Alors que la police a déjà déclaré avoir mis la main sur l’auteur du triple assassinat, plusieurs questions restent sans réponse. La thèse de la police ne convainc pas tout le monde.
1. La défaillance de la police dans la sécurisation des lieux
Où étaient les policiers quand l’assassin ou les assassins sont revenus à 2 heures du matin pour tuer une autre sœur ? Le colonel Hérménegilde Harimenshi explique que la propriété paroissiale est vaste et que toute personne connaissant bien les lieux pouvait tromper la vigilance des policiers. Combien d’éléments de la police y étaient-ils déployés ? Est-ce que la police a suffisamment sécurisé les lieux du crime ?
2. Pourquoi les Italiennes ?
Toutes les sœurs tuées sont Italiennes. Cette communauté poserait-elle un problème ? Sinon pourquoi le ou les assassins ne s’en sont-ils pas pris à d’autres sœurs présentes le jour du crime ?
3. Quid du mobile ?
Pourquoi tuer de vieilles sœurs, partir en laissant l’argent et en volant un GSM qui ne doit certainement pas valoir grand chose ?
4. Un suspect « idéal »
Tout le monde a assisté à une arrestation rapide du présumé assassin, un homme présenté comme « fou ». Mieux, d’après la police, il « avoue tout. » Il va même jusqu’à contredire le rapport médical qui atteste qu’il n’y a pas eu viol. Cet homme qui vit dans les caniveaux, un type que les habitants de Kamenge disent « dérangé », va réussir quand même à tuer, à se cacher, dans un endroit où grouille des policiers, puis revenir tuer une troisième fois et partir avec un téléphone. Christian Butoyi, « un détraqué mental », qui laisse l’argent dans les chambres des sœurs va pouvoir quand même vendre le téléphone.
5. L’homme au téléphone
Qui est cet homme qui a alerté la police lorsqu’il a vu des sms en italien ? Il est présenté comme un simple témoin qui a donné l’information à la police. Or, son cas devrait intéresser les enquêteurs. Comment il a rencontré l’auteur du triple meurtre ? Où ?
6. La police ne donne pas l’heure exacte de l’arrestation
Bizarre. Pourquoi la police déclare que le présumé assassin a été arrêté à une heure du matin alors que des témoins indiquent une arrestation dans la matinée ?
Les précédents
Depuis 2003, un volontaire et cinq missionnaires dont un nonce apostolique ont été assassinés au Burundi. Jusque-là, les conditions de leur mort ne sont pas encore élucidées. Pourtant, l’Etat a toujours promis des enquêtes …
Lundi, 29 décembre 2003. L’Eglise catholique est dans la consternation totale. Mgr Michael Aidan Courtney, nonce apostolique au Burundi, rentre alors d’une mission épiscopale au sud du pays. Le véhicule à bord duquel il voyage est attaqué par des hommes armés au niveau de Minago, sur la route Rumonge. C’est à 50 km de la capitale Bujumbura. Mgr Courtney, 58 ans, est atteint au niveau de la poitrine. Les médecins tentent de sauver sa vie, toutefois, il succombe à ses blessures. Selon des sources officielles, cette partie du sud du pays était à l’époque contrôlée par le mouvement rebelle Palipehutu FNL. Cependant, ce dernier ne revendiquera pas l’attaque.
27 novembre 2011. C’est un dimanche comme les autres : sœurs, prêtres, volontaires de l’association pour la Coopération Missionnaire (Ascom), la population, le personnel catholique de l’hôpital et même quelques malades, ont été à la messe. Bref, une journée normale.
Pourtant, une autre folie meurtrière est en préparation et rien ne sera plus comme avant. Il est 20h30 minutes quand les premiers coups de feu se font entendre aux environs du couvent des sœurs. Les tirs nourris, ont été suivis par la coupure de l’électricité au couvent. Francesco Bazzani, 65 ans, volontaire de l’Ascom, un voisin, est contacté pour accompagner le réparateur. La lumière rétablie, deux jeunes gens s’étaient déjà introduits dans le long corridor qui met face à face les chambres des sœurs. Ils ont commencé à brutaliser les sœurs, à tirer dans tous les sens, à l’aveuglette et surtout à voler de l’argent. Un seul coup fatal perce les poumons et le cœur de Sœur Lucrecija Mamic, 50 ans, de nationalité croate.
Après le tour des chambres, les malfrats ont alors pris en otage M. Bazzani, médecin italien. Ils l’ont contraint à les conduire. Son corps sera retrouvé à une vingtaine de kilomètres, les côtes droites et gauches déchiquetées par balles.
