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Au sommaire de l’édition de ce mardi 26 décembre 2017 du journal ’’Amakuru y’Iwacu’’

26/12/2017 Edition : 1

• La famille d’un certain Jean Marie Nininahazwe, habitant de Kinanira 2, zone Musaga commune Muha dit craindre pour sa sécurité. C’est après que la police ait mené une fouille à son domicile. Cette famille demande plus de précisions sur les mobiles de cette poursuite et que la sécurité soit garantie.

La police tranquillise. Le porte-parole de la police, Pierre Nkurikiye évoque un travail de routine. Il assure également que la police a le droit de vérifier toute information faisant état de probable perturbation de sécurité.

• La population dont les maisons ont été détruites il y a neuf mois, au site de Gasenyi tout près du palais présidentielle en construction dit avoir reçu des indemnités dites ‘des arbres’ la semaine passée. Comme l’indique le ministre de l’Environnement.

Ces habitants ont également des inquiétudes concernant les 400 millions de Fbu prévus dans le budget général de l’état alloué aux indemnités alors qu’ils réclament plus d’un milliard de Fbu. Ils se demandent d’où viendront les 600 millions qui restent. Ils implorent les autorités compétentes de résoudre leur problème.

Les familles expulsées de Gasenyi, commune Mutimbuzi dans la province Bujumbura sont au nombre de 42. Leurs maisons se trouvaient dans le périmètre de 40 ha réquisitionné pour construction du nouveau palais présidentiel.

• L’évêché de Bubanza qualifie de divisionniste et de diabolique le tract circulant sur les réseaux sociaux mettant en cause les services rendus par l’évêque du diocèse de Bubanza, Jean Ntarwarara. Ce tract serait écrit par des prêtres de ce diocèse, réclamant à leur évêque de quitter son siège épiscopal. La fragilité de sa santé et son incompétence à la tête du diocèse, sont quelques-unes des raisons avancées par ces prêtres dans cette correspondance non signée.

• Grognes des vendeurs qui sont dans les marchés provisoires à Bujumbura. Ils disent ne pas comprendre pourquoi ils ne retournent pas dans les marchés déjà réhabilités. Ils ajoutent que dans cette saison des pluies, leurs marchandises sont abimées. De ce fait les clients se font rares. Et demander qu’ils puissent retourner dans les nouveaux marchés, les travaux étant déjà terminés.

De son côté, la mairie de Bujumbura indique se pencher sur la tâche de distribution des places. Le maire de la ville précise être confronté à une insuffisance de places. Freddy Mbonimpa donne l’exemple du marché de Kinama où il y avait plus de 2245 places mais après réhabilitation, il n’en reste que 900 places. L’important pour lui c’est d’abord faire face à ce manque de places.

Forum des lecteurs d'Iwacu

1 réaction
  1. kabarondo

    2245 à 900.Il n’apas honte?

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