30 cadres de la direction du budget et cellule de planification ont bénéficié d’une formation sur la préparation, l’exécution et suivi-évaluation du budget-programme par Banque africaine de développement à travers son projet d’appui à l’amélioration de la mobilisation des ressources et du climat des affaires, PARMOCAF. Les bénéficiaires de la formation se disent fiers de s’être imprégnés de la nouvelle réforme du budget axé sur le résultat.
Centré sur le renforcement des connaissances dans l’élaboration de plans de travail et budget annuel (PTBA), la préparation de rapports d’avancement trimestriels et de rapports annuels de performance (RAP) et l’élaboration d’un programme d’investissement public (PIP) axé sur les résultats, ces cadres de l’état ont suivi, du 06 novembre au 22 décembre 2023, à Bujumbura, des belles occasions d’échanges et de partage, avec les formateurs, sur les connaissances beaucoup plus pratique, qui, affirment-ils, les permettront d’améliorer la gouvernance et l’efficacité de la gestion publique, de mettre la gestion des finances publiques sur le chemin des normes et standards internationaux, d’opérationnaliser l’approche programme et afin de renforcer la chaîne « Planification, Programmation, Budgétisation, Suivi et Évaluation » (PPBSE).
Le « budget-programme » étant au centre de la formation, Dieudonné Sakubu, contrôleur des engagements de dépenses à la Vice-présidence de la République, à la primature et à la CENI, a fait savoir que cette formation est venue au point nommé.
Les nouvelles connaissances apprises me permettront de mieux servir les administrations dont je contrôle leurs dépenses et engagements, a-t-il souligné. Il est revenu sur la pertinence de la formation en laissant savoir qu’avec cette formation, désormais, nous allons quitter le budget moyen vers le budget programme, une gestion axée sur les résultats et l’évaluation après l’activité.
Mr Sakubu a d’abord remercié le ministère des Finances et de la planification économique qui les a autorisés à participer à cette noble formation et n’a pas oublié de remercier la Banque africaine de développement, à travers son projet PAMOCAF, qui l’a rendu possible, grâce à son financement accordé au gouvernement du Burundi.
Une formation salutaire
Rosine Peggy Mukunda, contrôleur des engagements des dépenses pour le compte du ministère de l’éducation et de la recherche scientifique, quant à elle, se dit satisfaite de cette formation. « Cette formation consiste à nous faire acquérir des nouvelles connaissances en matière de la préparation du budget programme.
Elle nous a été utile du fait que ces nouvelles connaissances aillent être utilisées dans mon travail quotidien. Elle nous permettra de bien travailler et de bien entrer dans le budget programme».
Pour elle, les défis liés problème de prévision des activités sur les moyens disponibles et les dépassements auxquels elle faisait face dans son travail de contrôleur des dépenses sont levés. « Il n’y aura plus de dépassement de budget et s’il advenait que cela ait lieu, il faut qu’il soit expliqué et compris par l’autorité en matière de crédit » a-t-elle ajouté.
Mme Rosine Peggy Mukunda a adressé un message de gratitude à l’endroit du Gouvernement du Burundi et de la BAD qui a financé cette formation combien importante. Désormais, avec cette formation, je suis confiant que la mise en application de la réforme du budget programme sera effective, a-t-elle conclu.
Vedaste Nishimwe, consultant et enseignant à l’institut supérieur de gestion des entreprises, ISGE, formateur, a indiqué que le Burundi a déjà basculé depuis l’exercice budgétaire 2023-2024 en mode budget-programme. Il s’agit de passer d’une gestion classique axée sur les moyens ou objet vers une gestion budgétaire orientée sur les résultats et performances.
Cette nouvelle réforme porte sur la planification, les programmes, la budgétisation, le suivi et l’évaluation. « Par ces invocations du budget programme, la formation dispensée portait essentiellement sur d’outils magiques du budget programme, des programmes, leur rôle et les acteurs qui vont aider la mise en œuvre. Nous avons constaté que les acteurs, les responsables du budget programme ont besoin de ces connaissances ».
Le Consultant Nishimwe a fait savoir qu’il est confiant que ceux qui ont été formés mettront en application les connaissances acquises.
Il a tenu à remercier la BAD qui a répondu à la requête du gouvernement en apportant son soutien financier au projet PARMOCAF pour que cette formation soit une réalité. Il en a profité pour interpeller cette structure qui est une partenaire de premier plan du gouvernement du Burundi de continuer à soutenir le Burundi. Mr Nishimwe de poursuivre en disant que cela permettrais de former une masse critique d’acteurs en matière du budget programme.
Pourquoi de nouveau avoir fait tout à l envers
Engager du personnel pour l élaboration et l’exécution de projet.
Engager des gens qui ne sont pas a la hauteur
Les. gens qui nomment sont eux-mêmes incompétents
ils doivent être mis dehors
Que de temps perdu. !!!
Il faut recommencer tout a zéro
Ce sont ceux là qui fait que le pays va mal
Ceux là qui sont les faussoyeurs de la nation comme dit le Président
Aucune sanction n est prise à leur égard
Pourquoi de nouveau avoir fait tout à l envers
Engager du personnel pour l élaboration et l’exécution de projet.
Engager des gens qui ne sont pas a la hauteur
Les. gens qui nomment sont eux-mêmes incompétents
ils doivent être mis dehors
Que de temps perdu. !!!
Il faut recommencer tout a zéro
Ce sont ceux là qui fait que le pays va mal
Ceux là qui sont les fausoyeurs de la nation comme dit le Président
Aucune sanction n est prise à leur égard
courage