha isubize ivyibwe!niyaba ari amafaranga yiwe nakomeze Imana imuhezagire nabiw bose
Dans la bible il écrit que le sang ne fait pas du bon beton. Je crois que ce n est plus le cas aujourd hui.
Mushikiwabo iyo Mana musenga MWE NA FAMILLE PETER nibwoko kI?? Ntabwo arirya tuzi musenga kiranga cumweru nayo abahezagiwe nabatahezagiwe buca Imana iberekanana kuko yitwa IRAHINYUZA
Deux Stades de Football dans la seule province de Ngozi? N est-ce pas NGOZI la province classée nº 1 en malnutrition de la population??
Mon souci est comment gérer ou recycler tout ce bazarre après 2015. J’espère que abzofata ubutegetsi batazobomora, baze ahubwo abgire amélioration. Ivyo bintu vyatwaye amahera menshi. Sha muga Pita arakunda iwabo kabisa !!
Cela sent un futur dossier … de la CNTB.
Quelqu’un disait (à peu près) ceci récemment: Je vois, d’ici quelques années, les leaders actuels du CNDD-FDD et leurs généraux malheureux, pleurant et gémissant à cause des mauvaises lois qu’ils auront eux-mêmes votées (c-a-d aujourd’hui) et qui vont les frapper durement dans leur soixantaine …
Que les plus jeunes gardent cela en mémoire: Muzobibona!!!
Sous le règne de Mobutu, le mot « voler » était tabou ou rayé du dictionnaire des Zaïrois. On ne vole pas, on déplace, disait-on. On déplace les biens d’une personne à une autre, les propriétés de l’État deviennent propriétés d’une personne, on déplace ou transfère les biens d’un endroit à un autre. Mais jamais on ne vole. A lire les commentaires de certains, on a l’impression que certains ressources, biens et moyens de l’État ont été déplacés vers Buye sous le compte de quelques privilégiés! Espérons que ce n’est pas le cas, car voler c’est voler. Et nul ne peut le faire impunément.
Il ne reste qu’aux pasteurs de baptiser ce mur de la honte; une opulence de l’arrogance qui côtoie un peuple en lambeaux.Voulez-vous un nom?
La ville d’Uvira a un quartier dénommé BYEMALAKI (bien-mal-acquis). Il abrite l’Institut Superieur de Gestion des Affaires (mal acquises) et une barraque militaire pour garder ces biens mal acquis. La similitude est frappante.
Perezida wubatse babuloni igiye gusenyuka vuba kandi amabuye azoduhitana tutigiyeyo
To Iwacu: I have the impression that your are quitting on your mission to inform and enlight the public. Telling us about new infrastructures is not enough. The article would have been interesting if you have revealed where the funds to build all this came from, whether these buildings belong to the tax payers or are private and, in the last case, where the money came from. I have the feeling that tax payers money is setving to build private buildings and companies. Regardless of the identity of the owner, this is embezzelment of our money, the taxer payer money. It’s revolting. And remember that even Burundian in the Diaspora are being forced to pay for these so called realisation through the ‘telephone calls for instance. To be franc, if you cannot do this, don’t bother. It looks like an euloge to President Nkurunziza. I have nothing against if he deserves it; I just don’t think it’s your place and role to do it. Thank you.
Hehehehehe Abarundi batebe bakanure. Je suis fier de mon President. I am proud of our president. « Nabayeho imyaka myinshi, » uwo ni Dawidi muri Zaburi, » sinigeze mbona umugorortsi yibagiwe, akenye, asegerereza » Aburamu (Aburahamu) yari afise igisoda c’abantu 318 bavukiye iwe. Melekisedeki yamuhezagiye agarukanye Loti bari batwaye ari inyagano, maze atsinda abami injojo. Melekisedeki ati: » Uragahabwa umugisha n’Imana Nyen’Ingabi Isumba vyose, Nyen’ijuru n’isi: kand’Imana isumba vyose iragahezagirwa, yagushize abansi mu maboko. » (Itanguriro 14) Uyu muhezagiro usange Denise na Peter Nurunziza. Abana babo babe nk’aba Aburahamu, abamuka kuri Isaka.
