C’est officiel, Mme Ahunna Eziakonwa, Sous-secrétaire générale des Nations Unies, Administratrice adjointe du PNUD et Directrice du Bureau régional du PNUD pour l’Afrique, effectuera la semaine prochaine une mission officielle de cinq jours au Burundi.
Objectif de cette visite : réaffirmer et renforcer la coopération entre le Gouvernement burundais et le PNUD. Elle compte échanger avec les plus hautes autorités du pays sur toutes les questions relatives au développement du pays.
Sur son agenda, Mme Ahunna Eziakonwa va rencontrer le président de la République, la Première Dame, les représentants des hautes institutions du pays. Au cours de sa visite, cet hôte de marque va s’entretenir avec les partenaires au développement, les représentants des institutions financières, les chefs d’Agences des Nations Unies, les représentants du secteur privé, des femmes leaders et des jeunes, de la société civile ainsi que le personnel du PNUD.
Selon une note du PNUD, cette visite au Burundi témoigne de l’importance que le PNUD accorde au soutien des priorités du gouvernement burundais. « Les défis actuels seront passés en revue avec les autorités. De même, les perspectives d’amélioration et de renforcement de l’appui aux populations vulnérables, à travers des interventions transformatrices et plus impactantes dans les domaines prioritaires, vont être abordées ».
Signalons que le PNUD vient de commencer un nouveau cycle programmatique étendu sur la période 2024–2027. Cette mission officielle marquera également le lancement du nouveau programme du Fonds mondial de lutte contre le Paludisme, la Tuberculose et le VIH et l’importance accordée par le PNUD de contribuer à la bonne santé et au bien-être pour tous via des actions dans les communautés et les structures sanitaires et une meilleure prise en charge des trois maladies.
D’après cette note du PNUD, cette visite représente également une occasion de réaffirmer l’engagement de cette Agence onusienne à accompagner le gouvernement burundais dans ses priorités de développement et dans l’accomplissement de sa vision de faire du Burundi un pays émergent en 2040 et un pays développé en 2060.