• Le bureau de la facilitation dans le dialogue inter-burundais est Bujumbura depuis ce jeudi. Il a rencontré différents protagonistes dont le parti au pouvoir, la coalition Amizero y’Abarundi ainsi que d’autres partis sans oublier le président Sylvestre Ntibantunganya.
Au sortir de sa rencontre avec la facilitation, le parti Cndd-Fdd a indiqué qu’il va répondre au prochain round préparé par la facilitation. Joseph Ntakarutimana, le secrétaire général adjoint de ce parti demande à la facilitation d’emboiter le pas déjà franchi par le Burundi, le dernier en date étant la feuille de route.
Le leader de la coalition Amizero y’Abarundi, Agathon Rwasa indique de son côté demande la tenue urgente de ce 5ème round pour dégager une feuille de route consensuelle qui va engager les Burundais afin de déboucher sur les élections qui dotera le Burundi des institutions démocratiques.
• La direction générale de la société de gardiennage PSG affirme que le contrat qu’il avait signé avec la BRARUDI a expiré raison pour laquelle son personnel qui travaillait à la Brarudi a été mis au chômage. Serges Sinzinkayo, le directeur général de PSG le déclare après que ce personnel ait fait un sit-in devant les bureaux de la société PSG. Ces employés accusaient la direction de PSG de n’avoir pas respecté le contrat qu’elle avait signé avec la BRARUDI. Ils estiment que c’est suite au non-respect du contrat que la Brarudi a dû les renvoyer Ce que rejette le directeur général du PSG.
• Le représentant légal du Lycée technique Buterere-Ecofo Sainte Jojel a limoge tout le corps enseignant et les membres du jury et de la dite école. Dans une déclaration conjointe du représentant Elie Niragira, du président du comité des parents, ils sont accusés d’avoir promis un diplôme à un élève qui ne s’est jamais présenté en classe. Le directeur étant condamné de 5 ans de prison et de 10 ans d’interdiction d’exercer dans la fonction publique. La représentation a décidé que le comité des parents choisit un autre directeur. Le directeur du Lycée Benjamin Manirambona est accusé de faux et usage de faux, falsification et fraude des examens et évaluations pédagogiques. Il a été pris en flagrant-délit en train de passer un examen d’Etat, vendredi 10 août