• L’observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques OLUCOME déplore que le gouvernement prévoie chaque année dans son budget des fonds alloués pour l’entretien du Jet Présidentiel. Gabriel Rufyiri président de l’OLUCOME dit ne pas comprendre l’utilité de ces fonds alors que jusqu’aujourd’hui cet avion n’est pas fonctionnel. Il estime qu’il s’agit d’une malversation économique.
Gabriel Rufyiri président de l’Olucome le déclare après que le conseil des ministres réunis la semaine dernière ait adopté une note qui demande au gouvernement de prévoir des fonds pour l’entretien de l’avion présidentiel.
Il s’agit d’une note qui assure que depuis son arrivé décembre 2016, cet avion est resté au sol et qu’il doit être entretenu de façon régulière malgré qu’il n’est pas fonctionnel. D’après la même note, l’entretien exige beaucoup de dépenses car les travaux de maintenance se réalisent dans un atelier spécialisé à l’extérieur du pays.
• Deux malades hospitalisés sur 5 souffrent du diabète à Bujumbura, selon des études faites par les médecins. Les indications du directeur du programme national intégré de lutte contre les maladies chroniques. Le Dr Innocent Nkurunziza précise également que seul 35% des burundais se font dépister. C’est au moment où le 14 novembre de chaque année le monde célèbre la journée internationale de lutte contre le diabète.
• 2 centres de santé et 4 pharmacies ont été fermés à Rumonge ce jeudi par l’administration provinciale en collaboration avec les autorités sanitaires et des agents de la sécurité. Il s’agit de ceux qui ne remplissent pas les normes.
D’après l’administration, la décision a été prise dans le but de lutter contre des irrégularités dans le domaine sanitaire. Ces centres de santé fermés sont le centre médical Saint Sauveur et le centre de santé Nema sis au centre-ville de Rumonge. Quant aux pharmacies, il s’agit notamment de la pharmacie de la providence sis au centre Rumonge et la pharmacie Turame de Kizuka.
• Deux familles de la zone et commune Giheta sont protégés par l’administration au chef-lieu de cette commune. La population des collines Ruhanza et Kibogoye les accuse de sorcellerie depuis un certain temps. Les administratifs à a base confirme cette information. Ils recommandent toutefois de n’est pas se faire justice.