Ngomba nkebure abavuma uwahezagiwe, yimikishijwe amavuta n’Uhoraho! Ni bibuke ingene igihugu cari umusaka mu misi iheze, hanyuma bumvire umusavyi w’Imana Nzima Peter Nkurunziza!!!! Igihe cose azoba acambaza izina ry’Imana, ndabarahiye azotunga nka Salomo kuko ari isezerano ry’Imana!
Peter Nkurunziza shira imbere nk’umuzinga. Imana yo mw’ijuru Ikuzigamishe Ubuntu bwayo, Amen
Iyo mana isazerana n’abambuzi sinzi ko ariyo twebwe abarundi tuzi? Niyaba ariyo yasezeranye na Nkurunziza ngo asahure yubake ingoro z’akataraboneka i Buye, tuzoyihakana hamwe nawe.
vraiment il president twemera none kubaka iwabo bitwayiki? komutavuga iyo Buyoya yubatse.
reka tuzokurungikeyo udutihireze. sinibaza ko ivyo uzobihasanga mu rutovu malgré qu’il y ait eu 3 présidents bavuka yo.
Mbega yemwe, ninde yabahenze ngo U Burundi ni itongo rya se yoza aravomamwo uko yishakiye? Ari uwusahura amatungo y’igihugu ajana i wabo ku gatumba canke mu mahanga bose ni ibisuma n’abambuzi. Gusagata uja kurundarunda kwa nyoko sivyo bituma kandi ababanyi babaho neza. Ahubwo bikwega urwanko, ishari n’inzigo mu bavukanyi no mu babanyi. Jewe ndemeza ntakekeranya yuko ayo magorofa Nkurunziza n’abo basangiye birigwa baraduza i Ngozi ataco amarira abanyengozi. Akarorero ni Muhamed Rukara tutazi niyo avuka mugabo ubu ari kw’ibere rya nyina wa Nkurunziza. None abanya MWUMBA sibo nabonye bishwe n’ikigoyi gusumvya abandi mu gihugu kandi bakikujwe n’amagorofa asayangana? Niduce ubwenge tureke kwama duhendeshwa agapande k’umutsima n’amajambo asosa kandi ivyacu biriko biranyagwa.
En tout cas, I can say wow, yes, we know that Nkurunziza is the source of all these we’ve read and, we can see some crook ways, but at least, he has done something visible. Les Bururistes have been stealing the country, but we don’t see the long buildings in Burundi or other luring things. Well done president, after you, the country will remain with shining places and buildings, though it’s only Ngozi.
Tout saute aux yeux. Le CNDD-FDD fait pire que l’UPRONA. En un laps de temps, des gens chétifs rentrés de la brousse, souffrant d’une malnutrition avancée et habillés en haillons, se comptent parmi les milliardaires au Burundi. Même MOBUTU avec son sous-sol gorgé de diamants, du Cuivre et de l’Or n’a jamais affiché une telle arrogance. Des villas à côté des bidonvilles sur la colline natale de Nkurunziza, BUYE. Le Burundi peut regretter d’avoir un nouveau monarque, Hutu cette fois-ci, entouré de ses nobles courtisans. J’ai été à Rutovu, c’est tout le contraire. Il faut que nos investigateurs zélés de NYABUSORONGO.org nous donne des détails sur l’origine de tous ces biens mal acquis, de toutes ces villas qui poussent comme des champignons sous le règne cruel des Fdd. Et s’il ne le fait pas, nous allons conclure que ce sont de médiocres investigateurs. Le peuple burundais le fera tôt ou tard et demandera des comptes à tous ces pillards qui le saignent à blanc.
