3 morts et 42 blessés, tel est le bilan des dégâts dressé par Antoine Ntemako, directeur général de la Protection civile suite à l’effondrement d’un immeuble en construction à Kiyange, nord-Ouest de la capitale Bujumbura, dans la zone de Buterere.
Cette catastrophe est survenue ce vendredi 16 mars vers 10 heures. C’est au moment où les ouvriers s’activaient à bétonner la dalle au deuxième étage.
Ntemako tient à souligner qu’il s’agit d’un bilan provisoire : «Les recherches continuent ». Il demande à la Regideso d’éclairer cet endroit pour leur faciliter la tâche.
Cet officier de police se dit désespéré : «Il n y’a pas d’espoir de retrouver encore des survivants ». Il estime que 300 personnes travaillaient sur ce chantier.
Jusqu’à 16 heures, les secouristes n’avaient réussi qu’à extraire quelques 5 corps dont celui de l’épouse du propriétaire de cet immeuble. Cette dernière était restée joignable pendant un temps au téléphone.
Une dizaine d’ouvriers ont pu réchapper. Un rescapé indique qu’ils étaient à un endroit qui leur permet de sauter. «Nous travaillions à la chaîne. Nous formions 6 lignes, chacune constituée de plus de 25 manœuvres ».
Les équipes de secours étaient composées par la Protection civile, la Croix Rouge et l’Armée. Les blessés ont été évacués au centre Médecins sans frontières de Kigobe dans la commune de Ntahangwa.
Il’est encore tôt et ont ne dispose pas d’assez d’informations pour mettre en cause la formation des ingenieurs burundais. Les causes de cette catastrophe peuvent etre variée. Le directeur de chantier qui voulait accelerer les travaux et a employé un grand nombre de manœuvre alors que la structure n’ avait pas etait dimensioné pour porter une tel charge… Les elements de soutient provisoire qui ont cedé … La structure mal dimensioné… Les materiaux de construction réelement employé dans la structure portante non conforme a la norme ou meme differents de ceux prevus par l ingenieur concepteur en terme de caracteristiche… E seul une enquete approfondie e sistematique peut permettre d’identifier le responsable de cette perte intolerable en vies humaines. Rip chèrs collegues.
Des immeubles tombés en cours de construction il y en a eu. Souvenez vous de l immeuble du cndd à Gitega. Personne n a communiqué sur les raisons de ces catastrophes comme cela on fait et refait les mêmes erreurs. Bravo la gouvernance dd.
Uja mu Kinama; Universités za Kinama; Buyenzi ; Butere etc zisohora aba Ingénieurs en Génie Civil abantu baracatikira!! Rindira gato ama étages ya Kigobe muzoyasanga muNtahangwa mama yangu!
Ce n’est pas parce que une université est situé à Buyenzi, Rohero, Kiriri ou je ne sais où que vous pouvez avoir des bons ingénieurs (drôle de réflexion). La cause peut être multifactorielle. Une enquête approfondie serait nécessaire.
C’est le desordre total. Le pays est livré à la merci d’une milice qui fait la pluie et le bon temps et d’autres formes de desordres à tous les niveaux. On ne sait plus qui fait qoui, où et comment? On e sait plus qui est responsable de qoui! Qui est chargé de dire le droit, d’arrêter les présumés coupables, de juger, d’emprisonner. Tout s’est mélangé de la base au sommet et du sommet à la base. Plus de coordiantion aucune….! C’est le chaos alors qu’il y en a qui ne rêvent que d’une chose: se maintenir au pouvoir de façon eternelle sans qu’on leur demande qoui que ce soit en termes de redevabilité et de résultats. C’est vraiment triste.
Le Chef Ingenieur de ce chantier dervairt être rapidement traduit devant les juridictions appriopriées pour y être entendu. On verra..!
Voila ça s est le résultat du chaos et de la corruption ifuni ihamba iracakarishe mugihe amategeko yose atacubahirizwa
Emwe yemwe ba Ingénieurs b’iBurundi!! Manoeuvres baratikiye kubera faux ingénieur! ! Imana ibakire
I’m deeply saddened by the news of so many people passing. My thoughts and and prayers go with my Country and respective families.
Bien dit