• La plainte déposée par les députés burundais siégeant à l’EALA a été jugée non fondée par la cour de justice de la Communauté Est Africaine. Ces députés contestent l’élection du président actuel de l’EALA qui selon eux n’aurait pas respecté les règles de l’EAC. Ils ont demandé au cours de l’audience publique de ce mardi d’interdire les activités de l’EALA jusqu’à ce que le jugement sur cette affaire soit rendu. Mais selon le verdict de cette cour, les activités de l’EALA ne seront pas suspendues après l’élection et la prestation de serment du président de l’EALA.
• La société qui commercialise l’eau minérale, Aquavie a décidé de rappeler plus de 4000 bouteilles d’eau minérale de cette marque qui présentent de sorte de particules visibles dans les bouteilles. Le directeur commercial d’Aquavie, Aloys Ndayishimiye tient tout de même à tranquilliser.
Il parle d’excès de sels minéraux contenus dans l’eau et indique que cette eau n’est pas nocive pour la santé et que les bouteilles sont propres et à usage unique. Aloys Ndayishimiye, demande à quiconque constate une bouteille présentant ces particules de la ramener au point de vente le plus proche pour remplacement
• L’assemblée nationale a adopté le projet de loi portant gestion des pesticides au Burundi ce mercredi. Des députés ont soulevé des inquiétudes sur les conséquences de ces pesticides sur la santé humaine et sur l’environnement. Ces députes proposent des méthodes naturelles pour protéger les cultures contre des insectes.
• La deuxième vice-présidence s’inquiète de l’irrégularité du programme de formation du soir dispensée dans les universités et instituts du pays. La deuxième vice-présidence pense que les fonctionnaires s’absenteraient au travail pour suivre ces cours. Isidore Ntirampeba, son porte-parole l’a indiqué alors que cette institution a récemment demandé aux ministères de dresser les listes des fonctionnaires qui ont suivi le programme du soir alors qu’ils devraient être au travail. Il tranquillise en disant que le gouvernement n’a aucune intention de ne pas reconnaitre les diplômes des lauréats ni de suspendre cette formation.
• Le collectif des associations et ONG féminines (CAFOB) trouve que la place de la femme burundaise au sein des institutions n’est pas encore satisfaisante. La coordinatrice du Cafob, Cécile Mubindi indique que l’égalité genre n’est pas toujours respectée. La tradition burundaise étant souvent le défi majeur. Le Cafob interpelle le gouvernement de prendre en considération l’égalité entre homme et femme.