Les investissements de SE NKURUNZIZA dans son village natal me rappellent GBADOLITE, le village natal de MOBUTU qui était devenu une grande ville sous le règne de ce dernier et qui est maintenant tombée en ruine après que son propriétaire de dictateur ait été déchu du pouvoir en 1996. Malheureusement, beaucoup de nos chefs d’Etats en Afrique succombent a ce genre de tentations très vulnérables et souvent sans lendemain quand ils ne sont plus là pour protéger leurs intérêts prives dont la limite avec les intérêts publics n’est que souvent très virtuelle… !!! Just wait and see
Ndabasavye akarwi ko murutovu mukibagire. Amahera du contribuable bayahereje murwarwa. Ntaco bubatse na kimwe ari iwabo canke ahandi hose mu burundi même i bujumbura inzu nyinshi barapanze uwudapanze yayinyaze en 72. Genda murabe centre ya buja. N’amawese gusa sauf qlqs batiments depuis 2003. Courage kuri abo bose bateza imbere iwabo. La charité bien ordonné commence par soit même. Ntawuteza imbere ahandi atabanje iwabo. Kandi ahantu hose hategerezwa gutwarwa n’imvukira hagatezwa imbere n’imvukira z’aho.
Les fonctionnaires de l’Etat y compris ces dignitaires DD ntanumwe afise salaire irenza 3 millions par mois mugabo bubaka ibintu biciye des dizaines de milliards, tout simplement ni amasiha barogeje igihugu. Abo nabo utwenga ngo ntibivye Imana irabona izobashumbusha. Abanywa agacupa n’abo nibaza ko kanyobwa hose, uwosaba rapport Brarudi wosanga abanya Rutovu ataribo banywa nyishi. Ivyo bafise birahari kandi birabakwiye, kubaka stades aux alentours d’une population yishwe na malnutrition abana bagaburirwa ubuyi na PAM nibaza ko atari ivyo guhaya. Ubiravye neza ce sont les « banyarutovu » qui profitent bien de la fraîcheur des hotels de Ngozi et Buye, uzosabe igitabo c’ingenzi urabe.
La lecture est un produit tjrs indispensable pour un lecteur de s’informer et éclairer ses idées et façon d’agir. En ce qui me concerne réellement, je suis content que mon pays est entrain d’être construit. Contrairement à ce qui se faisait avant par les autorités originaires de Bururi, ils volaient les caisses de l’Etat et se contentaient d’aller cacher l’argent ou acheter des villas en Europe. Je reste optimiste quand au changement des mentalités de nos élus et suggère au président Nkurunziza ahimirize/sensibilise ses ministres, députés et sénateurs biyegereza ababatoye banaje barubaka yo. Veiller également au respect et norme de la construction(maisons, infrastructures, jardins et routes) en rapport avec la nature. Par ailleurs, le jour où hazoba koko isekeza ry’abanyuruje itunga rya Leta, bizotworohere.
D’où vient cet argent? Immeuble flambant neufs qui appertiendraient au Président, Ombudsman,… C’est une preuve de plus que un cercle composé de quelques individus continue à s’enrichir au détriment de la population qui n’en peut plus. C’est aussi le signe qu’on est dans un « Etat spécial »: le pays s’appauvrit, quelques personnes en charge de sa gestion s’enrichissent énormément,…Les gens qui critiquent ce déséquilble deviennent des gibiers à chasser,…Je me demande ce qu’est devenu BADOLITE de MUBUTU, Félix Bouffet Boigny,…? Il s’agit,pour moi, des investissements qui ne sont pas durables et qui, de facto, partiront avec le régime car la machine qui les alimentent s’éteindra avec, ou changera de bras…
Le reportage est très bien fait bien qu’il soit fait avec modestie. A y voir de près, on a l’impression que le pasteur Président, qui a l’intention de se maintenir au pouvoir pour y rester à vie, pourrait déplacer la capitale vers Ngozi et Buye serait Kiriri et le Nord du Burundi serait un Yamoussoukro. Veuillez suivre de près chers citoyens, c’est votre argent qui y est investi.
Gitega qui avait été préférée par Nkurunziza pour abriter la capitale a perdu ses faveurs lorsque les membres influents du CNDD originaires de Gitega ont commencé à former un groupe de pression pour imposer leur leader au sein du CNDD. Pourtant Gitega est géographique mieux située pour abriter la capitale.