Deux présumés auteurs de ce double crime : deux jeunes gens Joseph Nzobarinda et Dieudonné Niyongabo seront arrêtés dans la commune Marangara et conduits à la prison de Ngozi.
Vendredi, 2 décembre 2011, lors de l’audience publique, ils affirmeront avoir servi le pays en tuant les deux bienfaiteurs. Et de révéler que c’est le député Jean Baptiste Nzigamasabo, alias Gihahe, du Cndd-Fdd, qui a commandité l’attaque. Il y a presque trois ans.
QUE LE SEIGNEUR AIT PIETE DE NOUS BURUNDAIS
nta makuru ya butoyi none ga IWACU? aracafunzwe, nubu ntarakura ururimi mu kanwa ko numva ngo ntavuga? EWE BURUNDI
Soyons sérieux:
Comment se fait-il qu’un malade mental puisse tromper la vigilance totale des policiers stationnés sur le lieu du crime, parvenir à commettre un autre crime en intervalle de quelques heures et pouvoir s’évader!
Je vous dis quand même, qu’il y a ici dans ce dossier au moins un détraqué mental: celui qui a inventé cette histoire d’arrestation, et espérer que l’on va le croire!
Umuvugizi araho akora akazi kabishe yemwe! Aho ga wosanga umunsi bamushira murico kibanza yaranezerewe n’agacupa arasoma ngo arateye imbere? Ikinyoma cambaye ubusa umuntu avuze izuba ritarazima gikorora ipantalo! Naho tuzi ari akazi, kuja kuri micro akemeza yuko umusazi yiruka ariwe yagiye akongera akagaruka kumarira uwarasigaye biragoye kwumva. Noneho naho yoba akomeye ko wumva hari abapolisi bahacunze, ntibikenewe kuba incabwenge kugira tubone ko hari icinyegeje inyuma yubwo bubisha. Kubatabizi, nagire ndabamenyeshe ko kera Abarundi bakera muntambara hagize umugore canke umwana ayigwamwo atariko arayigwana, baca bahagarikira aho nyene bakagandara, naho yaba ava mubansi. None ubu hageze aho n’umukecuru atakiva hasi acibwa umutwe! Nukuri hari ukwica no kwica. BA nyamwema babaciye imitwe, wamudandaza wumu MSD i Gitega bamuciye umutwe, ababikira babaciye imitwe… na babicanyi b’intagondwa biyita aba Islam baca imitwe. Hari ikitagenda neza mumitwe yababikora kandi barazwi.
Ivyo bintu ni inkinamico kandi ndibazako uyo Butoyi ivyo igipolisi kivuga ko yiyemereye atari vyo kuko we avuga ko yabishe anje kubashurashuza ku nguvu, ariko ibipimo vya muganga hamwe na patiri mukuru wa paruwase Kamenge vyerekana ko batafashwe ku nguvu. None hari umuntu akomeye neza mu mutwe yokwishirako icaha kitabayeho? Mbega hoho yafatwe he ko ababanyi bose bemeza ko babonye igipolisi kimuzana mu mdoka ya police?
Iyo uburundi kiba cari igihugu kirimwo ubutungane amatohoza yotanguriye kuri abo ba polisi bari bacunze ico kigo igihe hicwa umubikira wa gatatu kuko ntivyumvikana ukuntu yoba yaraje abapolisi ntibamubone kandi amaso yabo yategerezwa kuba araba ku marembo y’ikigo hamwe no ku miryango y’inzu z’abo babikira (erega benshi igisoda n’igipolisi twarabiciyemwo turazi ingene izamu rikorwa turazi n’ingene bacunga umutekano mu bihe bidasanzwe nk’ivyo). None hoho bishoboka gute ko umwicanyi yobaca mu ryahumye mu kwinjira, no mu gusohoka? Abanyezamu bo bahamenyereye bari hehe? Abo babikira bagenzi babo b’abirabure bishoboka gute ko basinzira munzu ihejeje kugandagurirwamwo bagenzi babo babiri, hanyuma bagasinzira ntibumve ko uwundi ariko aricwa?
Ni amayobera !
Uwo wa gatatu ashobora kuba yishwe kuko yoba yarabonye ukuri akabivuga hanyuma abicanyi bakamuzimanganya na we! Qui sait?
Jewe nibaza ko botangurira no kubaza abo babikira bandi basigaye.
J’ai une critique à formuler envers les procédures de la police au cours de ces événements. Comme j’ai lu que le curé-prêtre a demandé que les policiers assurent la sécurité en restant à l’extérieur, je crois qu’une grande parti du problème se situe à ce détail.
