. Des habitants de la zone Ijenda, de la commune Mugongomanga en province de Bujumbura accusent l’administrateur de cette commune d’avoir passé à tabac une jeune fille dimanche soir. Comme l’expliquent la victime, sa famille et ses voisins, Diomède Ndabahinyuye, l’administrateur a toqué à sa porte et s’est rué sur elle en l’administrant de coups. Elle est actuellement alitée à l’hôpital d’Ijenda.
Nous sommes toujours en train de chercher l’administrateur pour donner sa version des faits.
. Des médecins spécialistes de la maladie du cœur indiquent que les maladies cardio-vasculaires prennent de l’ampleur et se classent parmi les principales causes de décès au Burundi. Constantin Nyamuzangura, un des cardiologues explique que les enquêtes faites à l’hôpital Roi Khaled de Kamenge ont démontré que 30% des patients hospitalisés au sein de cette structure sanitaire souffrent des maladies cardio-vasculaires. Une déclaration faite à l’occasion de la journée internationale du cœur qui sera célébré le samedi prochain.
Le ministère de la Santé confirme cette information. Il indique que le gouvernement est à l’œuvre dans la lutte contre les maladies cardio-vasculaires. Selon Etienne Niyonzima, directeur du programme intégré de la maladie chronique, il s’agit notamment d’établir des protocoles de soins et de fournir le matériel nécessaire dans la lutte contre ces maladies.
. 700 filles et femmes ont été victimes des violences basées sur le genre depuis le début de ce mois dans la province de Cibitoke. Des chiffres fournis par le centre de développement familial et communautaire de cette province. Pour cette même période de l’année dernière, les chiffres allaient jusqu’à 1200 victimes. Les administratifs se félicitent de cette baisse de violences basées sur le genre. Anicet Saidi, le conseiller du gouverneur l’explique par une campagne de sensibilisation