Buye serait-elle la revanche contre Gitega???
Peut être que la rédaction n’a pas bien expliqué les avantages d’un abonnement du journal. Sans abonnement actuellement, je pense que les abonnés ont l’avantage de recevoir les infos du journal imprimé qui ne sont pas toutes mise en ligne sur le site actuellement. Pour ceux qui sont aux Burundi, cette formule ne les intéresse pas car, ils peuvent se procurer le version papier vendu dans plusieurs kiosques. Cette formule intéressent surtout ceux se trouvant à l’étranger et qui veulent savoir les nouvelles du pays. Les frais d’abonnement n’est donc pas un casse-tête pour ces gens là. If faut également comprendre que sans fonds, un média ne peut survivre et ces derniers proviennent souvent aux produits vendus qui ne sont entre autres les informations ou publicité. Mais vu notre pays, je peux parier sans risque de me tromper, un journal qui compterait sur les pub est voué à la faillite.
Je demanderais donc au journal de vanter leur produit( une explication des avantages de l’abonnement versus version en ligne actuelle) pour faire comprendre à ceux qui hésitent le bien fondé de l’abonnement.
Eh frere s’ il s’ agit de comparer, ne compare plus l’Europe au Burundi. Les Européens sont loin devant nous et je ne crois pas qu’on les atteigne un jours. Abarundi bize bangana iki? Hoho wibaza ko abagura ibinyamakuru mu bize bangana iki? Ca uharura ivyo abo bo kuri Iwacu bakoresha. Jewe sindi abonné ndi muri situation nkiyo yawe mais je peux admettre ko kubafise uburyo cet abonnement ntizimvye. Ndibaza ko uzoja kubitahura hanyuma. Ama publicité ngira ngo urayabonako naho atari ikirenga.
Pouvoir d’achat yabarundi urayizi hako atanga 2000 ya journal avuga ati ABANA BANJE BARARIRA IKI? ET pourtant c’est 1 €. Nko ku muntu ari muri Europe ni nk’ubusa. Rero mwogerageza kubitahura. Gusa n’uko twamenyereye ivyagusa. Kenshi navyo nyene bikaba bitera ico wamaze gutahura nawe!!!!!!
Rien n`est gratuit mes amis…None mushaka barye iki??
Le CNDD-FDD a toujours accusé les gens de Bururi d’avoir favorisé leur région, ce qui était faux ( Allez voir Rutovu, c’est une commune pauvre). Mr Nkurunziza a construit une ville à Buye à partir de l’argent du contribuable. C’est cela la démocratie!!!
Au lieu de construire Rotuvu ils ont conquis et construit la capitale Bujumbura.
Faites nous le decompte des multimullionnaires de ce pays venant de Rutovu ou alors interessez vous au revenu par tete si chacun etait ramene a sa commune natale. vous verrez que Rutovu est bien positionnee. Birya biboneka ni kubera wa mugani wabo ngo « Uwukize akira iwabo ». Il paraitrait que notre president n’a pas d’immeuble a Bujumbura!
c’est qui est déplorable Hilaire .Les Bururistes au lieu de construire leur province et favoriser aussi les autres pour qu’ils puisse dévéloper les leurs ils nous divisé écarter de la richesse national .Aujourd’hui on est dans une autre mentalité chaqu’un chez soit et dévélope chez lui.None amazu yabo banyarutobu uvuga ntari Ibujumbura?urabaza neza baguharurire …hama c’est seulement kwa Président hariko haratera imbere nukuja sosumo urabe cankuzo,muyinga chez les orpailleurs pour ne citer que ceux là .le progrès est en marche nawe ja iwanyu utangure.
J’adore cette idée d’Iwacu meme si ça me bloque pendant que je fais la lecture!
Iwacu, tu me manges mon temps quand je lis, et voilà que tu me mangeras mon argent. Demain je fais mon abonnement!