• 186 présumés rebelles burundais qui étaient emprisonnés à Bukavu et à Uvira, à l’est de la RDC ont été acheminé à la frontière avec le Burundi. Le but étant de les rendre au Gouvernement burundais. Jusqu’à 16h, seuls 34 avaient déjà été rendus. Certains ont refusé de traverser la frontière burundaise et ont indiqué être des refugiés reconnus par le HCR. Interviewés par Iwacu, ils ont affirmé avoir été capturés et emprisonnés alors qu’ils étaient cantonné dans un camp de réfugiés de Rusenda. « Nous voulons rentrer au camp et être avec nos familles. Nous voulons rentrer avec nos familles.»
• L’ancienne vice-présidente de la République, Alice Nzomukunda ainsi que l’ancien vice-président de la république Frédéric Banvuginyunvira ont été suspendus ce mardi du Cnared. Jusqu’à la tenue de la réunion du Directoire qui devra statuer définitivement. Le parti ADR-IMVUGAKURI a également été suspendu. Le Cnared indique qu’il a tenu compte de la violation grave et flagrante du code de conduite de la plate-forme ainsi que des comportements récurrents à caractère destructeur de certains membres du Directoire de la plate-forme.
Frédéric Banvuginyunvira avait sorti un communiqué au nom des partis engagés au dialogue inter-burundais. Il dénonçait la prolongation du mandat du bureau actuel du CNARED en usant de manœuvre de nature à diviser les membres de cette plateforme. Pour lui, le CNARED n’a plus de dirigeants depuis le 25 janvier 20017.
• Domitien Ndayizeye demande avec insistance les hauts dirigeants burundais surtout les généraux de l’armée d’interroger leur conscience et de voir l’état actuel du Burundi.
Il leur exhorte de convaincre leurs dirigeants politiques afin qu’ils répondent présent au dialogue, pour qu’une solution soit trouvée comme autrefois. « Eux aussi ne seront pas en mesure de vivre un Burundi démuni et plein de pleures. »
• Le ministère de l’agriculture et l’élevage dément les allégations faisant état d’une possibilité de mort subite lorsqu’une personne consomme les légumes, comme en témoignent certains habitants de la province Makamba et ceux de la localité de Nyanza-Lac. En cause les insectes ravageurs de légumes.
Salvator Sindayigaya, directeur général du ministère d’agriculture affirme que ce sont les cochenilles de farine de manioc qui sont indexées.
Selon lui, ces insectes sont plutôt importants car ils permettent de chasser un autre virus qui hante les tubercules de manioc.
Et concernant d’autres insectes ravageurs des cultures, ce directeur interpelle les cultivateurs de respecter les conseils que leurs attribuent les agronomes qui leur montrent quelles pesticides utilisées.
« Domitien Ndayizeye demande avec insistance les hauts dirigeants burundais surtout les généraux de l’armée d’interroger leur conscience et de voir l’état actuel du Burundi.
Il leur exhorte de convaincre leurs dirigeants politiques afin qu’ils répondent présent au dialogue, pour qu’une solution soit trouvée comme autrefois. « Eux aussi ne seront pas en mesure de vivre un Burundi démuni et plein de pleures. »
Pourquoi les généraux ? Hum ! Hum !