Le secrétaire génaral des Nations unies nommes son envoyé spécial et chef de la mission d’observation électorale des Nations unies au Burundi (MENUB), ainsi que son adjoint.
Le secrétaire général des Nations unies a nommé, ce 10 novembre 2014, le Mauricien Cassam Uteem comme son envoyé spécial et chef de la MENUB. Le Nigérien Issaka Souna a été désigné Chef adjoint. Mandatée par la résolution 2137 (2014), qui a été adoptée le 13 février par le Conseil de sécurité, la MENUB débutera ses opérations le 1er janvier 2015, immédiatement après la fin du mandat du Bureau des Nations unies au Burundi (BNUB)..
Les deux hommes ont une grande expérience dans ce domaine. Cassam Uteem a été le président de l’Ile Maurice de 1992 à 2002, après avoir occupé différents postes dans son pays. M. Uteem est crédité de la promotion de la politique nationale d’« unité dans la diversité », qui a réussi à établir l’unité nationale et une démocratie inclusive stable dans une société multiethnique et multiconfessionnelle. Grand Commandeur de l’Ordre de l’Étoile et de la Clé de l’Océan Indien –la plus haute distinction dans son pays–, M. Uteem est titulaire de doctorats honorifiques des universités de Maurice, de Buckingham (Royaume-Uni), d’Aix-en-Provence (France), de Tananarive (Madagascar) et de Jamia Islamia Milla (Inde).
Quant à Issaka Souna, il apporte avec lui une vaste expérience politique et électorale. Il a travaillé, entre autres, avec le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) dans plusieurs pays d’Afrique dans le domaine de l’assistance électorale. Au sein des Nations unies, M. Souna a été Chef de la Division de l’assistance électorale pour l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), d’août 2011 à décembre 2012. Il a également dirigé plusieurs missions d’observation électorale à Madagascar. Plus récemment, il a été expert électoral auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
(Source : www.un.org)
Le grand problème pour les élections au Burundi est le président actuel qui veut se faire élire en violation de l’accord d’Arusha. C’est aussi le groupe de courtisan qui sème le vent et le pluie, jamais le beau temps pour imposer Nkurunziza au Bagumyabanga, en enseignant que sans lui, le CNDD FDD ne peut pas gagner les élections. Une grande erreur! Ils font tout aujourd’hui pour faire discréditer tous les leaders d’opinion qui osent dénonces les mauvais agissements de Nkurunziza.
Monsieur Uteem, il faut bien vouloir surveiller les agissements de Nkurunziza et son groupe, c’est la source de l’insécurité actuelle, les emprisonnements des concurrents et leaders d’opinion, les montages grotesques. Ils ont mal de la liberté de la presse et veulent fermer les radios et journaux qui osent dénoncer leurs manigances.
Cassam Uteem et Issaka Souna font leur carrière … les barundi doivent faire leur histoire…
Les Nations unies sont pésentes au Burundi depuis la période de l’indépendance, pendant la 1ière République et toutes celles qui ont suivi…
Cette présence n’a pas empêché le pays de sombrer dans la violence qui a culminé dans près de 15 ans de guerre civile d’une violence inégalée…
Bien évidemment, aujourd’hui comme hier, les Barudi en étaient et en sont les seuls artisans…
Uyo onyanga anyanga ni bamushimire yaratanguye kuzana amanyanganyanga. nagende wewe nazobura akazi Nations Unies iraca recruta. Mugabo rero niyo agiye baraba magabo kuko azobaha amanyanganyanga.
Tant que Dieu aime le Burundi, toutes les personnes qui pensent à détruire ce beau pays seront surprises. Que Nkurunziza se présente ou un autre candidat, ca ne change à rien. Les CNDD-FDD resteront toujours gagnant avec une majorité absolue. On aimerait surtout que la communauté Internationale soit en place pour témoigner de cette élection. Le peuple n’a pas changé, c’est le même qui est là. Ceux qui se fient aux armes et commencent à faire les rondes pour salir le Burundi, ils vont se taire à jamais. Que Dieu garde le Burundi et les siens mais qu’ils changent les cœurs de ces démons qui veulent gushira uburundi mukaga. Que la démocratie règne au Burundi.
« Que la démocratie règne au Burundi. »
…. Voulez-vous dire, comme maintenant???! …… ou aimez-vous ce pays?
@ Jean,
Chaque chose a son début, même les pays où on dit qu’il y a la démocratie sont les premiers à appliquer l’impunité. Ouvre tes yeux, pour asseoir la démocratie qu’on a eu. La démocratie ne viendra pas de la communauté Internationale.
Monsieur Cassam bienvenue au Burundi. Certainement que vous avez encore le souvenir de votre rencontre en 1993 avec feu Président Melchior Ndadaye. Votre aide pour le Burundi sera très précieuse pendant ce moment critique ou ce pays fait face à des questions aiguës comme: Candidature pour un troisième mandat pour le président actuel, comme la mise en place des organes pour aider le Pays durant le processus électoral,… Merci au Nations Unies de ne pas autoriser un vide par rapport à sa présence au Burundi, les temps sont durs, la situation sécuritaire ne présage rien de bon mais le Peuple espère s’en sortir sans trop de casses.
Sir Uteem,
Welcome in Burundi where you will experience complicated people like our N0.1, the President of CNI and his Speaker of that commission, without forget some superior in the security who are the decision making in these last ten years. You will notice that they are in total silence but every second you will go further you will discover that the politics and leadership « inclusive » they sing always is a liar story which will never happen along they will leading this nation.
Indeed, What we are waiting from you is that you use your experience and responsibility to convince our President not to candidate in extra ignorance of the Constitution, to follow that this CNI is surely independent, go far and make a sight on the members pointed by those people drunk by the hypocrisy in whatever they do.
For your Vice hope you all a good collaboration and all the best.
Rugema N.