Les amis, une scène de crime aussi grave que celui-là, elle appartient à la police… jusqu’à ce qu’elle ait fini de faire son enquête.
Tout le monde aurait dû être évacué vers d’autres lieux, quitte à les envoyer dans d’autres couvents à travers la ville. Une scène de crime, qu’importe sa gravité, devient automatiquement propriété de la police jusqu’à la fin des enquêtes. Le prêtre n’avait aucune autorité à vouloir imposer la façon dont la police devait travailler!
Ce petit detail aurait pu sauver la troisième victime, et peut-être servir de piste pour l’enquête. Maintenant il est trop tard, et toutes est en train de se retourner contre vous.
Et qui sait? Peut-être même que l’auteur ou les auteurs, ainsi que l’arme du crime étaient encore à l’intérieur. Une fouille qui aurait dû avoir lieu aurait pu servir dans l’enquête.
Peut-être qu’une révision des procédures s’impose si nécessaire! Et ceux qui veulent éliminer ce Butoyi comme suspect, il faudrait y penser à plus d’une fois… Et si c’était lui?… Tout seul ou avec des complices autant à l’intérieur qu’en dehors du couvent!
Il faut ne rien négliger!
Le prétendu assassin arrêté a invoqué, selon la police, l’occupation de la parcelle de ses parents par les soeurs. Je connais très bien l’ancien propriétaire de ce terrain. Il l’a vendu en bonne et due forme au diocèse de Bujumbura. Et aucun des enfants de cette famille ne souffre de troubles mentaux et d’ailleurs cette famille n’habite plus le quartier Kamenge depuis fin octobre 1993.
Que la police trouve d’autres subterfuges pour tromper l’opinion.
Ce détraqué mental ou pas, qui dit avoir tué les 3 bonnes sœurs après les avoir violées est considéré comme un danger public et est passible de la prison à perpétuité si on n’est pas capable de l’interner dans un asile psychiatrique. Quant aux véritables commanditaires du crime odieux et les exécuteurs de la mise en application du plan/scénario du meurtre, ils restent malheureusement en circulation et n’ont pas encore fini de faire parler d’eux quand bien même imisi y’igisuma iharuye!!!…
Butoyi nest pas fou, c son frere jumeau qui est fou et ils se ressemblent beaucoup.
Dusabire les trois Innocentes Imana ibakire mu bwami bwayo, yongere igarukire u Burundi
Hari ibara ryaraye riguye mu gisagara ca Genova mu Butaliyano, igihugu kivukamwo barya babikira bagandaguwe. Ejo itariki 14/9/2014, umugabo yitwa Remo, w’imyaka 53, yahora ari umwubatsi, ariko ubu akaba yari arwaye mu mutwe, mugabo agatekereza, yafashe umugore yahora amwitwararika yitwa Barbara, amwicisha ishoka, aca arafata risansi aramuturira. Abantu baraguye mugahundwe, kuko batibaza ko uwo muntu yoshoboye gukora icaha nkico. Abapolisi baramufashe baramupfunga, ubu arindiriye ko bamucira urubanza. Na birya vyabaye iwacu birashoboka:Ntawuzi ikiri mu mutwe w’umuntu.
jewe ndakunda guhanura abantu kandi iyo mpanuye benshi mbona bagaruka ku nshimira, ariko ubu uwo ngomba mpanure ntazoze gushima, oya arashimira ku mutima, rero nyakubahwa HARIMENSHI? ndakwinginze ugende ukure izo mpuzu ubwire uwugutwara uti akira ivyawe karananiye kuko ivyo nashikirije aba rundi nta numwe, umwe gusa yavyemeye!!!!!uti nta numwana!!! uti rero nyakubahwa uti jewe namaramaye uti kandi birateye isoni ntwa ngo ndi umutegetsi uce witahira uje kwihana Imana ikugirire ikigongwe hanyuma ubeho nkuko twese tubayeho tutabesha. urakoze.
Mbega ko umengo hariho ivyo abantu batinya gushira ahabona? au fait, Butoyi n,est pas du tout un malade mental, il y aurait Bukuru, son frere jumeau qui serait reellement fou et c ce dernier que les gens de Kamenge voient souvent marcher nu et se nourrir a la poubelle. celui qui a ete arrete est normal, la police sait bien pourquoi elle le garde et ne veut pas le laisser seul avec ceux qui se disent qu,ils doivent faire son bilan de santé mentale. Faites bien attenton a cela. Tom.
Qu’on fasse parler l’ADN en commençant par celui de cette personne arrêtée . On pourra ainsi lever le doute qui subsiste sur sa capacité ou non à commettre un tel crime et de cette façon .
