Un des trois avocats du prévenu Bamvuginyumvira, Me Raphaël Horumpende, dénonce l’abus de pouvoir du procureur général près la Cour anticorruption, raison qui a poussé son client à interjeter appel contre le mandat de réincarcération : « Cette autorité judiciaire sait bien que le parquet ne peut émettre un mandat de réincarcération après une décision accordant la liberté provisoire quand l’infraction est punissable d’une peine de 10 ans maximum. Or, la corruption active entre dans cette catégorie», soutient Me Horumpende, lors de la séance de comparution devant la chambre de conseil de la cour suprême, ce lundi 23 décembre.
Ce dernier bat en brèche les raisons présentées par le ministère public : « Notre client n’est pas en mesure d’exercer une pression quelconque sur des dénonciateurs qui sont plus forts que lui ; la preuve est que même le civil Etienne, une des deux personnes qui l’ont arrêté, se promène toujours armé.»
Quant à l’allégation du ministère public de la non discussion du montant de la caution, Me Horumpende fustige la mauvaise foi du procureur général. « La question de la caution a été bel et bien discutée à la cour anticorruption et nous l’avons montré devant les magistrats de la cour suprême, ordonnance motivée à l’appui.»
La défense espère que la cour suprême dira le droit. « Et le droit, c’est la liberté provisoire pour M. Bamvuginyumvira ou même la mainlevée dans le meilleur des cas », conclut l’avocat.
Il n’y a pas de mots assez forts pour exprimer la consternation que sèment l’arrestation et le maintien en détention de M.. Frédéric Bamvuginyumvira (F.B.)
Du point de vue purement technique, la conduite de l’arrestation, l’interrogatoire et la détention de cet homme (et Mme Joséphine) est questionnable.
Si on admet qu’il y a eu infraction, dans une situation de flagrant délit, pourquoi est-ce que la justice burundaise ne dévoile pas l’identité du plaignant (ou de la plaignante) ?
Les chefs d’accusation ont changé presqu’en même temps qu’on trimbalait les deux personnes concernées de la Mairie au BSR. L’incitation à la débauche, l’adultère et la rébellion ont été abandonnées en cours de route. Cependant, la tentative de corruption elle a été maintenue. Alors, comment expliquer, du point de vue purement juridique et logique, qu’un chef d’accusation corollaire soit maintenue alors que les principaux chefs d’accusation ont été abandonnés ? La tentative de corruption ne se justifie plus du moment que l’inculpé n’a logiquement plus de motif de corrompre ! Il devrait tout simplement bénéficier d’un non-lieu.
Maintenant, comment expliquer que les enregistrements des interrogatoires soient diffusés dans différents médias nationaux et internationaux alors que l’accusation tente encore de justifier l’arrestation des accusés ? Etait-ce de l’intérêt public d’agir de la sorte ? Pourquoi fouler au pied la présomption d’innocence de ces citoyens ? Qu’est-ce que les officiers de l’État ayant ces agents sous leur responsabilité ont fait pour protéger l’image de la justice burundaise ? Quant au maintien en détention, comment la justifier alors que l’infraction alléguée ne menace ni l’ordre public ni la sécurité de qui que se soit ? De plus, personne n’a démontré que FB fuirait la justice s’il était relâché. Quant à l’image de la justice burundaise, elle est plutôt écorchée par le maintien en détention de cet homme que par sa libération.
Maintenant, revenons sur l’acte en soi.
A ce que je sache, M. F.B. a juré fidélité à sa femme et non au peuple burundais. Or, celle-ci n’a pas porté plainte. Au contraire.
Les Burundais savent très bien et peuvent même donner des noms de plusieurs personnalités haut placés qui sont mariés mais qui fréquentent d’autres femmes. Quelle hypocrisie! Regardez dans votre entourage et vous verrez plusieurs hommes qui ont même fait des enfants à d’autres femmes tout en étant officiellement mariés, devant Dieu et les hommes! Et pourtant, je n’ai jamais entendu de communiqué dans les médias dénonçant ces hommes ou ces femmes! Encore moins des emprisonnements. Deux poids, deux mesures! Pourquoi ? Les motifs sont manifestement autres que judiciaires.
Par ailleurs, le fait de priver quelqu’un de sa liberté et de son intimité n’est pas du tout catholique, sans jeu de mots.
Je me fiche carrément de ce que font les hommes politiques dans leurs lits. Ça ne concerne que leurs propres couples. Personne d’autre! Mon humble avis est que M. FB devait être arrêté, cassé, humilié et discrédité auprès de la population burundaise peu importe les circonstances. D’ailleurs, il ne devrait pas être le seul. Que ceux qui ne veulent pas regagner ou rester dans les rangs… y voient un exemple. D’autres arrestations pourraient suivre.
Malheureusement, l’image de la justice burundaise, voire du Burundi est entachée pour longtemps.
MUTU, quelle est ton analyse si tu as été au moins sur le banc de l’école? Une analyse superficielle n’amène jamais à la conclusion. Il te faut la tête de Léandre de Gitega pour te confondre avec lui et dire sur média que Léandre est ressuscité. Sur plus de 8 millions de burundais, 7 millions (analphabètes, y compris toi) n’hésiteront pas de dire que Jésus a fait des miracles. Plus d’écoles juste pour l’alphabétisation de tes compatriotes et tu regagnera le groupe c’est sûr. Banza wige, mugabo bizogufata umwanya umuhisi Mandela yamaze mu gasho kugira utahure ibiriko biraba iwanyu kumutumba cane cane
Umugabo w´Ingozi yitwa Felix Bwitonzi Kagayo niwe aboshe Bamvuginyumvira! AbanyeNgozi bakaze kabisaaa!!!!
king james dusobanurire ukuntu uyo munyengozi aboshe bavuginyumvira uzoba ukoze ntukore inkuru yigice….
