•L’Union africaine a condamné l’attaque contre le contingent burundais de la mission de maintien de la paix en Somalie, l’AMISOM. L’UA dénonce une attaque qui a fait plusieurs victimes sans préciser de bilan. Une attaque qui a eu lieu dans le district de Balad, situé à une trentaine de kilomètres au nord-est de la capitale Mogadiscio, 29 juillet 2019. «Nous sommes unis dans le chagrin avec les familles des soldats décédés, le peuple et le gouvernement du Burundi après la perte des troupes courageuses qui ont consenti le sacrifice ultime au service et au soutien d’un pays africain dans la lutte contre le terrorisme.
Nous souhaitons aux blessés un rétablissement rapide et complet », a déclaré Le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat. Les troupes ont été attaquées. Il se dit déterminée à travailler avec le gouvernement somalien pour consolider davantage la paix et la sécurité dans le pays.
• Le gouverneur de la province de Rumonge appelle les leaders des partis politiques de cette province de déplacer leurs permanences qui sont dans des places interdits par la loi. Il pointe du doigt le parti CNL qui selon lui a des permanences à des endroits interdits par la loi, spécifiquement dans la commune Burambi. Une déclaration faite dans une réunion. Le responsable du parti CNL a quant à lui demandé que les actes d’intimidation cessent.
• Iwacu est ému après avoir appris la mort du journaliste Pacelli Sindaruhuka du journal en ligne Ijambo. Le défunt est né en 1971 en commune Bugenyuzi de la province Karusi. Dans un message parvenu à notre rédaction, le fondateur du Groupe de presse Iwacu, Antoine Kaburahe a exprimé son émotion et s’est dit de tout cœur avec la famille du disparu et de la presse : «Pacelli Sindaruhuka était jeune, c’est triste mais restons débout», a écrit M. Kaburahe.
Pacelli Sindaruhuka était détenteur d’une licence en anglais délivrée par la Faculté des Lettres et Sciences humaines de l’Université du Burundi.