Un fou tranquille peut tout d’un coup devenir un criminel. Voici une nouvelle fraiche qui nous arrive de Genes, en Italie, la patrie des soeurs assassinées: ce 14 septembre, un homme de 53 ans, Remo Carbone, ex- maçon, malade mental mais très tranquille, vient subitement d’assassiner à coups de hache Barbara, la femme qui prenait soin de lui depuis quelques années. Après l’hommicide, elle a pris de l’essence et elle l’a brulée. La police a arreté l’assassin. Mais la population ne comprend pas comment cet homme si tranquille est entré dans la furie sanguinaire.
Ni murekereho ncuti ukuvuga menshi siko kuyamara,
umucamanza wa twese ariho,
umuntu wese azobazwa ivyo yakoze,
Kandi umuntu wese azohemberwa ivyo yakoze,
ari vyiza azohembwa vyiza kuko azoba yakoze neza,
ari bibi azohembwa bibi kuko azoba yakoze nabi,
Ico twomenya coco INKONO YA SHETANI NTIGIRA UMUPFUNIKO,
HARI UMUSI ,
AKABIGIRA KABIZI KARYA IMBOGA KARITSE,
Comme le dit si bien la criminologue Nadine Nibigira sur TV Renaissance:
Les lieux possibles d’un crime doivent être traités avec le plus grand soin de manière à ne pas contaminer ni détruire des éléments de preuve.
éviter de déplacer quoi que ce soit, sauf s’il est absolument nécessaire de le faire
éviter, dans la mesure du possible, de contaminer les éléments de preuve
photographier ou filmer les lieux ainsi que les objets avant de déplacer quoi que ce soit
Il existe pour toutes les polices du monde une procédure à suivre…….Si la police ne fait rien de cela exprès ou pas elle doit s’en expliquer.
http://telerenaissance.bi/index.php/actualites/journal/991-les-chances-de-mettre-la-main-sur-les-veritables-assassins-des-3-soeurs-de-la-paroisse-maria-conforti-de-kamenge-diminuent-suite-a-la-disparution-de-certaines-traces-trouve-nadine-nibigira-expert-en-criminologie
C’est un pouvoir qui ne rate aucune occasion pour se ridiculiser. Heureusement que la communauté internationale a pris acte que les actes de ce régime ne sont pas soutenus par le peuple Burundais qui se trouve lui meme victime des méandres!
Nibareke guhisha, ibintu, leta yuburundi irazi abishe abo babikira, jew nasomwe mu kinyamakuru IWACU co mu gihugu c’urwanda, ko bishwe kubera bavuze yuko hari aba tutsi, barenga amajana abiri (200) baba nyarwanda basigay barara ngaho muriyo paroisse ya Kamenge. Kandi ngo naba rwanyi, baba roberi, bo kwa Kagame. So leta yuburundi, barabizi, nibareke guhuma abantu amaso,
J’aurais aimé que la police réponde aux 6 questions (au-dessus) et aussi à celle concernant l’arme du crime car le fait qu’on semble vouloir nous forcer à croire que les enquêtes sont closes avec l’arrestation de Butoyi est particulièrement bizarre.
None Jean Baptiste Nzigamasabo, alias Gihahe yoba yarireguye kuri vyo bimuvugwako? Arihe ubu?
wise, ndababaye naho woba utari mu burundi ba ugerageza gukurikira ibiba mu gihugu cawe nimba uri umurundi, yibereye aho sha kwisonga rya vyose caba iigihugu yaba umugambwe ahubwo ngira niwe azokwitoza , pour te dire que ata wamukozeko namba. mais ntashire agati mu ryinyo buca bihinduka.
BUKEYE ntakubesha maze imyanka myinshi narahoze kuvyerekeye uburundi . Nari narihanye gusoma ikintu nakimwe kibwerekeye kubera agahinda maranye imyaka.Ubu niho niyumvira nti reka ndabe ibivugwa aho ndabe ico noza ndahanura.Ivyo vyugo rufu rwuwo mu bikira nuwo mupatiri ndabimenyeshejwe na iwacu ntakubeshe
Usanga hariho benshi bamaze imyaka barumiwe badashaka kuvuga ikintu nakimwe.Nico twita a human being
Thanks again
Ceux qui condamnaient Magera ont tord. Il est de plus en plus probable qu’un mobile politique se cache derrière ce meurtre de ces trois réligieuses.