Monsieur Le Président de la République, pendant que vous allez animer la croisade biblique à Ngozi avec votre famille ainsi que tous les grands du pouvoir de Bujumbura, durant cette période de fête de fin d’année, moi Burundais Lamda sollicite votre intervention pour faire libérer Bamvuginyumvira. J’ai visionné la vidéo mis en ligne par les pseudo responsables de la Mairie de Bujumbura durant l’interrogatoire non autorisé de Mr Frédéric ancien Vice Président de la République. J’espère que vous ou au moins un de vos conseillers a pris le temps d’analyser ce dossier qui fait la honte de notre système judiciaire, Si vous croyez véritablement en Dieu le Tout Puissant le Miséricordieux, envoyez Bamvuginyumvira chez lui pour qu’il fête Noel en Famille. Abandi nabo bagira ibindi biharuro bamenyeko n’inyuma ya zero Imana irakora.
Voici ce que j’ai remarqué quand j’ai visionné moi cher Gondwanais :
1. Mr Bamvunginyumvira a avoué qu’il a commis l’acte d’adultere (c’est du suicide politique ça)
2. Il a menti qu’il n’a rien fait quand les leaders de l’opinion publique et les médias sont allés le voir.
3. Cet homme vient de déshonorer sa femme, sa famille, son parti pour quelques minutes de plaisir, il vient de perdre toute son d’integrité et la confiance du peuple qu’il voulait amener dans la rue pour manifester.
4. Le caméraman (une autorité coercive) lui a repeté au moins à deux reprises que c’est l’habitude, c’est la norme. Il aurait dû respecter le travail de ce policier et se taire. Il n’avait pas besoin de son autorisation pour faire son travail vu qu’il était en arrestation. L’accusé a continué à donner des informations comme si le cameraman ne filmait pas et il a même avoué son crime. Ce qui confirme son intention de corrompre. Il se levait et il a même influencé la maitresse à faire de même.
5. On lui a demandé 10 millions et il a dit qu’il avait seulement 200 000 fbu et que c’est tout ce qu’il a et qu’ils ont déjà parlé avec le caméraman. Il négociait en disant que l’acte qu’il a commi n’est pas un meurtre, que ce sont des hommes comme lui, ils devraient comprendre, prendre les 200 000 fbu et les laisser partir, il suppliait, et ça c’est tentative de corrompre un agent de l’ordre.
6. S’il n’est pas poursuivi pour tentative de corrompre un agent de l’ordre, n’importe que citoyen lambda pourra présenter la vidéo et le poursuivre. Un ex-Vice-président ne pourra jamais présenter sa candidature avec un vidéo pareil, sa carriére est finie, à moins qu’il ait un tour de magie dans son sac.
Bien dit cher juriste!!! Le Droit si ecclesia katolika yagenewe bose kandi y’abatumwa… Hari abavyiga bakavyumva n’abarondera diplome ngo bakoreshwe atanivyo bize ngo bumve, aho ndiko mvuga bamwe bakwepa MUJOSI ngo baroye kwiga Droit aha n’aha…
Pour la petite histoire hari umunyeshure yize mu wambere ahura na SIGEJEJE, BANKAMWABO, MASABO, MAKOROKA, feu NTAMBWIRIZA, etc aronka 28% arenga ntarenguke aca ahungira universite y’i MWUMBA …Bambe y’i NGOZI aca aheza 4 ans adasubiyemwo …ubu ageze murao bafata ingingo …
MANA GIRIRA ABARUNDI IKIGONGWE!!!!
Querries, Yesu yahumuye impumyi baramutuka. None mwashaka yamire mu buja bw’abo uriko uradondagura? Jewe mba muri ibi bihugu mwama mwirukira gusaba ubukorotse. Nagiyeyo ndi impunzi. Abo mwahora mwita abatwa uyu musi ni bo bakora Biochinie imeze neza mu makaminuza nka (Havard, Monash, Montreal, Vamcouver, ….) ubu ejo ubabonye ari bo isi ihanza amaso uzoca uvuga aya muhe uko uriko uriririra? Kura mentalite imbere yawe. Uwize aramenya, kandi abo wita abahinga muri iyo nduru yawe ndo ni droit, barenganye aho i Bujumbura bosubira kwiga nk’abana bato!! Uwudatembera agira ngo nyina acumba bunini, naho ata n’umubehe afise!!!
Hari ikindi witwaje ngo werekane ko Ngozi ariyo yishe igihugu kivuge ariko ureke kuvuga ko uwigishijwe na Mujosi ariwe atunganya ibintu gusumba! Iyo umenya ko izo mwita ngo ni diplome za licence zitarenga umupaka mwokwize. Iyo Université y’Uburundi twese twarayizemwo turayizi kandi ntugira ngo Kaminuza zigenga ngo zimaze imyaka myinshi kuyisumvya! None ga, ko ubutungane bwamye bubogamye ni bande babubogamika? ni abize privée? Naho shwi ni muce akenge muje kuraba n’ingene ahandi bikorwa sinon ndabarahiye. Ukura utabaza uzosaza utamenye!