« Nous sommes dans l’urgence de ne pas sombrer, de ne pas renoncer, de rester debout afin que la vie soit plus forte que tout,…», sont les mots qu’a martelé Freddy Sabimbona, directeur du Festival Buja sans Tabou. C’était lors du cocktail d’inauguration de sa deuxième édition, ce 9 mars à l’Institut Français du Burundi(IFB).
Fidèle à son nom, la deuxième édition de ce Festival du théâtre a célébré la femme. Dans une ambiance détendue et festive, les actrices de la troupe Lampyre ont joué avec désinvolture «Les monologues du vagin», une interprétation basée sur des interviews de plus de deux cent femmes dans le monde.
De la morphologie à la conception des cultures de cette partie du corps, tout a été dit. «Ce n’est qu’un mot pour designer une partie du corps comme main ou coude,…», pouvait-on entendre dans cette pièce. Et les actrices d’ajouter «partout dans le monde les vagins subissent de mauvais traitements,… cent millions de femmes ont subi des mutilations génitales…, alors je dis vagin pour que toutes ces horreurs cessent,.., jamais elles ne cesseront tant qu’on n’admettra pas qu’elles existent»
Les artistes de l’Afrique de l’ouest et de la RDC présents dans cette deuxième édition ont salué cette initiative. «Ce festival est dédié au spectacle et à la relève du théâtre burundais» a confié Hamado Tiemtoré (formateur sur la mise en scène). Et Kouam Tawa (formateur en écriture dramatique) de renchérir : « les stagiaires ont soif du théâtre, et vouloir savoir est le premier pas vers la connaissance».
La directrice de l’IFB n’a pas manqué de saluer le courage de la Troupe Lampyre qui a pu rassembler autant d’artistes.
Cette inauguration a pu compter sur la présence de l’ambassade de l’Allemagne et du Directeur de l’Ethiopian Airlines qui a payé le voyage des artistes étrangers
Espérons que « Buja sans Tabou » ne deviendra pas « Buja sans moeurs » où chacun va chanter son sexe et finalement l’homme couche avec l’homme et la femme avec la femme et demandent le droit d’adopter les enfants. Ils demandent des enfants quand ils se mettent dans l’impossibilité de les avoir. C’est le droit de l’homme occidental . Abo bakenyezi bambaye neza ku mubiri ariko ku mvyino zabo bambaye ubusa. Umugani : intama yarikw’iratemberana n’impene, hanyuma impene ibaza intama iti : »ubona nambaye neza ? » Intama iti : »Jewe nd’inyuma yawe isoni riranyishe ». Murazi k’ umuriza w’intama upfuka son sexe. Mbega ivyo vyarigeze kuba muri culture y’abarundi ? Benga barabivyenye mu Burufaransa barabona ko biteje imbere igihugu ?
N’est-ce pas mon ches Kindros ?
kindros
aBarundi vyabuze noneho ico kintu mugira vulgaire gutyo ntasoni, sonera abakenyezi quand- même!!
Bonjour kindros.
Vos propos sont déplacés et hors du sujet.
La brave journaliste Martine rend très bien l’idée de la troupe Lampyre :
Il ne faut pas avoir peur des mots. Pour éviter l’irréparable à ceux ou celles qui les portent.
« Il ne faut pas avoir peur des mots »: Nubivyine kand’ubiririmbe mu gifararansa. None woja kubivyina no kubiririmba mu kirundi canke mugishwahili imbere y’abavyeyi bawe ? Abantu boca bakujana mu basazi. Un minimum de respect pour notre culture au lieu de l’aliénation mentale.
@ Ntahitangiye, vous essayez de citer. Mais vous écrivassez dans quelle langue dialectale !
aBarundi vyabuze noneho ico kintu mugira vulgaire gutyo ntasoni, sonera abakenyezi quand- même!!
courage my dears