• Le ministère de la Santé assure qu’il n’y a pas lieu de statuer sur une épidémie du paludisme. Le ministre Thaddée Ndikumana compare cette année avec celle de 2017 lorsque l’épidémie a été annoncée. 4.900.000 personnes avaient été atteintes à cette époque. « Or actuellement avec les données des 6 derniers mois, on note 4.300.000 cas de paludisme. Ces chiffres sont inférieurs pour parler d’épidémie. » a annoncé le ministre. Il fait savoir que le gouvernement continue sa campagne de lutte contre cette maladie notamment par l’octroi gratuit des médicaments.
• Des politiques en exil contestent la volonté de la plateforme de l’opposition en exil, le Cnared de rentrer au pays pour participer aux élections de 2020. Pour Frédéric Bamvuginyumvira, un acteur politique en exil du parti Sahwanya Frodebu que ceux qui veulent rentrer, ceux qui sont fatigués soient libres de rentrer sans trop de discours politiques pour justifier leurs actes. Ceux voudront continuer la politique vont s’organiser autrement et militer pour l’avenir de leur pays. « On ne peut pas prétendre rentrer au Burundi et penser organiser une politique claire. D’ailleurs même avant leur départ ils faisaient de l’opposition ou jouaient-ils le jeu du pouvoir ?»