• Le corps d’un homme du nom de Stany Niyonizigiye a été retrouvé sous sa voiture la nuit de mardi à mercredi, tout près de son domicile à Kinanira 3 dans la commune de Muha. La victime travaillait au service comptabilité de l’ONG GIRIYUJA, qui s’occupe des enfants en situation de rue. Ce sont des gardiens qui ont découvert le corps de l’homme avant de réveiller sa famille. Selon un témoin, il présentait une blessure à la tête. L’ONG demande que les enquêtes aient lieu pour établir la vérité sur ce qui s’est passé.
• Une femme du nom d’Evelyne Nizigiyimana a été tuée en plein centre-ville de Ngozi mardi soir, vers 20 heures. La victime travaillait à la Coopec de Ngozi, service crédit. Un individu s’est approché d’elle et l’a poignardée. La police a arrêté le suspect dans le cadre de l’enquête.
• Le parti MSD a été suspendu pour une durée de six mois. A cet effet, ses locaux ont été fermés sur toute l’étendue du territoire national. Décision prise par le ministère de l’Intérieur. Les motifs de sa suspension sont notamment le fait que le parti MSD s’est engagé à former un groupe armé pour combattre le Burundi tel que déclaré par le président de ce parti. Les membres du parti MSD continuent à afficher un comportement récidiviste d’encourager la violence et la haine.
• Certaines organisations des Nations unies œuvrant dans les pays travaillent souvent pour leur intérêt en ternissant l’image des pays au lieu de donner la réalité se trouvant sur terrain. C’est l’observation de Willy Nyamitwe Conseiller Principal chargé de la communication à la présidence de la République. Willy Nyamitwe dit qu’il y’aurait des pourparlers pour s’entendre sur le cahier de charge afin de relancer les activités de l’office du haut-commissaire de droit de l’homme au Burundi. Ce conseiller Principal à la présidence précise que cet office a modifié son objectif en travaillant comme expert et faire du monitoring alors qu’il était censé assisté techniquement pour la respect de droit de l’Homme au Burundi .
• Le ministre de la sécurité Publique dresse un bilan de 40 armes saisis au cours du premier trimestre de cette année. Le ministre Alain Guillaume Bunyoni parle aussi de 67 groupes de malfaiteurs démantelés et plus de 6 milles criminels arrêtés. Le ministre de la sécurité estime que le nombre d’arme saisis et de malfaiteurs appréhendés pendant les 3 premiers mois de 2017 a diminué par rapport au bilan précèdent. « Il s’agit d’une preuve que la campagne de désarmement a eu un impact », précise –t-il.
• L’Observatoire de Lutte contre la Corruption et les malversations économiques OLUCOME réclame la révision de la loi portant réforme de la fiscalité communale au Burundi. Selon Gabriel Rufyiri président de l’OLUCOME, cette loi prévoit des taxes très élevées. Il fait allusion à la taxe qui va jusqu’à 200% sur le gros bétail, l’impôt sur les revenus locatifs, l’impôt foncier, etc. Il dénonce également la dite loi qui a été mis en place alors que la population n’était pas encore informée du contenu de cette dernière. Le président de l’OLUCOME estime que cette loi a été promulguée sans tenir compte des conditions économiques actuelles.
• Le ministère de la Santé a décidé de fermer toutes les pharmacies qui ne remplissent pas les conditions exigées. La mise en application de la mesure a débuté le matin du 12 avril 2015 dans la ville de Bujumbura. La ministre de la santé Dr Josiane Nijimbere avait menacé de fermer les pharmacies et les hôpitaux ne respectant pas les normes requis vers fin février 2017.
Une administration qui veut vivre au dessus des moyens de son peuple! Taxes elevees vont avoir un impact negatif sur la vie de tout le monde.