Michel Kafando, envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies au Burundi, a rencontré ce jeudi 22 mars à Dar-Es-Salaam, le facilitateur dans la crise burundaise, Benjamin Mkapa.
L’objectif, selon Macocha Tembele, assistant de cet ancien chef d’Etat tanzanien, «est d’accélérer le processus de dialogue externe». C’est au moment où il ne reste que moins de deux mois avant la tenue du référendum constitutionnel. Un décret du président de la République fixe ce rendez-vous au 17 mai prochain.
Pour rappel, le dernier round du dialogue inter burundais à Arusha, au mois de novembre, a été un fiasco. L’ancien président tanzanien s’attendait à la signature d’un accord, en vain.
De ces diverses sessions on peut tirer cette conclusion amère qu’elles ont permis à Nkurunziza de gagner du temps et avancer sans dévier de son objectif; à l’opposition et ses alliés de perdre du temps à compter sur l’appui extérieur et non sur ses propres initiatives.
Un autre Arusha! Pour quoi faire? Gacece, aides-nous a comprendre.
Merci à l’équipe d’ « IWACU LES VOIX DU BURUNDI » pour cet article intitulé : « ARUSHA : Vers l’organisation d’une autre session ? » Après ma première intervention succédant à celles de « Source du Nil » et R. Crettol sur le sujet, j’ai le plaisir d’informer les précédents intervenants que je je suis d’accord avec eux sur le contenu de leurs interventions avec une attention particulière sur les extraits que je reproduis ci-après et à travers lesquels ils se retrouveront :
1) « Un coup d’épée dans, l’eau… » ( Bravo à Source du Nil )
2) « …On aimerait avoir vu plus d’engagement de la part de l’EAC pour faire de ce dialogue externe une réalité productive… » ( Bravo à M. Roger Crettol .) Ils ont aussi mes sincères remerciements.
Chère équipe d’IWACU LES VOIX DU BURUNDI, puis-je vous demander de nous tenir informés sur la suite de cette rencontre entre leurs excellences B. MKAPA et M. KAFANDO en date du 22 mars 2018 à Dar-Es-Salaam ? Cela nous permettra de nous exprimer sur ce processus de sortie de crise que tous les citoyens burundais espérons toujours…
Cordialement et à la prochaine !
Barihuta
Un coup d’épée dans l’eau! Les mediateurs et facilitateurs ne changeront en rien d’un iota, la decision ferme du president Fondateur, Visionnaire Eternel, Pacificateur et Unificateur des peuples Burundais.Le Chien aboit et la caravane passe!!!Le referendum aura bel et bien en Mai, 2018.Cette opposition interne et externe est inerte et manque d’initiatives car les ego priment sur les biens communs pouvant sauver le peuple appauvri par cette crise politico -économique sans precedent dans l’histoire recente du Burundi. Oh Burundi, mon beau pays! !!Seigneur, ayez pitié de ce pays en detresse! !!!
Un coup d’épée dans l’eau! Les mediateurs et facilitateurs ne changeront en rien d’un iota, la decision ferme du president Fondateur, Visionnaire Eternel, Pacificateur et Unificateur des peuples Burundais.Le Chien aboit et la caravane passe!!!Le referendum aura bel et bien en Mai, 2018.Cette opposition interne et externe est inerte et manque d’initiatives car les ego priment sur les biens communs pouvant sauver le peuple appauvri par cette crise politico -économique sans precedent dans l’histoire recente du Burundi. Oh Burundi, mon beau pays! !!Seigneur, ayez pitié de ce pays en detresse! !!!
Un coup d’épée dans l’eau! Les mediateurs et facilitateurs ne changeront en rien d’un iota, la decision ferme du president Fondateur, Visionnaire Eternel, Pacificateur et Unificateur des peuples Burundais.Le Chien aboit et la caravane passe!!!Le referendum aura bel et bien en Mai, 2018.Cette opposition interne et externe est inerte et manque d’initiatives car les ego priment sur les biens communs pouvant sauver le peuple appauvri par cette crise politico -économique sans precedent dans l’histoire recente du Burundi.
» Le pape, combien de divisions ? »
On prête ces mots à Joseph Staline, et on aimerait avoir vu plus d’engagement de la part de l’EAC pour faire de ce « dialogue externe » une réalité productive. Mais leurs priorités sont ailleurs, et les mandats extensibles font partie du paysage. Il n’y a guère que Robert Mugabe qui ait pris l’élastique dans l’oeil. Le pauvre …
Quant à songer à un dialogue …
Merci à Roger Crettol ! » accélérer le processus de dialogue externe « . On aimerait bien mais soyons sincères avec nous-mêmes. S’agit-il d' »accélérer » ou de « commencer ? » A l’heure où nous en sommes, chaque mot compte. N’en déplaise aux habitués de la langue de bois. Pour terminer, nous devrions tous constater que le problème du Burundi serait déjà résolu si les diplomates présents au Burundi parlaient le même langage que l’opposition et la société externes. nous rappelons que ces dernières ont aussi leurs homologues au Burundi. Nul n’ignore ce qui s’est passé lors des dernières consultations à Arusha. Personnellement, je ne crois pas que les Burundais aient une mémoire aussi courte.