A l’hôtel Source du Nil les acteurs politiques se rencontraient hier pour un atelier organisé conjointement par le BNUB et le ministère de l’Intérieur sur la deuxième évaluation de la feuille de route de Kayanza.
Tous les leaders des partis politiques étaient présents au rendez-vous de ce mardi 20 mai. Aussi bien ceux reconnus par le ministère de l’Intérieur que ceux qu’il considère comme illégaux. Dans son discours, Parfait Onanga Anyanga a indiqué que le climat politique n’est pas assaini. Il a demandé aux hommes politiques d’être des exemples pour les jeunes affiliés aux partis politiques afin que les élections de 2015 soient réussies. Le patron du BNUB leur a également demandé d’arrêter de les manipuler pour que ces élections soient paisibles et transparentes.
Il n’a pas manqué de rappeler aux politiciens l’importance du dialogue : « Dans la feuille de route, vous avez proscrit, à juste titre, le recours à la politique comme expression politique (…) Saisissez donc l’opportunité de cette nouvelle rencontre, et de celles à venir, pour poursuivre l’indispensable dialogue que vous devez constamment entretenir. Cela devrait permettre d’aplanir les divergences qui subsistent encore. » Le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies a souligné qu’ « il y a autant de mérite de gagner les élections que de rester dans la course. Les bons gagnants font les bons perdants. Il n’y aura de vrai vainqueur que le Burundi. »
Le ministre de l’Intérieur, Edouard Nduwimana, a indiqué que son ministère ne ménagera aucun effort pour mettre en application la feuille de route.
Une intolérance politique décriée par tous…
Il a auparavant commencé par relater quelques actions menées par le gouvernement, à travers le ministère de l’intérieur, dans ce sens. Edouard Nduwimana n’a pas caché sa satisfaction quant au pas déjà franchi dans la mise en œuvre de cette feuille de route. « Un jour viendra où il n’y aura d’autre champ de bataille que les marchés s’ouvrant au commerce et les esprits s’ouvrant aux idées (…) Un jour viendra où les boulets et les bombes seront remplacés par les votes, par le suffrage universel des peuples. » Citant Victor Hugo, Edouard Nduwimana a indiqué que ces jours sont arrivés au Burundi. Il a demandé aux politiciens de changer de comportement, en comprenant que les époques sont révolues, et que toute forme de violence est à condamner.
Dans son discours d’ouverture, le premier vice-président de la République a quant à lui indiqué qu’ « on perçoit déjà les prémices d’une campagne électorale, qui ne dit pas son nom, avant le coup d’envoi émanant de l’autorité habilitée et conformément à la loi électorale. » Prosper Bazombanza a appelé au rejet de l’intolérance politique et la manipulation des jeunes. Comme seuls exemples (ndlr), il a rappelé les événements du 8 mars à la permanence du MSD, « et certains écrits que certains leaders des partis politiques et acteurs politiques adressent à la communauté internationale. »
Merci Professeur.Je vous connais ( avec VOUS). Heureux l’enfant de Borntomakelovernotwar qui apprendra Victor Hugo a l’Ecole Primaire. L’essentiel c’est pas de philosopher. Ce qui a été dit a été dit et on a compris.
Cette rencontre était inutile à mon avis car pilatée d’avance. Avec un Bazombanza ( Iwacu corrige le nom du 1er VP ce n’est pas Bambanze , Bambanze ( Vital) c’est le sénateur Twa mais Bazombanza, un lapsus qui renseigne sur sa popularité) qui n’est reconnu que dans les bureaux de la 1ère VP et du Ministère de l’intérieur, Edouard Nduwimana massacreur/Nyakuriseur des partis Politique, la montagne ne devrait accoucher que d’une souris. Parfait Onanga n’avait face à lui que des Bagumyab…
J’espère qu’il n’y a pas de perdiem! Dans le cas contraire, ces rencontres dureront et dureront encore. On les connaît ces gars. Souvenez-vous de Arusha
Je suis déçu par Nduwimana. Vraiment, un homme intellectuel comme lui qui se réfère aux petits romans des enfants de l’école primaire!! Qu’en est-il de Socrate, Aristote, Austin et autres?
Finalement, ses agissements viennent de se justifier.
Il y a d’autres dont il pourrait citer les passages(Jurgen Habermas par ex )qui démontreraient qu’il ne passe son temps que courir derriere Zebia.(rectificatif)
Quand une un gros mensonge est dit par un grand homme, il a une grande valeur comme « vérité, dogme, citation etc. des grands », quand c’est un petit homme qui dit une vérité, personne ne s’y intéresse et même elle est tournée en dérisoire. Voilà tout ! Moi je pense que c’est quelque part constructif, qu’ils se parlent pour bien nous gouverner et bien gérer le bien public. La compétition pour bien faire, bien diriger : voilà ce dont le peuple a besoin. Les autres phrases on s’en fout !
Mon ami, kubona uzi abo bagabo bose biraboneka ko utari n’importe qui. Ushobora kuba warasomye kweri. Ariko, ba witonda kabisa avant de dire du n’importe quoi! Qui t’a dit que les livres de Victor Hugo sont des petits romans de l’Ecole Primaire? Iyo uba wari uzi ama thèses de doctorats yandikwa mu ma Universités kuri Victor Hugo ingene anagana ntuba uvuga ivyo! Ivyo vy’abo ba type ba Socrate, Platon na Aristote, uri mu Barundi bake babazi. De même que ushobora kuba wabamenye par accident (Séminaire, couvant). Quant à Jürgen Habermans, je pari que toi même tu comprenne son sa pensée étant donné son style alambiqué! C’est possible mais pas évident. Il faut être humble: Nimba mu migani y’abasokuru bacu ba rugoti batari bazi no kwandika twemera ko habamwo inyigisho zikomeye kandi zubaka, Si Victor Hugo bigisha mu makaminuza akomeye twosuzugura!
Mais ndaduye ndagaruka, nti wasuzuguye Victor Hugo wasuzuguye Edouard. Mais wihenze kuko aho wamufatiye siho! Il serait mieux de retirer ton commentaire. Il ne cadre pas. L’humilité est une tentacule de la sagesse. Courage!