Lors de la 51ème réunion des experts du comité consultatif permanent des nations unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale (UNSAC), tenu à Bujumbura, Isidore Ntirampeba a été élu président dudit comité.
« L’accession du Burundi à la présidence de ce comité est un signe éloquent d’une gouvernance démocratique. Vous savez très bien que le Burundi a une grande expérience dans la lutte contre les groupes terroristes, dans les bonnes préparations des élections paisibles. C’est une autre occasion alors de démontrer notre capacité sur la scène international », a fait savoir Isidore Ntirampeba.
Cette 51ème réunion de l’UNSAC se tient à Bujumbura depuis ce 24 mai, pour faire un suivi sur la situation politique et sécuritaire de certains pays membres de l’Afrique centrale. Au programme, le comité devrait élire les pays qui vont le représenter pendant 6 mois.
Le Burundi a pris les rênes de cet organe, le Gabon assurera la première vice-présidence et l’Angola la deuxième vice-présidence. Signalons que le Burundi vient de succéder à la Guinée équatoriale qui était à la tête de ce comité.
Les 11 états membres du Comité consultatif permanent des Nations unies chargé des questions de sécurité en Afrique centrale sont : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la République Démocratique du Congo, le Gabon, le Congo-Brazzaville, la République Centrafricaine, la Guinée équatoriale, le Rwanda, Sao Tomé et Principe et le Tchad.
Le propos de ce Ntirampeba Isidore fait rire, car souvent, il faut cesser de pleurer tout le temps face au cynisme, à l’insouciance et impitoyable communauté régionale.
En peu de mots le Burundi est tout sauf ce que vient de dire Ntirampeba. Il a eu ce poste simplement par ce que la rotation l’exige ainsi. Son discours mensonger s’adresse à ses admirateurs et autres ignorants des mécanismes de gestion de cette structure d’importance très très relative.
Rugwe