• « Personne d’autre ne pourrait représenter le parti Uprona à part la faction Nditije. » C’est dans un communiqué sorti par l’Uprona de Charles Nditije. Il est indiqué que l’Uprona qui est dans le gouvernement, est inféodé au parti au pouvoir.
Quant à la faction dirigée par Evariste Ngayimpenda, elle est accusée d’avoir écarté Nditije pour aller par la suite dans la coalition Amizero y’abarundi. Une coalition d’où provient le 1er vice-président de l’Assemblée nationale, Agathon Rwasa.
Abel Gashatsi de l’Uprona institutionnel indique que les dirigeants du parti Uprona sont ceux qui ont été élus dans le congrès de Gitega. Il indique par ailleurs qu’un parti ne peut pas être dirigé en exil.
Quant à Tatien Sibomana de la faction Ngayimpenda, il soutient que Charles Nditije a été limogé suivant la loi. Ce dernier se préoccupant plus du Cnared que du parti Uprona
• Le parti Sahwanya Frodebu indique que le gouvernement burundais devrait accepter le dialogue pour que les bailleurs recommencent à financer le pays. Pour Phenias Nigaba, le porte-parole de ce parti, le dialogue est la seule voie possible pour pouvoir organiser les élections de 2020.
• C’est après l’entente entre le ministre de l’Intérieur et les gouverneurs et administrateurs communaux sur la contribution obligatoire aux élections de 2020. Pour Phenias Nigaba, ce serait perturber la population qui vit dans la précarité.
Abdoul Kassim du parti UPD Zigamibanga considère que si les burundais sont obligés à contribuer aux élections, ça sera considéré comme la période de guerre où on devrait donner ce qu’on appelait effort de guerre. Il lance un appel au ministère de l’Intérieur à faire des sensibilisations à l’endroit de la population. Pour que cette dernière puisse avoir l’idée de la signification de ces contributions et y participer de leur propre gré.
• Une hausse des prix du matériel scolaire se remarque sur le marché de Bujumbura, à la veille de la rentrée scolaire. Le prix des cahiers a été augmenté d’une somme comprise entre 100 et 200 francs. Les prix diffèrent aussi selon l’endroit. Quant aux vendeurs, ils déplorent le manque de clients mais espèrent les avoir dans les jours à venir.
Nditije et Ngayipenda ,vous etes les mêmes svp.ce n’est pas le temps de vous chamailler car vous avez un même souci.sauver les liberté publiques si non vous étés comme le cas du 1er vice président