Mardi 05 novembre 2024

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Au sommaire de l’édition de ce mercredi 9 novembre 2016 du journal ’’Amakuru y’Iwacu’’.

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09/11/2016 Edition : Commentaires fermés sur Au sommaire de l’édition de ce mercredi 9 novembre 2016 du journal ’’Amakuru y’Iwacu’’.

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• «C’est une opportunité de renforcer la coopération entre le Burundi et les Etats-Unis», déclaration faite par Evariste Ndayishimiye, secrétaire général du parti au pouvoir, après la victoire de Donald Trump lors des élections américaines de ce 8 novembre.

Evariste Ndayishimiye espère que les nouveaux dirigeants vont y voir clair quand ils commenceront à analyser la situation du monde et le Burundi y compris. «Nous avons espoir car ce sont de nouveaux dirigeants. C’est du sang nouveau c’est-à-dire que nous allons partir sur de nouvelles bases. C’est une opportunité d’ailleurs de présenter notre pays dans toute sa réalité. Dans le passé, les autorités américaines pouvaient avoir un côté qu’elles favorisaient.»

L’ambassadeur Cyprien Mbonimpa, spécialiste des relations internationales, indique qu’il ne croit pas que les relations entretenues par les Etats-Unis avec l’Afrique vont changer. «Que ça soit un républicain ou un démocrate qui gouverne, les Etats-Unis défendront toujours leurs intérêts. De plus, ils mettent en avant les principes des droits de l’Homme et la bonne gouvernance,…Je crois que cela ne va pas aussi changer.» indique Cyprien Mbonimpa.

• Trois membres du parti d’Agathon Rwasa à savoir Martin Bukuru, Gélase Nimubona ainsi que Ezéchiel Nzoyisenga ont passé la nuit dans les cachots du Commissariat Provincial à Muranvya. Ils sont accusés de mettre en place les organes du parti.

Le procureur de la province de Muranvya, Oswald Nshimirimana fait savoir qu’Agathon Rwasa n’a pas de parti politique et qu’il est par conséquent illégal de pas mettre en place les organes d’un parti inexistant et non reconnu par le Gouvernement.

« Les coalitions prennent fin avec les élections »indique-t-il faisant allusion à la coalition Amizero y’abarundi.

• « Profaner les tombes est une malédiction». Déclaration du sage, Adolphe Kidasharira. Il fait savoir que dans la culture burundaise approcher une tombe était sacré. Il demande que des mesures soient prises par les instances habilitées à fin que ce phénomène prenne fin.
Signalons que plus d’une centaine de tombes ont été profanées au cimetière de Mpanda il y a deux semaines.

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