Le Burundi n’a pas d’institutions sérieuses, dignes d »un Etat de droit. Le régime actuel fait la course à l’enrichissement des gouvernants. Le cas du trafic d’or, de bois et des pagnes entre la RDC et le Burundi en dit long. Nkurunziza et son groupe prend le risque d’envoyer l’armée dans un pays étranger sans accords au préalable au nom de la lutte contre le FNL alors que c’est pour l’exploitation des richesses naturelles du Congo. Vous vous rendez compte ce que cela réprésente comme différend entre les deux peuples.
Un jour ce Congo va conquérir sa souveraineté. Le Rwanda et le Burundi en patira pour avoir envahi ce pays et exploité illégalement ses richesses.
Maintenant dans ce pays les malades mentaux qu’on appelle communément Abasazi vont endosser toutes les responsabilités. Ils s’en fouent bien sur. C’est quand meme logique que les fous aillent trouver d’autres fous. Ceux qui nous font cette mise en scene nauséabonde ne sont pas non plus mentalement bien portant.
Et cette qu’est devenu Gihahe? Jean Baptiste Nzigamasabo?
Bien sur qu’il est content des services rendus a la nation (satanique et pas le Burundi).
Une autre question que Iwacu a oublier de soulever:
1. Hypothese: la police n’a pas surveiller le couvent ou les elements policiers etaient peu nombre pour couvrir partout:
Dans ce cas, les assassins etaient des gens bien informes de la situation: position des policiers, leur nombre, connaissaient qu’ils dormais ou pas. Donc pouvaient exploiter leur faille sans rien se soucier.
Donc: les assassins travaillaient avec ces policiers: ils y avaient des informateurs.
Atre possibilite: Ce sont ces memes policiers qui les ont tues; je croie que c’est pas trop oser dire ca car on connait qu’ils en sont capable, si une telle demande de rendre le service a leur nation (satanique et pas le Burundi) leur etait addresse par Gihahe ou qui d’autre de droit. Les methodes de decapiter les tetes communs chez ces policier, seulement qu’ils ont oblier de partir avec la tete, cette fois ci. En tout cas si c’etait un certain Rwembe, ils serait parti avec la tete.
Le ridicule ne tue pas. Merci quand même au journal IWACU pour ces zones d’ombre relevées. Malheureusement, Colonel Hélménegilde, porte parole de la police du CNDD-FDD, est entrain de rabaisser les prestations attendues des ex-FAB et ex-policiers qui pourtant ont eu une bonne formation professionnelle. Pourquoi raconter des mensonges qui ne convaincront personne? Pour quelques miettes de billets données par les DD? On appelle cela trahir sa propre conscience. Je lui demande de se ressaisir, ce n’est pas trop tard pour bien faire. Il n’a qu’à laisser les généraux comme Godefroid Bizimana du FDD expliquer leurs incohérences habituelles sur comment faire parler un fou ou un sourd.
Ndakumva cane « Uwarurwanye » ariko Col Hermès ni « porte parole de la police » rien de plus avuga ivy’igipolisi c’i Burundi kivuga, Nta kamaro ko gucanga ibintu. Nico kimwe n’abakozi ba Leta bose aba polisi, aba civils, aba militaires, baba aba pro DD ou pas, intungane ou pas, bose bakorera Leta.
Tous les indices laissent à penser que l’assassin n’est pas venu du dehors, mais vit dans le couvent. Pourquoi ne pas interroger les soeurs noires qui ont survecu? Souvent les auteurs de crimes sont des « intouchables ». Quelque religieuse peut devenir folle… ou servir une politique etrangère: les deux noires sont une rwandaise et une congolaise… Ceci dit, il ne s’ agit pas d’accusations, mais une hypothèse de recherche.
Madame et Messieurs les auteurs, vous avez oublié une information essentielle : la ou les armes du crime. Ce serait alors facile de commencer à croire que soit il est coupable, soit il connaît ou a été en contact direct avec les coupables.
Est-ce que la Police a retrouvé la ou les armes du crime? Dans quelles conditions les ont-ils obtenues? Peut-être aussi qu’il faudrait commencer par chercher parmi les résidents de ce couvent! Parfois les pistes peuvent se retrouver là où on ne penserait jamais chercher…
Il est essentiel de mettre la main l’arme du crime… à défaut de retrouver en premier le (ou la) ou les assassins.
Que la terre soir legere aux Soeurs victimes de la barbarie humaine. La police burundaise EST capable de mener des enquetes fiables pour identifier toys les suteurs et co-auteurs du crime. Qu’elle se metre a l’ oeuvre pour l’honneur du pays et des eprouves.
Quant aux medias, qu’ils soient prudents avec leurs articles qui peuvent mettre le pays a feu. Qui en profiterait? Je fais allusion au journal bujumbura news! On ne peut pas medire Sa mere!!!